327 réponses à ce sujet

[Carole]

Elle est partie!!!!!!!!!!!!!!!!!

Demain si mon emploi du temps me le permets (et il a plutôt intérêt ) et surtout si ya des métros, j'assisterais à une conférence sur les dimensions cachées de l'univers

[Darkto]

Ca à l'air passionnant tout ça
Docteur Carole nous fera-t-elle l'obligeance de faire un superbe résumé sur cette conférence? (enfin les parties compréhensibles hein^^)
Les dimensions cachées de l'univers... genre mondes parallèles ou bien encore ce qui se cache au fin fond de l'univers jugé sans fin?^^''
Beaucoup de sujets qui font verser de l'encre...

[Nirvana1381]

mais la présence anormale de poussières sous la coiffe de la fusée

C'est juste qu'ils ne font souvent les poussieres

[Carole]

Ca à l'air passionnant tout ça 
Docteur Carole nous fera-t-elle l'obligeance de faire un superbe résumé sur cette conférence? (enfin les parties compréhensibles hein^^)

Avec grand plaisir! Je vous relaterais tout ce que j'aurais compris (j'vais prendre un gros bloc note avec moi... )

Nirv! Justement, tu voudrais pas venir les faire les poussières?

[Nirvana1381]

Ca à l'air passionnant tout ça 
Docteur Carole nous fera-t-elle l'obligeance de faire un superbe résumé sur cette conférence? (enfin les parties compréhensibles hein^^)

Avec grand plaisir! Je vous relaterais tout ce que j'aurais compris (j'vais prendre un gros bloc note avec moi... )

Nirv! Justement, tu voudrais pas venir les faire les poussières?

Prend avec plusieurs stylos

[Carole]

Gnagnagnaaaaa

[Carole]

Ce soir je vais assister à une nouvelle (et dernière ) conférence du cycle "Einstein 1905 : l'année magnifique" qui parlera de "L'origine de la structure de l'Univers et la théorie de l'inflation". Cette conférence sera menée par Renaud Parentani, (jeune) physicien à l'Université de Paris X.

[zhornette]

Tu nous fera bien un petit résumé!!!

[Carole]

Un petit résumé qui sera plutôt long

[Cruz]

Et ben faut en vouloir, quand même pour aller à 1 truc pareil bonjours le mal de crane après tu vas pouvoir exprimer ta fatigue dans le sujet du dessous!

[Carole]

L'Univers vieillissant peut toujours engendrer des galaxies massives


Satellite GALEX

Le satellite GALEX (Galaxy Evolution Explorer) a découvert ce qui semble être des galaxies massives nouvellement nées dans notre Univers proche. Précédemment, les astronomes pensaient que le taux de natalité de l'Univers avait radicalement chuté et que seulement des petites galaxies se formaient. Trois douzaines de brillantes galaxies compactes, qui ressemblent fort aux jeunes galaxies âgées de 10 milliards d'années, ont été découvertes relativement près de nous, entre deux et quatre milliards d'années-lumière. Elles pourraient être seulement âgées d'environ 100 millions d'années. A titre de comparaison, notre galaxie de la Voie lactée a approximativement 10 milliards d'années.

La récente découverte suggère que notre Univers vieillissant est toujours vigoureux. Elle donne aussi aux astronomes leur premier aperçu sur l'aspect probable de notre galaxie dans sa prime jeunesse.

Lancé le 28 Avril 2003, le satellite Galaxy Evolution Explorer a pour mission de dresser la carte du ciel dans le spectre ultraviolet et de déterminer l'histoire de la formation d'étoiles dans l'Univers au cours des 10 derniers milliards d'années.


Galaxies récentes proches

Source: Gilbert Javaux - PGJ Astronomie

[zhornette]

C'est la misère!!!

La ciel est tellement couvert que ça fait 3 jours que je n'ai pas vu une étoile

[Carole]

pauvre chtite zhornette

Au fait! Saviez-vous que le 24 décembre 1965, 2 immeubles et 1 voiture furent touchés à Barwell (Angleterre), par les fragments d'une météorite. Heureusement seulement des dégâts matériels, aucun blessé à déplorer

[zhornette]

Le ciel nous tomberrait-il sur la tête???

Je crois savoir qu'il y a des tas de fragments qui tombent chaque jour sur notre planète!!

[Carole]

Oui des tas et des tas

[Carole]

Vous en avez certainement entendu parler

L'inexorable ralentissement de la Terre
LE MONDE | 30.12.05 | 14h14

Il y a 400 millions d'années, le jour terrestre moyen durait environ 22 heures, si l'on en croit les modélisations informatiques. Dans moins de 200 millions d'années, nos lointains successeurs devront-ils inventer la journée de 25 heures ? Sans doute, si le ralentissement de la rotation de la Terre continue de s'amplifier.


A quoi est-il dû ? "Principalement au phénomène de marées créé par l'attraction de la Lune et du Soleil sur la Terre, explique Daniel Gambis, l'astronome de l'Observatoire de Paris qui décide les secondes intercalaires au nom du Service international de la rotation terrestre (IERS). Le frottement de l'eau sur le fond des mers peu profondes déclenche un effet de friction qui dissipe de l'énergie et provoque donc un ralentissement de la rotation, faible mais régulier." Sur le très long terme, c'est ce mouvement, en faisant perdre environ 1,5 milliseconde par siècle sur la durée du jour, qui finit par s'imposer.

D'autres variations, sensibles à des échelles de temps plus restreintes, peuvent momentanément contrarier ou amplifier cette tendance générale. Sur dix ans, les effets les plus sensibles sont ceux de l'interaction entre le noyau et le manteau de la Terre. Ils ont ainsi pu déclencher récemment une légère accélération, qui explique qu'aucune seconde intercalaire n'ait été rendue nécessaire entre les 31 décembre 1998 et 2005.

A une échelle inférieure à deux années, ce sont les phénomènes atmosphériques qui peuvent jouer un rôle. Tout changement dans le régime général des vents perturbe ainsi la rotation.

Si les scientifiques peinent encore à démêler exactement les causes du ralentissement, ils en connaissent très bien les proportions. Lorsqu'il doit déterminer les variations de la rotation, M. Gambis peut compter sur une batterie de techniques. A l'astrométrie classique, qui permettait des mesures de position entre la Terre et certaines étoiles, a succédé le tir de laser sur des satellites-réflecteurs. Mais la précision s'est encore améliorée depuis l'avènement de l'interférométrie de très longue base qui permet de se servir des quasars, des trous noirs qui absorbent de la matière en émettant des radiations avec une régularité digne des horloges atomiques. Ils sont situés si loin qu'ils peuvent nous apparaître comme parfaitement immobiles, points de repère rêvés des arpenteurs de l'espace et du temps.

[zhornette]

C'est chouette, on va avoir plus de temps!!

Combien d'entre vous n'ont jamais dit que les journées étaient trop courtes, hein??

[Stepquest]

Oui et on parlera comme des enregistrement au ralenti !


Saaaaaallllllllllluuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuutttttt...........;;;;Zhooooooooooooorrrrrrrrrrnnnnnnnnnnnnetttttttttttttttte, coooooooooooooommmmmmmmennnnnnnt tuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu vaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

[Carole]

Buffy ou le grain de sable dans la théorie de l’évolution du système solaire

Une équipe d’astronomes vient de découvrir, aux confins du système solaire, un petit corps — baptisé temporairement Buffy, 2004 XR190 étant sa dénomination officielle — qu’on pourrait qualifier de grain de sable tant il remet en cause les théories de l’évolution du système solaire.

• Au-delà de Neptune, se situe une région du ciel appelée « ceinture de Kuiper » composée de plusieurs parties distinctes. La première, située entre 30 et 50 unités astronomiques (ua*), est habitée d’objets aux orbites circulaires. La seconde, encore plus éloignée du Soleil, est, semble-t-il, quasi désertique. Et les rares objets qu’on y a détectés jusqu’à présent ont des orbites excentriques (non circulaires). Cette trajectoire particulière est le plus souvent due à l’action de Neptune qui rejette l’objet vers l’extérieur par un effet de fronde gravitationnelle. Or Buffy, qui est localisé à 58 ua, dans la seconde partie de la ceinture de Kuiper, a, lui, une orbite circulaire. Pour compliquer un peu plus, celle-ci est très inclinée (47°) par rapport au plan de l’écliptique.

• Or, la théorie en vigueur actuellement pour expliquer la genèse de notre système solaire postule que les grosses planètes (Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune) étaient à l’origine beaucoup plus proches du Soleil et entourées d’une ceinture de planétésimaux, des petits corps dont le diamètre est compris entre 100 et 1 000 km. À l’instar d’un jeu de billes, les champs gravitationnels engendrés par les planètes auraient éjecté certains de ces planétésimaux hors de leur disque, soit vers le Soleil, soit vers l’extérieur du système. En réaction et selon les préceptes de la mécanique newtonienne, les planètes se seraient lentement déplacées réciproquement en s’éloignant du Soleil (Neptune, Uranus et Saturne) ou en se rapprochant (Jupiter).
Tous les objets situés au-delà de 48 ua, c’est-à-dire au-delà de la ceinture classique de Kuiper, devraient donc, selon cette théorie, avoir subi l’influence gravitationnelle de Neptune et posséder une orbite à forte excentricité.

• La première pierre d’achoppement pour accepter totalement cette théorie est donc la découverte de Buffy, avec son orbite circulaire et son demi-grand axe (la moitié du grand axe d’une ellipse) à 58 ua, dont la présence doit être expliquée. Un autre détail avait mis la puce à l’oreille des chercheurs : si seuls les objets à forte excentricité ont un demi grand axe supérieur à 48 ua, alors ils passeraient le plus clair de leur temps dans cette zone. Or, ils étaient le plus souvent observés à l’intérieur de la ceinture classique de Kuiper.

• Cette découverte remet également en cause la façon dont les relevés d’observations ont été analysés. Bien que très éloignés, donc peu visibles, ces objets particuliers sont peut-être passés inaperçus. D’autre part, l’information pertinente étant l’orbite qu’ils effectuent, il est nécessaire de procéder à un suivi, et donc de monopoliser les télescopes pendant longtemps — ce qui n’est pas le plus aisé de l’histoire — et ceci dans de nombreux lieux. Ainsi, l’équipe qui a fait cette découverte est constituée de sept personnes basées au Canada, aux États-Unis et en France, au laboratoire d’Astrophysique de l’université de Franche-Comté, précisément.

• Reste maintenant à comprendre cette anomalie, ce qui implique d’envisager un nouveau modèle de formation du système solaire.

* 1 ua est définie par la distance moyenne Terre - Soleil.

Et pour de plus amples informations :
Contact
Jean-Marc Petit
Laboratoire d’Astrophysique (UMR 6091)
Université de Franche-Comté
Tél. 03 81 66 69 29

Source : Université de Franche-Comté

[Carole]

Je tiens à vous informer d'une découverte capitale!
L'Etoile Polaire n'est plus toute seule

Le système triple de l' Etoile Polaire.

Le télescope Hubble vient d'apporter la preuve du système triple de l'étoile polaire. Les chercheurs se doutaient déjà de l'existence d'une autre compagne à l'étoile brillante si utile aux navigateurs.

Les scientifiques ont poussé les capacités du télescope Hubble à son maximum et le résultat est là: de nombreuses photographies prouvent l'existence d'une seconde compagne à l'étoile Polaire, également appelée Polaris A. Polaris B avait été découverte en 1780 par William Herschel et est facilement visible à l'aide d'un télescope moyen.


* Ursa Major = Grande Ourse
*Ursa Minor = Petite Ourse

Une seconde étoile était pré-supposée du fait de l'influence de sa gravité sur Polaris A mais jusqu'ici les astronomes n'avaient pu obtenir de preuves formelles de son existence. En effet, Polaris Ab est très proche de Polaris A et son rayonnement est relativement faible. Rappelons que l'étoile polaire, une super géante, est quand même 2 000 fois plus brillante que notre Soleil ! C'est pourquoi Polaris Ab, une étoile naine, était difficile à observer surtout qu'elle ne se trouve qu'à 3,2 milliards de kilomètres de Polaris A.

Le professeur Howard Bond, du Space Telescope Science Institute a déclaré lors de la 207e réunion de la Société américaine d’astronomie :

" Nous sommes parvenus, avec l’aide de Hubble, à tirer de l’ombre cette compagne de l’étoile polaire pour la placer à l’avant-scène. "

Le système triple de l'étoile polaire se situe à 430 années-lumière de la Terre.


Vue d'artiste de Polaris : A, Ab, B.
Copyright : NASA.


Source : Hubblesite.org