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[zhornette]

Une fillette de six ans enlevée dans le Maine-et-Loire
[21/11 - 08h40]

Une fillette de six ans a été enlevée par un inconnu dimanche après midi à Jallais (Maine-et-Loire) alors qu'elle jouait près de son domicile, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
La petite fille, prénommée Aurélia, jouait au roller en compagnie de sa soeur aînée âgée de dix ans lorsqu'un individu est arrivé en voiture et a tenté d'enlever les deux enfants, a indiqué à l'AFP un responsable du groupement de gendarmerie du Maine-et-Loire.
La petite Aurélia a des cheveux longs bouclés chatains et porte des lunettes. Les gendarmes ont distribué des photos aux journalistes pour publier un avis de recherche dans les journaux, à la demande des parents.
Selon cette source, la fille aînée a réussi à s'échapper et a prévenu sa mère.
L'enlèvement a eu lieu à 15H45 sur le parking d'une école de la commune de Jallais, qui compte environ 3.300 habitants, a-t-on précisé de même source.
La procureur d'Angers Brigitte Angibaud doit donner une conférence de presse lundi matin.
Le capitaine Bertrand Depierre, officier de communication de la gendarmerie des Pays-de-la-Loire, a indiqué à l'AFP que "toutes les hypothèses sont étudiées" concernant les motifs possibles de l'enlèvement. La gendarmerie a installé un poste de commandement à la mairie de Jallais pour piloter l'enquête.
Plusieurs centaines d'hommes et un hélicoptère ont été mobilisés dimanche dans des opérations de recherche, a-t-on appris de même source. Trois escadrons de gendarmerie mobile supplémentaires doivent venir en renfort lundi.
Des contrôles routiers ont été effectués dans les environs pour retrouver la voiture du ravisseur, de couleur gris métallisé, dont le type n'a pas été déterminé avec certitude, selon les gendarmes.


Source : AFP

[zhornette]

Australie: elle tente d'ouvrir la porte d'un avion en plein vol pour fumer[21/11 - 09h53]

Une Française a comparu lundi devant un tribunal australien pour avoir tenté d'ouvrir la porte d'un avion en plein vol pour fumer une cigarette, selon l'agence australienne Associated Press.
Sandrine Hélène Sellies, 34 ans, était sous l'emprise d'alcool et de somnifères lorsqu'elle a embarqué samedi à bord d'un appareil de la compagnie Cathay Pacific pour relier Hong Kong à Brisbane (Australie), selon l'agence.
Elle a plaidé coupable de l'accusation de mise en danger par la justice australienne qui l'a soumise à une obligation de bonne conduite avec mise à l'épreuve d'un an assortie d'une amende de 1.000 dollars (730 USD) en cas de son non respect.
Durant le vol, la passagère s'est dirigée, visiblement endormie, en direction d'une issue de secours de l'appareil avec une cigarette non allumée et un briquet à la main. Un personnel de bord l'a stoppée alors qu'elle tentait d'ouvrir la porte.
L'avocate de la prévenue, Helen Shilton, a fait valoir que sa cliente avait absorbé de l'alcool pour apaiser ses angoisses de l'avion.
La jeune femme, qui a fait état d'antécédents de somnanbulisme, dit n'avoir aucun souvenir de l'incident...


Source : AFP

[zhornette]

Le pilote de F1 Fisichella privé de permis de conduire pour excès de vitesse[21/11 - 09h39]

Le pilote italien de Formule 1 Giancarlo Fisichella a vu son permis de conduire suspendu par la police romaine, dimanche matin, après avoir été arrêté pour excès de vitesse, selon l'agence de presse Ansa.
Le pilote de l'écurie Renault a été contrôlé à 148 km/heure vers 6 heures du matin sur une avenue de la périphérie romaine où la vitesse est limitée à 60 km/heure. Son permis lui a été aussitôt retiré à titre conservatoire.
Giancarlo Fisichella a reconnu sa faute et a expliqué à l'agence Ansa qu'il était anxieux de se retrouver au chevet de son enfant malade. "J'étais chez des amis avec mon épouse", a-t-il raconté, "quand la nourrice de notre enfant nous a appelés pour nous avertir qu'il avait beaucoup de fièvre et qu'il réclamait sa mère, et nous sommes aussitôt rentrés".
"J'ai conscience que même dans ces situations, il faut respecter les limitations de vitesse", a-t-il ajouté. "Je suis prêt à payer pour ma faute", a ajouté le pilote automobile, qui s'est dit "très engagé en faveur de la sécurité routière".


Source : AFP

[Nirvana1381]

oulaaaa c'est tendu,meme la fille en dormant elle veut fumer
Pour ca que j'ai peur de prendre un vol de plus de 2 heure

Deja que dans le train pour allé a royan ct tendu(6 heure de trajet),mais on a fumer au aret
Mais le pire,c'est que faut pas que tu y pense,alor tu y pense encore plus ^^
En tout cas elle s'en tire bien avec 1000 dollars a payer

[zhornette]

Aujourd'ui, nous fêtons...

La présentation de Marie==>Présentation

[Carole]

Pauvre petite... Pourvu que ce soit pas encore un détraqué...

[zhornette]

SNCF: grosses difficultés attendues mardi pour la première journée de grève
[21/11 - 23h09]

Le trafic de la SNCF va connaître de fortes perturbations mardi, première journée d'une grève "illimitée et reconductible" lancée par quatre fédérations de cheminots (CGT, SUD Rail, FO et Fgaac) avec en moyenne un train sur trois, selon l'entreprise.
Si le trafic international (Eurostar, Thalys...) devrait être quasiment normal, ce sont les usagers des trains régionaux qui devraient être les plus affectés, avec seulement 28% des Corail en circulation et un trafic de 33% à 50% pour les trains express régionaux (TER).
Par ailleurs, le syndicat Sud de la RATP a annoncé lundi dans un communiqué avoir déposé un préavis de grève "illimité" à partir de jeudi, "au matin", "couvrant l'ensemble des salariés de la RATP", pour protester contre l'adossement des retraites des salariés de la RATP au régime général des retraites.
Le préavis de grève "illimité, reconductible en assemblée générale", déposé par le syndicat Sud de la RATP, "démarrera jeudi à 4h30", a précisé à l'AFP Bertrand Dumont, délégué central adjoint du syndicat.
Ce mouvement de grève vient s'ajouter au préavis de grève de 24h00 déposé par la CGT (majoritaire) pour la journée de mercredi, pour dénoncer une "remise en cause des services publics" et "les déréglementations successives des transports". "Nous appelons aussi les agents de la RATP à se joindre à la grève", lancée par la CGT, a précisé le responsable de Sud-RATP.
La grève à la SNCF, lancée pour dénoncer une "privatisation rampante", a débuté lundi à 20h00 pour 24 heures. Elle est renouvelable par assemblées générales et se nourrit de 23 revendications -emploi, salaires, organisation, missions- (15 pour CGT, SUD rail et FO, 8 pour la Fgaac).
Contrairement aux cinq mouvements précédents en 2005, celui-ci aura bénéficié de maintes attentions de la part de la direction et de l'éxécutif qui ont multiplié réunions et déclarations publiques pour tenter de l'éviter.
"Il est hors de question que la SNCF ne soit plus une entreprise publique, elle l'est et elle le restera évidemment", a-t-on affirmé dans l'entourage de M. Chirac.
Lundi, le ministre des Transports Dominique Perben a adressé une lettre aux syndicats pour leur "redire, une nouvelle fois et de la manière la plus forte, qu'il n'y a aucun projet de privatisation" de l'entreprise.
Le ministre a ajouté qu'il "espérait que les droits minimum des usagers seront respectés" et qu'il poussait "à la généralisation du service garanti" sur tout le territoire.
Dans le même temps, le président de la SNCF Louis Gallois a affirmé sur France Info ne "pas comprendre l'argument qu'on va privatiser" la SNCF, ajoutant: "Ne nous faisons pas peur avec un épouvantail à moineau!".
"Il faut saisir toutes les occasions de sortir de ce conflit et en tout cas il faudra en sortir le plus vite possible parce que personne n'en a besoin, ni les voyageurs, ni les clients du fret, ni l'entreprise, ni ses personnels", a déclaré M. Gallois.
Ce discours martelé tout au long du week-end n'a pas convaincu la Fgaac, qui a demandé lundi aux conducteurs de "répondre massivement à l'appel à la grève", devant l'absence de nouvelles propositions de la direction.
Implantée chez les seuls agents de conduite où elle représente près d'un tiers d'entre eux, la Fgaac ajoute toutefois "rester à la disposition de la direction pour réengager le dialogue et éviter une grève fortement pénalisante pour nos usagers et clients."
Pour Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT-cheminots présent samedi à la manifestation parisienne pour la défense des services publics, seul le "mouvement peut débloquer la situation".
"Je souhaite qu'à la faveur de cette mobilisation il y ait de véritables négociations et que l'on ait enfin des réponses bénéfiques au service public et à l'ensemble des cheminots", a-t-il indiqué à l'AFP.
M. Perben envisage, lui, de "généraliser à l'ensemble du territoire" le "dispositif contractuel arrêté avec le Syndicat transport d'Ile-de-France (STIF) d'un engagement de 33% de trafic, "pour maintenir le droit de grève mais aussi le droit des usagers d'avoir accès à un service minimum".


Source : AFP

[zhornette]

Avec l'arrivée du froid, la France se rappelle à nouveau de ses SDF
[21/11 - 23h07]

L'arrivée tardive ce week-end des premières températures véritablement hivernales, dangereuses pour les SDF, a suscité comme chaque année une mobilisation du gouvernement et des associations alors que les centres d'hébergement sont déjà submergés.
Selon le directeur du refuge La Mie de Pain, situé dans le 13e arrondissement de Paris, les lits sont remplis "à 102%" depuis début novembre alors qu'ils l'étaient à 44% à l'ouverture mi-octobre.
"Nous sommes déjà un peu au-dessus de nos capacités", explique Jacques Bresson qui insiste sur la volonté du centre d'être un lieu "d'hébergement régulier" et sur la priorité accordée aux "personnes de plus de 45 ans, ou aux personnes fragiles ou abimées".
La Mie de Pain dispose de 442 places destinées à des hommes et sert environ 600 repas par soir actuellement.
A l'association Entraide et partage avec les sans-logis, située dans le 10ème arrondissement de Paris, "les SDF sont beaucoup plus nombreux depuis quelques jours", note un bénévole. "Quand il fait froid, ils sont moins en mesure de se déplacer, ils cherchent de l'aide au plus près de l'endroit où ils dorment", explique-t-il.
L'association offre des couvertures, des repas pour environ 200 personnes, des vêtements et des chaussures d'hiver, des douches, des soins à l'infirmerie. "Nous sommes déjà à la limite de nos moyens financiers", explique le bénévole. "Nous aurions besoin de subventions mais elles nous sont souvent refusées".
A Emmaüs, les centres sont "pleins comme ils le sont généralement en niveau 1 du plan hivernal", commente un responsable, et l'accueil a "augmenté sensiblement depuis le week-end".
"Aujourd'hui, on arrive à répondre à la demande", a affirmé Catherine Vautrin, ministre déléguée à la Cohésion sociale, en visitant lundi un centre d'accueil Agora géré par Emmaüs. Situé rue de la Bourdonnais, dans le 1er arrondissement, le centre offre, 24 heures sur 24, repas, adresse postale, soins et même cybercafé aux sans-abris, qui ne peuvent toutefois pas y dormir.
La visite de la ministre n'a pas troublé la sieste d'une dizaine d'entre eux, assoupis sur des sièges.
"La situation climatologique ne justifie pas en Ile-de-France de passer au niveau 2", a indiqué Mme Vautrin, qui a annoncé un doublement des lignes téléphoniques du Samu social "la semaine prochaine" car le 115 est "souvent occupé".
Le plan d'urgence hivernale est activé à Paris et en Ile-de-France du 1er novembre au 31 mars, afin de "mettre en place un système d'alerte, de prise en charge et d'hébergement des personnes sans abri", selon les préfectures de police et de région.
Le cabinet de Mme Vautrin rappelle que l'hébergement d'urgence comprend 20.900 places disponibles toute l'année sur l'ensemble du territoire dans plus de 650 structures. Quelque 270 accueils de jour sont répartis sur l'ensemble du territoire lors de la première offensive du froid.
Le dispositif parisien d'hébergement sur Paris comprend 16.321 places ouvertes toute l'année, dont environ 3.390 places destinées aux sans-abri.
En période hivernale, des places supplémentaires sont ouvertes (767 places en niveau 1 du plan hiver, 324 en niveau 2/"Grand froid" et 245 en niveau 3/"Froid extrême").
Selon la directrice générale du Samu social, Stefania Parigi, qui s'exprimait dans le Parisien, il n'y avait déjà plus de lits dans la nuit de vendredi à samedi, et 23 personnes dont deux femmes n'ont pu être hébergées faute de place.
Malgré ces plans d'urgence, le froid continue de tuer chaque année en France des personnes en grande détresse sociale.


Source : AFP

[zhornette]

Voitures en feu dans un lycée: le gardien meurt d'une crise cardiaque
[21/11 - 22h54]

Le gardien du lycée de la Plaine-de-Neauphle à Trappes (Yvelines), est mort d'une crise cardiaque dans la nuit de dimanche à lundi en tentant d'éteindre 6 voitures en feu dans la cour de l'établissement, un décès qui a provoqué une vive émotion.
L'homme, âgé de 52 ans, avait été réveillé peu avant 04H00 par le bruit des voitures qui flambaient à quelques mètres seulement de sa loge. Après avoir alerté les pompiers, et alors qu'il s'affairait avec eux extincteur en main et tentait de pousser une voiture hors du brasier, il a été pris d'un malaise, avant de s'effondrer victime d'une crise cardiaque. Malgré les efforts des secours il n'a pu être ramené à la vie.
Il habitait là depuis dix ans dans un petit appartement de béton et de briques rouges à l'entrée du lycée avec sa compagne, la fille de celle-ci scolarisée dans l'établissement, et son propre fils âgé de 22 ans.
L'annonce de son décès a créé une vive émotion lundi matin aux portes du lycée, situé dans un quartier sensible de Trappes, accentuée, en fin de matinée, par le ballet des voitures officielles conduisant sur place le ministre de l'Education nationale, Gilles de Robien.
Jean-Paul Huchon, président PS de la région Ile-de-France, s'est également rendu sur place, ainsi que le préfet des Yvelines, Bernard Niquet, le recteur de l'académie de Versailles, Alain Boissinot, et le procureur adjoint de la République Jean-Michel Desset.
Pour M. Huchon, interrogé par l'AFP, "l'affaire est terriblement triste parce qu'il s'agit d'un agent qui depuis deux ou trois semaines était au four et au moulin", en raison des incidents dans les banlieues.
Selon lui en pleine nuit, un ou des individus ont lancé au dessus du portail métallique des cocktails Molotov. "Il a voulu éteindre le feu et, victime d'épuisement et ayant une fragilité cardiaque, n'a pu être réanimé", a-t-il ajouté.
Mais pour le président de la région, le quartier "est un lieu où il y a manifestement un déficit de police", avec "un poste de police que la région a financé, où il n'y a pas un fonctionnaire et qui est fermé".
Pour Jean-Paul Huchon, "le lycée était gardienné depuis trois semaines", mais ne l'était plus depuis deux jours "en raison d'une accalmie des violences dans les banlieues" mais il le sera de nouveau "à partir de ce soir et pour le temps qu'il faudra".
Le président de la région a également indiqué étudier "les améliorations qu'on pourrait apporter à la clôture et aux caméras vidéo" de l'établissement, estimant que le lycée de la Plaine-de-Neauphle bénéficiait déjà "de l'essentiel".
De son côté le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien interrogé par l'AFP lors d'un déplacement à Grenoble (Isère), a déclaré ressentir "un sentiment de révolte", estimant que certains "ne mesurent pas les conséquences de leurs actes". Il a ajouté qu'il n'acceptait pas "que les professeurs se culpabilisent, mais que c'est la société tout entière qui produit des enfants violents".
Pendant ce temps, regroupés à l'extérieur, les cours ayant été suspendus, certains élèves se souvenaient, certains en larmes, du gardien de petite taille et "toujours en survêtement" qu'ils croisaient plusieurs fois par jour dans l'établissement. D'autres estimaient que "si c'était un prof ce serait déjà la grève générale".
Le parquet de Versailles a confié l'enquête à la Sûreté départementale des Yvelines qui poursuivait lundi soir ses investigations sur place et qui, selon une source proche de l'enquête, pourrait confondre rapidement les incendiaires dont les méfaits ont été fatal au paisible gardien de lycée.


Source : AFP

[zhornette]

Une Britannique réprimandée par la police pour avoir donné le sein en public[21/11 - 20h43]

Une Britannique de 34 ans a expliqué lundi comment elle a été réprimandée par la police pour avoir donné le sein à son bébé, sur un banc public, après la plainte déposée par un passant visiblement offusqué.
"Le policier m'a précisé que si je voulais donner le sein à mon enfant, je devais le faire dans un pub ou un restaurant", a expliqué Margaret Boyle-White lundi à la presse britannique, en racontant l'incident.
La jeune femme venait de finir d'allaiter sa fille Niamh, âgée alors de 28 jours, à Watton, dans le Norfolk (est de l'Angleterre), en juin dernier, quand elle a été abordée par un policier dépêché sur les lieux après la plainte déposée par un habitant de la commune.
"Je me suis sentie traitée comme une criminelle", a expliqué Mme Boyle-White, qui demande désormais des excuses officielles.
Un porte-parole de la police du Comté du Norfolk a confirmé qu'un de ses agents était intervenu auprès de Mme Boyle-Smith mais a assuré que celui-ci avait agi de "façon discrète et professionnelle" et qu'aucune plainte officielle n'avait encore été déposée par la jeune mère.


Source : AFP

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Aujourd'hui, nous fêtons...

CÉCILE (Sainte), Coecilia, vierge et martyre à Rome, au troisième siècle, patronne des musiciens, honorée le 22 novembre.
Issue d'une ancienne et illustre famille, sainte Cécile fut élevée chrétiennement bien que son père et sa mère fussent païens. Après avoir converti le jeune Valérien, que ses parents lui destinaient pour époux, et Tiburce, frère de Valérien qui subirent tous deux le martyre, elle comparut elle-même devant le préfet de Rome, qui la menaça des plus cruels supplices si elle ne sacrifiait aux dieux. « Je suis chrétienne, dit sainte Cécile, et prête à verser tout mon sang pour Jésus-Christ. » Elle fut condamnée à être décapitée.
Fortunat de Poitiers, le plus ancien auteur qui ait parlé de sainte Cécile, dit qu'elle fut martyrisée, nom pas à Rome, au troisième siècle, mais en Sicile, au deuxième siècle, sous les empereurs Commode et Marc-Aurèle, et que son corps fut transporté de Sicile à Rome. Quoi qu'il en soit, son nom se trouve dans les plus anciens martyrologues, son office dans les plus anciens missels, et l'Église l'a placée dans le canon de la messe comme vierge et martyre. Il y avait à Rome, dès le cinquième siècle, une église dédiée à sainte Cécile, et dans laquelle le pape Symmaque tint un concile en 499. Cette église tombant en ruine, le pape Pascal Ier la fit rebâtir au commencement du neuvième siècle et y replaça les reliques de sainte Cécile avec celles de saint Valérien et de saint Tiburce. Les musiciens l'ont choisie pour patronne, parce que, selon les actes de son martyre, elle s'accompagnait d'un instrument en chantant les louanges du Seigneur.

[Carole]

Eh!! Ils ont retrouvé la petite Aurélia vivante! Lire l'article

[zhornette]

Eh!! Ils ont retrouvé la petite Aurélia vivante!  Lire l'article

Ca c'est une super nouvelle!!

Merci Carole!!

[Carole]

Ce fut un plaisir

[zhornette]

RATP: trois préavis de grève pour mercredi, jeudi et vendredi
[22/11 - 18h09]

Trois préavis de grève ont été déposés au total à la RATP, deux par la CGT (majoritaire) pour 24 heures mercredi et vendredi, et un préavis de grève illimité par le syndicat Sud à partir de jeudi, pour défendre le statut de l'entreprise publique, selon des sources syndicales.
Des perturbations sont à prévoir mercredi, essentiellement dans le métro parisien, a prévenu la direction de la régie, avec 3 rames qui vont circuler sur 5. Sur la ligne A du RER, le trafic sera de 4 trains sur 5 et sur la ligne B du RER, 2 trains sur 3 sont annoncés.
Concernant les bus, la direction prévoit 4 bus sur 5 et 4 tramways sur 5.
Outre la journée de mercredi, le syndicat CGT de la RATP a lancé un appel à une grève de 24 heures pour vendredi, jour de réunion d'un conseil d'administration (CA) consacré au budget 2006 de l'entreprise (exploitation et investissement), a précisé à l'AFP Olivier Villeret, secrétaire général de la CGT métro-RER.
La réforme du régime spécial de retraite des agents de la RATP, qui doit être adossé au régime général, sera également au menu de ce CA et du comité d'entreprise (CE) de la RATP qui se tient mercredi.
Le syndicat Sud a lancé un appel à une grève illimitée des agents de la RATP à partir de jeudi matin.
Les deux syndicats CGT et Sud, qui n'ont pas été suivis par les autres organisations syndicales, craignent "un abandon du statut de l'entreprise publique" et "une possibilité de mise en concurrence sur les transports en région Ile-de-France", a souligné Olivier Villeret.
La RATP a mis en place, ce mardi, depuis 14h00, un numéro vert 0 800 15 11 11 pour informer les voyageurs sur l'état du trafic.
La direction de la RATP invite également les voyageurs à consulter les sites d'informations suivants:
Internet: www.ratp.fr
Information par un téléconseiller: 08 92 68 77 14 (0,34 euro/mn)


Source : AFP

[zhornette]

La tempête Gamma a fait au moins 32 morts au Honduras[22/11 - 16h16]

Des pluies diluviennes dans le nord du Honduras, après le passage de la tempête tropicale Gamma, ont fait au moins 32 morts, selon un nouveau bilan annoncé dans la nuit de lundi à mardi par la Commission permanente d'urgence (Copeco).
Les autorités honduriennes font par ailleurs toujours état de 13 disparus et 23.235 évacués à la suite des précipitations.
Les pluies ont entraîné l'évacuation de 23.235 personnes, dont 20.700 ont été hébergées et 2.144 sinistrées, a déclaré le responsable du Copeco, Luis Gomez.
Le Copeco a également signalé à l'AFP le cas de six membres d'une même famille, non comptabilisés parmi les victimes, qui ont été ensevelis par une coulé de boue à Locomapa, dans le département de Yoro, à environ 240 km au nord de la capitale.
Dimanche et lundi, 18 hélicoptères ont survolé les zones sinistrées pour secourir les victimes, souvent réfugiées sur le toit de leur maison, cernée par les eaux ou la boue.
Gamma était la 23e tempête tropicale à s'être formée dans l'Atlantique au cours de la saison cyclonique 2005, la plus active jamais enregistrée par les services météorologiques américains.


Source : AFP

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Vu au salon Milipol: un "gilet" pare-balles pour chien
[22/11 - 18h58]

Au salon Milipol du Bourget (Seine-Saint-Denis), où les exposants rivalisent d'équipements high tech destinés à la protection des forces de l'ordre, le meilleur ami de l'homme n'est pas oublié : un fabricant allemand y propose un "gilet" pare-balles pour chiens.
Cet équipement est déjà en service dans l'armée suisse, assure Thomas Kühnlein, interrogé sur le stand de la société Mehler, au salon mondial de la sécurité intérieure des Etats.
D'un poids d'environ 3 kilogrammes, il protège également des coups de couteau. Deux attaches permettent d'hélitreuiller l'animal directement sur le lieu d'intervention. Il est disponible en six tailles.
Ces "gilets" ne se vendent pas au détail, mais leur prix est de l'ordre de 800 à 1.000 euros.


Source : AFP

[zhornette]

Aujourd'hui, nous fêtons...

La fête du Christ Roi

La fête du Christ Roi de l’univers vient nous dire que toute la création est transformée dans le Christ. Tout l’univers est renouvelé dans la mort, la résurrection et la montée au cieux du Christ.

[zhornette]

Retour à la normale à la SNCF, aucune perturbation à la RATP
[24/11 - 10h08]

Le retour à la normale se confirmait ce jeudi à la SNCF excepté en Champagne-Ardennes et aucune perturbation n'était à signaler à la RATP, selon les directions.L'événement
Les trains circulent normalement sur l'ensemble du réseau de la SNCF notamment en Ile-de-France, a précisé la direction de la SNCF. Quelques perturbations sont néanmoins attendues dans la circulation des TER en Champagne-Ardennes, principalement à Charleville-Mézières, a ajouté la SNCF.
Concernant Paris et sa région, tout est normal sur l'ensemble du réseau de la RATP conformément aux prévisions de la veille, affirme de son côté la régie qui ne signale aucune pertubation sur ses lignes.
Après la CGT mercredi, le syndicat Sud a déposé à partir de ce jeudi un préavis de grève illimitée contre le projet de réforme du financement du régime de retraite de la régie, qui doit être adossé au régime général.
"Cette contre-réforme n'a pas d'autre but que de balayer le dernier obstacle à la privatisation de l'entreprise, entraînant des conséquences graves pour les usagers, en termes de qualité de service et de sécurité", affirme le syndicat.
La CGT, dont l'appel à la grève n'avait entraîné mercredi que de "très légères" perturbations sur trois lignes (6,2,9) selon la direction, a déposé un autre préavis pour vendredi.
A la SNCF, la reprise progressive du trafic et la chute à 10% du nombre de grévistes (CGT, SUD rail, FO, Fgaac) dès mercredi matin ne laissaient plus de doute sur l'issue du sixième conflit national de l'année. "En terme d'image", celui-ci, selon Louis Gallois, "aura fait du mal à l'entreprise et particulièrement au fret". Son coût total, mesures comprises, aura coûté quelque "45 millions d'euros", souligne-t-on.
Les premiers à voter la reprise du travail, dans une ambiance "d'amertume", ont été les cheminots de la Gare de Lyon, suivis dans la foulée par ceux des régions de Bourgogne, Auvergne, Bretagne, etc. Seules quelques "poches de résistance" se sont manifestées à Limoges, Reims ou dans la région de Nantes, où des agents de conduite ont voté la poursuite du mouvement, selon Sud-rail.
La SNCF a fait état d'un taux de grévistes de 10%, soit une chute de plus de moitié par rapport à mardi (22,8% mais autour de 30% selon la CGT-cheminots). Tournant important, la FGAAC (plus de 30% des agents de conduite) avait appelé dès mercredi midi les cheminots "à ne pas reconduire" la grève. Son secrétaire général, William La Rocca, a fait valoir que le travail de nuit des conducteurs allait faire l'objet de "réunions de travail" avec la direction. "Nous nous y rendrons forts de la légitimité que la mobilisation à la grève nous a donnée", a-t-il déclaré.
De son côté Didier Le Reste, le secrétaire général de la CGT-cheminots, s'est réjoui de l'impact de la grève: "le gouvernement a été obligé de sortir du bois, comme Jacques Chirac, et je ne fais pas la fine bouche quand il annonce que la SNCF est et restera publique", a-t-il déclaré. Il a souligné que la grève avait permis d'ouvrir "de véritables négociations".
Le président de la SNCF, Louis Gallois, a insisté au contraire sur la "faible mobilisation" des cheminots: "la plus faible" en 2005 et "l'une des plus faibles (...) depuis que je suis à la SNCF", a-t-il dit, ajoutant que cela "l'aiderait" à promouvoir "la culture du compromis" à la SNCF. La veille, M. Gallois avait annoncé l'ouverture de discussions sur le travail de nuit des agents de conduite, 700 recrutements plus 200 dans le service client, une prime de 120 euros, la hausse des rémunérations de 0,3% au 1er janvier et la réintégration dans le giron de la SNCF de l'activité iDTGV.


Source : AFP

[zhornette]

Le ravisseur d'Aurélia et sa compagne présentés jeudi au juge
[24/11 - 10h14]

Le ravisseur présumé de la petite Aurélia a révélé mercredi, au premier jour de sa garde à vue, qu'il n'avait pas prémédité l'enlèvement de la fillette, victime selon la procureure d'une scène "de violence", et qu'il a finalement libérée car il se sentait acculé.
L'homme de 36 ans et sa compagne ont "commencé à parler" aux enquêteurs et devraient être déférés jeudi après-midi devant le juge d'instruction chargé de l'enquête, a indiqué la procureure d'Angers Brigitte Angibaud. Deux autres femmes ont également été placées en garde à vue mercredi, soupçonnées notamment de n'avoir pas dénoncé le rapt. La magistrate a précisé que le ravisseur présumé avait déclaré n'avoir "pas prémédité son acte" et qu'il avait eu l'idée d'enlever Aurélia et sa soeur "au moment ou il les a vues", jouant dimanche sur un parking de Jallais (Maine-et-Loire).
Ensuite, "il s'est arrêté dans un bois et a enfermé la fillette dans un sac de sport. Il est rentré chez lui et a ouvert le sac devant son épouse". Un peu plus tard, "s'est passé une scène constitutive de violence", que la procureure a qualifiée de "douloureuse" sans en dire davantage. Il "a utilisé l'enfant comme un objet", a-t-elle simplement précisé.
L'homme est soupconné d'enlèvement et de séquestration mais aussi de violences aggravées sur mineur de 15 ans. Sa femme, âgée de 30 ans, qui a également participé à "cet épisode de violence", est poursuivie pour les mêmes faits, à l'exception de l'enlèvement. Ils risquent tous les deux 20 ans de réclusion. Les deux autres personnes placées en garde à vue sont soupçonnées notamment de non-révélation. Il s'agit d'une femme qui, "le mardi après-midi, alors qu'elle prenait le café" chez le couple, "a appris qu'Aurélia était présente au domicile", n'a rien signalé, et a aidé à faire disparaître des preuves. L'autre personne est une femme qui "a appris qu'Aurélia était dans la maison et n'a rien signalé". Toutes deux risquent 3 ans de prison. Le couple a été arrêté mardi un peu avant 20H00 à leur domicile de Villedieu-la-Blouère après un appel téléphonique de l'épouse annonçant aux gendarmes que son mari "souhaitait se rendre". Ce dernier a ensuite reconnu les faits.
Le suspect et son épouse qui, pour l'instant n'ont pas affiché de remords, selon la procureure, "étaient arrivés à un niveau de pression qui n'était plus supportable. Ils se sont sentis acculés".
Mais même si sa compagne n'avait pas appelé les gendarmes, l'homme aurait été interrogé car un appel reçu au numéro vert le "dénonçait expressement au vu du portrait-robot et de la description de la voiture". Le couple a finalement déposé lundi soir saine et sauve la petite Aurélia dans un quartier résidentiel de Cholet (Maine-et-Loire), à une quinzaine de kilomètres de Jallais. L'homme "a ramené l'enfant à Cholet avec son épouse et ses deux fillettes", âgées de 9 et 2 ans. Aurélia était de nouveau enfermée dans le sac de sport, installée entre les deux fillettes. Les deux filles du couple ont été "placées à l'hôpital" où elles "sont en cours d'examen et d'audition", avant d'être confiées à l'Aide à l'enfance. "Un juge pour enfant sera saisi", a précisé la procureure.
A Villedieu, la nouvelle a surpris tout le monde. "C'est une chose qui m'étonne. Je le voyais aimant beaucoup les enfants", a déclaré mercredi son frère. Le ravisseur présumé a "une nature peu causante" et, après une formation de peintre en bâtiment, recevait "des allocations-handicapés à la suite d'une dépression", selon son frère, visiblement choqué.


Source : AFP