1001 réponses à ce sujet

[Carole]

Une université galloise lance un diplôme de chasseur de vie extraterrestre[28/09 - 17h14]
 
L'université de Glamorgan, au Pays de Galles, a annoncé la création d'un diplôme d'étude de la vie extraterrestre, formation qu'elle présente comme une première au Royaume-Uni.
Des étudiants se sont déjà inscrits cette semaine pour ce cours de premier cycle d'astrobiologie d'une durée de trois ans, mené par le Centre d'Astronomie et d'Education scientifique.
D'après Mark Brake, professeur principal, il existe un fort intérêt pour le sujet, comme le prouve le récent enthousiasme généré par la découverte probable de vie sur Titan.
Le nouveau cursus comprendra notamment des modules d'exploration du ciel ou de zoologie des vertébrés mais aussi des recherches en laboratoire et des cours d'astronomie. Il s'intéressera également à la culture populaire.
"L'intérêt des gens pour des sujets scientifiques sérieux est souvent lancé par la culture populaire", a expliqué le professeur Brake. "Des films comme "E.T." ou "Rencontre du 3e type" trouvent leur place dans le cursus, car ils ont influencé les scientifiques en charge des recherches", a-t-il ajouté.


Source : AFP

Génial!! Ca m'intéresse ça!!

[zhornette]

Je vous mets la fête à souhaiter pour demain, car c'est pas sur que je puisse passer

JÉRÔME (Saint), Hieronymus (nom sacré, en grec), docteur de l'Église aux troisième et quatrième siècles, honoré le 30 septembre.
De la Dalmatie où il était né, vers l'an 331, Jérôme se rendit à Rome pour y étudier les belles lettres. Il reçut le baptême dans cette ville, et peu après il alla s'ensevelir dans les déserts de la Chalcide, en Syrie, et s'y consacra pendant un grand nombre d'années à l'étude, au jeûne et à la prière. En même temps, pour gagner sa vie, il cultivait la terre ou tressait des nattes et des corbeilles de jonc. En butte à la haine et aux persécutions des pélagiens et des autres hérésiaques qu'il avait combattus par ses écrits, il fut forcé de quitter sa retraite et se rendit à Antioche, où l'évêque saint Paulin l'ordonna prêtre ; mais dans son humilité, il ne se crut jamais digne de remplir les fonctions du sacerdoce. Après avoir accompli un pieux pèlerinage en Palestine, il alla à Rome où le pape Damase, qui l'avait en grande estime, le retint auprès de lui. Plusieurs dames romaines d'une illustre naissance, parmi lesquelles on distinguait Paule et Eustochie, sa fille, qui furent des saintes, se mirent sous la direction de Jérôme, et les lettres qu'il leur adressa dans la suite nous ont conservé une partie des instructions naïves et touchantes du saint docteur. De Bethléem il écrivait à l'une de ces dames romaines qui lui demandait des conseils pour l'éducation de sa jeune enfant : « Dès que votre fille apprendra les premiers éléments de la lecture, donnez-lui des lettres de buis ou d'ivoire ; elle s'en servira pour jouer, et le jeu deviendra instructif pour elle. Dans la lecture ingrate des syllabes, animez son zèle en lui promettant quelques petits dons que son âge comporte, des fleurs printanières, d'élégantes poupées. Lorsque d'une main tremblante elle commencera à promener le style sur la cire, il faut qu'une main étrangère conduise ses petits doigts, qu'on lui imprime sur la tablette les caractères des lettres, afin qu'elle suive les mêmes sillons et ne puisse pas s'en écarter. Veillez surtout à ce qu'elle ne prenne pas l'étude en aversion, de crainte que ce dégoût, venu de l'enfance, ne se retrouve dans un âge plus avancé. C'est la mère qui doit servir de maîtresse à la jeune enfant : on instruit bien mieux par de bons exemples que par de belles paroles. » Après ces conseils, saint Jérôme ajoutait que si l'éducation de l'enfant était trop difficile à faire à Rome, sa mère pouvait l'envoyer à Bethléem, et il s'offrait lui-même pour lui servir de maître et de nourricier : « Je la porterai sur mes épaules, disait-il et tout vieux que je suis, je me ferai pour elle des balbutiements enfantins. »
Après la mort du pape Damase, Jérôme retourna en Palestine et fixa sa demeure à Bethléem. Ce fut là que ce saint docteur écrivit la plupart de ses ouvrages sur l'Ecriture sainte. Non seulement des traités pour faciliter l'intelligence des livres saints, mais encore il entreprit de traduire en latin le texte de l'Écriture, et dans ce dessein, il fit une étude laborieuse et approfondie de la langue hébraïque. Il enrichit ainsi l'Église d'une nouvelle version, connue sous le nom de Vulgate et adoptée comme canonique par le concile de Trente. Au milieu de ces grands travaux, il instruisait encore de jeunes enfants et dirigeait le monastère que sainte Paule venait de fonder en Palestine. Cet illustre docteur mourut, l'an 420, le 30 septembre, jour auquel l'Église célèbre la mémoire de ses vertus et de son immortelle science.

[dTect]

Merci zhornette ... même quand elle n'est pas là, on a la fête du jour !
Faudrait que je laisse un message à un pote d'ailleurs !

[Stepquest]

Ne dit on pas dans les recoins perdus, les méandres les plus entrelacés du forum d’Autocadre, en ces lieux où nul lumière ne vient troubler les solitudes, où nul son aigu, médium ou grave ne vient tarir l’absolu silence, dans les sentiers électroniques et multimédiatiques parcourus des zébrures postuesques de nos membres valeureux en éclairs éblouissants, brefs, ne dit on pas :

« Un jour sans Zhornette, est un moment raté, une journée tristounette »,
« Avec Zhornette, le monde soudain est chouette »,
« J’aime la vie Zhornette car elle devient gaitte »
« Avec Zhonnette, jamais de pirouette, c’est propre, c’est net »
« Présence de Zhornette, et c’est la fête »

Aller, j’arrête !

[zhornette]

Ne dit on pas dans les recoins perdus, les méandres les plus entrelacés du forum d’Autocadre, en ces lieux où nul lumière ne vient troubler les solitudes, où nul son aigu, médium ou grave ne vient tarir l’absolu silence, dans les sentiers électroniques et multimédiatiques parcourus des zébrures postuesques de nos membres valeureux en éclairs éblouissants, brefs, ne dit on pas : 

« Un jour sans Zhornette, est un moment raté, une journée tristounette »,
« Avec Zhornette, le monde soudain est chouette »,
« J’aime la vie Zhornette car elle devient gaitte »
« Avec Zhonnette, jamais de pirouette, c’est propre, c’est net »
« Présence de Zhornette, et c’est la fête »

Aller, j’arrête !

très sympa

[zhornette]

ce week-end, nous fêtons...


Samedi :

Marie-Françoise-Thérèse Martin naquit à Alençon (Orne) le 2 janvier 1873. Elle arrivait en ce monde dans une famille chrétienne assez exceptionnelle, puisque le père et la mère avaient tous deux désiré la vie religieuse avant leur mariage, et que les cinq filles qui survivront d'une famille de neuf enfants, deviendront toutes religieuses, dont quatre dans le même carmel, celui de Lisieux. Thérèse bénéficiera d'une formation chrétienne profonde, et le désir de la vie religieuse mûrira très tôt en elle. Elle n'a que quinze ans quand elle souhaite entrer au Carmel. La sagesse humaine qui s'y oppose, ne la fera jamais changer d'avis sur ce point, et elle réalisera son projet. C'est dans cette communauté où elle vivra obscurément qu'elle élaborera sa spiritualité, destinée à modifier la conception des rapports de l'homme avec son Dieu qui prévalait à cette époque. Les épreuves de toutes sortes ne lui furent pas épargnées : désolations spirituelles, doutes, frottements dans la vie commune, souffrances physiques. Elle mourut à vingt-quatre ans, le 30 septembre 1897. A la demande de sa supérieure, elle avait rédigé ses mémoires. Ce texte, paru d'abord sous le titre Histoire d'une âme, publié par la suite dans l'édition authentique (Manuscrits autobiographiques) l'a fait connaître bien au-delà du monde catholique. Avant de mourir elle avait dit : « Je veux passer mon ciel à faire du bien sur la terre. » Les innombrables grâces venues d'en haut par son intercession, montrent qu'elle a tenu sa promesse. Thérèse a été canonisée en 1925 et déclarée patronne des missions.

Dimanche :

LÉGER (Saint), Leodegarius, évêque d'Autun, martyr au septième siècle, honoré le 2 octobre.
Issu d'une illustre famille, saint Léger naquit l'an 616 et fut élevé par les soins de son oncle Didon, évêque de Poitiers. Après avoir gouverné pendant plusieurs années le monastère de Saint-Maixent, il fut appelé à la cour, en 656, par sainte Bathilde, régente du royaume de Neustrie, pendant la minorité de son fils Clotaire III, et il la servit utilement de ses conseils. Nommé évêque d'Autun, il rétablit la paix dans ce diocèse qui depuis deux ans était sans pasteur et livré à toutes sortes de désordres. Après la mort de Clotaire III, saint Léger jouit d'une grande faveur auprès de Childéric II, qui se laissa d'abord diriger par ses sages avis ; mais ensuite ce prince s'abandonnant à ses passions et ne voyant dans son conseiller qu'un censeur incommode, relégua saint Léger au monastère de Luxeuil. Childéric périt misérablement peu de temps après ; Thierri, son successeur, rendit saint Léger à son diocèse, où il fut reçu au milieu des transports d'allégresse de tout le peuple. Cette joie devait être de courte durée. Le maire du palais, Ébroïn, qui haïssait mortellement saint Léger, parce que le digne évêque avait combattu ses desseins ambitieux, vint assiéger Autun avec une armée. Saint Léger, sachant bien que c'était contre lui seul que cette attaque était dirigée, et voulant épargner à la ville les horreurs d'un siège, assembla son peuple dans l'église, lui fit ses adieux, et après avoir distribué aux pauvres tout ce qu'il possédait, il alla se livrer à ses ennemis. Ébroïn lui fit aussitôt crever les yeux, et plus tard des soldats, envoyés par cet implacable ennemi, se saisirent de saint Léger et le mirent à mort dans une forêt de l'Artois qui porte encore son nom. Le corps du saint martyr fut déposé au monastère de Saint-Maixent.

[zhornette]

Fratrie disparue à Ramatuelle: vers l'ouverture d'une information judiciaire
[01/10 - 18h46]

Le parquet de Draguignan a annoncé samedi son intention d'ouvrir lundi une information judiciaire concernant la mystérieuse disparition, à Ramatuelle (Var), de deux frères et de leur soeur, dont le père a récemment mis fin à ses jours.
Vendredi, le parquet avait qualifié d'"inquiétante" la disparition, depuis le 16 juin, de Jean-Baptiste Thirard, 16 ans et de son frère Mathieu, 18 ans, ainsi que de leur soeur, Émilie, 20 ans, qui n’a pas réapparu depuis le 6 août au domicile de Ramatuelle où les enfants vivaient avec leur père.
Un avis de recherche les concernant a été diffusé dans la presse locale vendredi sur autorisation du procureur de la République de Draguignan tandis que l'hypothèse d'un "drame familial" n'était pas écartée par le justice.
Le père des jeunes gens, Dominique Thirard, 43 ans, ancien boucher victime d'invalidité à la suite d’un accident du travail et souffrant d’une grave maladie, s'est suicidé lundi à Woincourt (Somme), au domicile de ses parents où il s’était installé quelques jours plus tôt.
Dans une lettre laissée à ses proches, il aurait exprimé qu’il ne supportait plus la "douleur", indique-t-on de source proche du dossier.
C'est lui-même qui, en juin, était venu signaler aux gendarmes de Saint-Tropez (Var), la disparition de ses deux fils précisant que ces derniers, coutumiers de fugues, pourraient s'être rendus à Nice chez des amis.
Il avait également confié que son épouse avait récemment quitté le domicile familial et que Jean-Baptiste et Mathieu avaient peut-être été perturbés par cette rupture.
Quelques jours plus tard, il avait informé les gendarmes qu’il avait eu des nouvelles de ses enfants et qu’il n’y avait plus de raison de s’inquiéter.
La découverte, durant l'été à Nice, d’un papier d’identité des deux frères, a conforté l’hypothèse de leur présence dans cette ville.
Début août, la brigade de Saint-Tropez a été informée par le maire de Ramatuelle, Roland Bruno, que des affiches signalant la disparition d’Émilie Thirard, la soeur des garçons, avaient été apposées dans le village par ses amis.
De nouveau entendu, Dominique Thirard avait émis l'hypothèse que sa fille, employée dans un restaurant, avait rejoint un ami à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), avant d'affirmer aux gendarmes, quelques jours plus tard, avoir eu des contacts avec elle.
Egalement entendue, la mère des enfants a déclaré que son mari lui avait donné des nouvelles mais qu'elle n'avait pas eu de contacts directs avec eux.


Source : AFP

[zhornette]

Les ports de Corse débloqués jusqu'à mardi, le conflit à la SNCM perdure
[02/10 - 15h20]

Le Syndicat des travailleurs corses (STC, nationaliste) a décidé dimanche de débloquer tous les ports de Corse jusqu'à mardi, ce qui permettra aux derniers touristes en attente de quitter l'île, même si le conflit autour de la privatisation de la SNCM perdure.
Lundi, ce conflit fera l'objet d'une rencontre à Marseille entre les ministres de l'Economie, Thierry Breton, et des Transports, Dominique Perben, et les partenaires sociaux.
Pour Alain Mosconi, le secrétaire national du STC-marins, débloquer les ports de Corse correspondait à "une mesure de responsabilité. Nous ne sommes pas des jusqu'aux-boutistes et nous sommes conscients de la situation dégradée", a-t-il déclaré.
Depuis samedi, le port d'Ajaccio avait recommencé à fonctionner après une intervention des forces de l'ordre.
Plus de 5.000 passagers bloqués en Corse sont déjà rentrés sur le continent grâce à des rotations de navires des compagnies Corsica Ferries et CMN depuis Ajaccio. 6.500 autres devaient suivre dimanche depuis Ajaccio grâce à six rotations de navires.
Les mouvements reprendront également dès dimanche après-midi depuis Bastia où quelques milliers de touristes, français et étrangers, sont en souffrance, a indiqué la préfecture de Haute-Corse dans un communiqué.
Les navires au départ d'Ajaccio seront contrôlés au préalable par des démineurs "pour éviter des mauvaises surprises et rassurer les passagers", a indiqué le préfet de Corse, Pierre-René Lemas, à la suite d'une alerte à la bombe anonyme lancée samedi contre tous les navires au départ de l'île.
La préfecture n'a pas encore indiqué si cette mesure s'appliquera aux navires partant des autres ports, débloqués après l'annonce du préfet.
Une fausse alerte à la bombe avait été lancée par téléphone à 19H45 samedi par un correspondant anonyme au quotidien Corse-Matin: il précisait qu'une charge explosive, "de 52 g", avait été placée dans une voiture à bord du navire Girolata, le premier à quitter Ajaccio samedi. Il avait surtout annoncé que "des actions du même type" seraient menées contre "tous les autres navires" quittant Ajaccio, sans préciser de durée.
Des démineurs et des équipes cynophiles avaient dû être dépêchés sur le Girolata dans la nuit alors que le navire se trouvait en pleine mer. Ils n'ont rien trouvé. Les passagers, endormis dans leur cabine, ne se sont aperçu de rien pour la plupart.
Le conflit à la Société nationale Corse-Méditerranée (SNCM) qui est entré dimanche dans son treizième jour, est toujours dans l'impasse en dépit du déblocage temporaire des ports corses. Les syndicats ont manifesté samedi à Bastia et à Marseille pour rappeler leur opposition à toute privatisation de la compagnie publique.
A Bastia, quelque 2.500 personnes selon la police, 8 à 9.000 selon les manifestants, ont défilé dans le calme au lendemain de la remise en liberté des quatre marins du STC ayant détourné un navire de la SNCM. Des heurts violents ont éclaté ensuite entre un groupe de jeunes encagoulés et les forces de l'ordre. Un policier a été blessé alors qu'un attentat visait une navette des douanes dans le port de Bastia.
Le gouvernement, qui souhaitait une privatisation à 100% de la SNCM a revu sa copie et propose aujourd'hui que le fonds d'investissement Butler Capital Partners reprenne 40% du capital de la compagnie maritime publique en difficulté. Connex, filiale transport du groupe Veolia (ex-Vivendi), en prendrait 30%. L'Etat conserverait 25% et les salariés obtiendraient 5%.
Les syndicats réclament que l'Etat reste majoritaire et poursuivent leur grève, bloquant les navires SNCM à quai.
Parallèlement au conflit de la SNCM, les employés du Port autonome de Marseille (PAM), bloqué depuis cinq jours, poursuivent leur grève jusqu'à lundi. Ils s'inquiètent des menaces de privatisation qui pèsent sur le port.
La CGT du port a été rejointe par les dockers qui resteront pour leur part en grève tant que les forces de l'ordre qui ont dégagé samedi les accès au terminaux pétroliers du PAM, à Fos-sur-Mer et Lavéra, resteront en place.


Source : AFP

[zhornette]

Nissan invente une voiture dont la cabine pivote à 360 degrés
[30/09 - 10h37]

Le constructeur automobile japonais Nissan a dévoilé vendredi à Tokyo une nouvelle voiture-concept, la "Pivo", dont la cabine peut pivoter à 360 degrés de façon à faciliter les manoeuvres, en éliminant notamment la nécessité de faire marche-arrière.
Cette voiture électrique, équipée d'une batterie en lithium, peut atteindre la vitesse de 80 km/h. Elle comporte trois sièges, le conducteur prenant place au milieu de ses deux passagers.
"Grâce à une technologie filaire de Nissan, nous avons supprimé le contact mécanique entre la cabine et le châssis. C'est ce qui permet à la cabine de pouvoir tourner en rond", a expliqué Hidetoshi Kadota, un des directeurs de la division d'ingénierie avancée de Nissan.
La Pivo, d'une longueur de 2,7 mètres, ressemble à un oeuf monté sur un charriot à quatre petites roues. Elle peut rouler indifféremment dans un sens comme dans l'autre, selon la position de la cabine.
Ses capots avant et arrière comportent des coussins de façon à ce qu'on puisse s'asseoir confortablement dessus lorsque la voiture est arrêtée.
Elle est également équipée de quatre caméras vidéo qui filment l'extérieur du véhicule de façon à éliminer les angles morts, et de commandes à infra-rouge qui permettent de gérer le système de navigation et la chaîne audio simplement en agitant les doigts sur le volant.
Cette voiture-concept, qui n'est en principe pas destinée à la commercialisation, sera une des nouveautés exposées par Nissan lors du salon Tokyo Motor Show, du 22 octobre au 6 novembre.

La Pivo, la voiture-concept de Nissan dont la cabine peut pivoter à 360 dégrès, lors de sa présentation à Tokyo le 30 septembre 2005


Source : AFP

[zhornette]

Belle éclipse annulaire de Soleil en vue lundi
[02/10 - 08h06]

Une éclipse annulaire de Soleil, au cours de laquelle il ne restera de l'astre du jour masqué par la Lune qu'un fin anneau, pourra être observée lundi dans une zone allant du nord de l'océan Atlantique aux eaux équatoriales de l'océan Indien, en passant par la péninsule ibérique, le nord et l'est africains.
Les habitants des régions situées de part et d'autre de la bande de centralité large de quelque 200 km ne seront pas complètement privés de ce beau spectacle naturel et pourront contempler une éclipse partielle: un croissant de Soleil plus ou moins important.
L'éclipse prendra forme au-dessus de l'Atlantique à 10h41 lorsque l'ombre de la Lune touchera la Terre, avant de gagner, dix minutes plus tard, les côtes nord-ouest d'Espagne et du Portugal. A partir de 08h56, les Madrilènes, dont la ville se trouve exactement dans l'axe du phénomène, figureront parmi les spectateurs les plus privilégiés et verront, pendant quatre minutes, le Soleil éclipsé à 95 pour cent.
A 11h05, l'éclipse "débarquera" sur les côtes nord-africaines et passera par l'Algérie, la Tunisie, la Libye, le nord-est du Tchad, le Soudan, le sud-ouest de l'Ethiopie, le Kenya et le sud de la Somalie. La lumière du jour reprendra tous ses droits au milieu de l'océan Indien, à 14h22.
Sous sa forme partielle de croissant solaire, l'éclipse pourra être observée sur des milliers de kilomètres au nord et au sud de la zone de centralité, du Groënland au milieu de l'Atlantique jusqu'à l'ouest de l'Indonésie et au sud de l'océan Indien. Ainsi, toute l'Europe, quasiment toute l'Afrique et une grande partie de l'ouest et du sud du continent asiatique en profiteront plus ou moins aussi.
Si le phénomène n'est pas très rare - il s'agira déjà de la quatrième éclipse annulaire du 21e siècle, après celles de 2001, 2002 et 2003 -, la chance de l'observer en un point donné de la Terre est minime, d'autant que sa durée est parfois extrêmement courte: l'éclipse annulaire du 10 juin 2002 a pu être observée dans le Pacifique pendant 23 secondes seulement.
Au plan scientifique, les astronomes sont unanimes à souligner qu'une éclipse n'apporte plus rien de nouveau. Les premières observations sérieuses ont été faites il y a plus de deux millénaires et demi par des Babyloniens, puis l'astronome grec Ptolémée a élaboré, vers l'an 150 de notre ère, de véritables calculs.
Donc on sait depuis longtemps que l'explication du phénomène réside dans une coïncidence merveilleuse, grâce à laquelle la Lune est à peu près 400 fois plus petite que le Soleil lequel est, de son côté, 400 fois plus éloigné de la Terre qu'elle. Résultat : les deux astres apparaissent au ciel avec un diamètre quasi identique.
La Lune parvient parfois à masquer complètement le Soleil et provoquer une éclipse totale, comme celle qui fut observée de l'Europe jusqu'à l'Inde le 11 août 1999. Cependant, comme la distance Terre-Lune varie un peu, car son orbite n'est pas parfaitement circulaire, le disque lunaire est, à d'autres moments, inférieur au diamètre du Soleil, et l'éclipse devient alors annulaire.
Seule contrainte à ne pas oublier pour profiter du beau spectacle: toute éclipse doit obligatoirement être regardée à l'aide de lunettes spéciales ou d'instruments d'observation équipés de filtre, faute de quoi un observateur imprudent risquerait de subir des lésions oculaires graves, sinon irréparables.

plus d'infos!

Source : AFP

[zhornette]

Aujourd'hui, nous fêtons...

GÉRARD (Saint), Gerardus (guerrier hardi, en langue germanique), abbé de Brogne, dans le diocèse de Namur, au dixième siècle, honoré le 3 octobre.

[Stepquest]

Aujourd'hui, nous fêtons...

GÉRARD (Saint), Gerardus (guerrier hardi, en langue germanique), abbé de Brogne, dans le diocèse de Namur, au dixième siècle, honoré le 3 octobre.

"Gérard", également marié à Lucette depuis 19 ans, père de trois enfants, chauffeur poids lourd chez "Plus vite que l'éclair - Transport et services"....

[zhornette]

Nouvelles interpellations dans l'enquête sur la "cellule Bourrada"
[03/10 - 20h06]

Quatre personnes, dont deux "cibles principales", ont été interpellées lundi près de Montargis (Loiret), dans le cadre de l'enquête sur la cellule islamiste démantelée la semaine dernière dont l'animateur présumé est Safé Bourrada.
Il s'agit de deux Français de 31 et 36 ans, convertis à l'islam sous l'influence de Bourrada, selon des sources proches du dossier.
Ils ont été arrêtés par la Direction de la surveillance du territoire (DST) à Chalette-sur-Loing, dans la banlieue de Montargis, et à Châteaurenard, au sud-est de la sous-préfecture du Loiret.
Un couple, présent chez l'un des suspects, a également été interpellé.
Leur garde à vue peut durer quatre jours avant une éventuelle présentation à un juge antiterroriste.
Surveillés depuis deux ans, les deux hommes se seraient rencontrés en prison où ils effectuaient une peine pour des braquages.
Chez l'un d'eux, les enquêteurs ont découvert une recette de fabrication d'explosifs, trouvée sur internet et imprimée, ont indiqué des sources proches du dossier, qui ont toutefois relativisé la portée de cette découverte: "Cela ne signifie pas qu'il ait été formé à la fabrication ou au maniement d'explosifs".
Aucun matériel permettant la fabrication d'explosifs n'a été trouvé et aucun élément ne permet pour l'heure d'établir qu'un des suspects avait une quelconque compétence d'artificier.
L'opération de lundi est "la poursuite" de l'enquête qui a conduit à la mise en examen de quatre hommes, dont Bourrada, arrêtés à Trappes (Yvelines) et Evreux (Eure) le 26 septembre, a confirmé le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy.
"Mon fils n'a rien à se reprocher. Nous nous sommes convertis à l'islam il y a trois ans environ. On se contente de prier", a assuré le père d'un des interpellés selon qui un des mis en examen de la semaine dernière est venu chez lui.
Outre Bourrada, condamné pour son soutien logistique aux attentats de 1995, Djamel Badaoui, Achour Ouarab et Kaci Ouarab ont été mis en examen pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste" et "financement du terrorisme". Tous fréquentaient la même mosquée de Trappes.
Les quatre hommes sont écroués, tout comme trois autres, arrêtés en juillet après avoir racketté au bois de Boulogne un travesti pour financer "la cause" selon les enquêteurs.
Le 9 septembre, un habitant de Trappes, M'Hamed Benyamina, a été arrêté à l'aéroport d'Oran (Algérie). Selon une source proche du dossier, il aurait affirmé aux policiers algériens que son groupe envisageait des attentats contre le métro parisien, le siège de la DST et l'aéroport d'Orly.
Ces projets n'ont pas été confirmés en garde à vue par les quatre hommes, ont indiqué leurs avocats selon qui ils ont revendiqué leur engagement religieux mais contesté appartenir à un groupe terroriste.
Selon un enquêteur, l'engagement religieux de deux des interpellés de la semaine dernière remonterait aussi à la prison, où ils purgeaient une condamnation l'un pour des viols, l'autre pour meurtre.
Bourrada a rédigé à sa sortie de prison en février 2003 le document fondateur du groupe, baptisé "Ansar al-Fath" (les partisans de l'islam), auquel il attribue une vocation religieuse et combattante, explique un proche du dossier. Mais selon son avocat, "ce n'était que du discours, il n'avait aucun projet".
Les enquêteurs soupçonnent la cellule d'être liée au GSPC (Groupe salafiste pour la prédication et le combat), principal mouvement islamiste algérien armé.


Source : AFP

[zhornette]

La tempête Stan fait au moins 31 morts en Amérique centrale[03/10 - 22h16]

Les fortes pluies et inondations provoquées par la tempête tropicale Stan qui a traversé pendant le week-end le Golfe du Mexique, ont causé la mort d'au moins 23 personnes au Salvador, quatre au Guatemala et quatre autres au Honduras, ont annoncé lundi les services de secours.
Dans l'isthme centraméricain, des milliers de personnes ont dû être évacuées de leur maison.
Les averses incessantes ont provoqué de nombreux glissements de terrain qui ont amené le gouvernement du Salvador à déclarer l'alerte rouge sur tout le territoire national et à demander aux citoyens de ne pas sortir de leur maison, a indiqué le ministre salvadorien de l'Intérieur, René Figueroa.
Les accès routiers à des dizaines de localités ont été coupés, la majorité des rivières du pays sont sorties de leur lit et les inondations se multiplient.
Au Salvador, le Comité d'urgence national (Coen) dresse un bilan de cinq morts - un couple et trois enfants - à San Marcos, dans la banlieue de San Salvador et de 18 personnes tués par des éboulements à 25 km à l'ouest de la capitale.
Dans le sud de San Salvador, des habitants ont demandé à être évacués pour échapper aux coulées de boues provenant du volcan Ilamatepec entré brièvement et subitement en activité samedi matin. "Le volcan est imprévisible, nous n'excluons pas qu'il y ait une nouvelle éruption, peut-être moins intense", a déclaré le vulcanologue en chef du Service national d'études terrestres (SNET), Carlos Pullinger.
Le volcan, situé à 66 km à l'ouest de San Salvador, s'était réveillé après 101 ans de sommeil, crachant des cendres et des morceaux de magma incandescents sur un de ses versants.
Les pluies et l'éruption du volcan ont fait 13.000 sinistrés au Salvador.
Au Guatemala, Stan a causé la mort de quatre personnes et des milliers de personnes sont sinistrées sur la côte sud du pays où cinq départements ont été déclarés en état d'urgence par la Coordination nationale de prévention des catastrophes (Conred).
Dans ces départements, "il y a environ 10 fleuves en crue et plusieurs villages isolés", a indiqué à l'AFP le secrétaire exécutif de la Conred, Hugo Hernandez.
Une femme enceinte, son fils et un neveu sont morts dimanche lorsque leur habitation a été ensevelie par un glissement de terrain, à 250 km à l'ouest de la capitale. Samedi, un homme était resté emprisonné dans son véhicule, emporté par une rivière en crue dans un département au sud-est de la capitale.
Au Honduras, le bilan des autorités faisait état lundi après-midi de quatre morts et un disparu et de 140 familles évacuées.


Source : AFP

[zhornette]

Paris va découvrir les grands peintres de la Vienne 1900[03/10 - 18h19]

Klimt, Schiele, Kokoschka, Moser, les grands peintres de la Vienne 1900, alors capitale foisonnante de l'empire austro-hongrois, sont exposés pour la première fois ensemble à Paris au Grand Palais, du 5 octobre au 23 janvier.
"En 1900, ailleurs qu'à Paris, il y a une activité artistique et intellectuelle presque aussi intense et c'est à Vienne. Avec cette exposition, nous montrons autre chose que l'impressionnisme qu'on a l'habitude de voir en France pour cette période", a indiqué à l'AFP Serge Lemoine, commissaire de l'exposition et président du Musée d'Orsay.
"Mais il n'est pas question d'illustrer ici les valses viennoises", avertit le spécialiste. "L'objectif est de montrer une autre voie, parallèle à la voie française, vers l'abstraction" à travers le symbolisme et l'expressionnisme.
Paris a obtenu des prêts exceptionnels de l'Autriche, de l'Allemagne, de l'Italie et des Etats-Unis, pour cette exposition unique "Klimt, Schiele, Moser, Kokoschka - Vienne 1900", de 91 tableaux et 55 dessins réalisés entre 1890 et 1918, qui n'a pas vocation à voyager.
La totalité des oeuvres exposées proviennent de l'étranger à l'exception d'un Klimt du Musée d'Orsay, "Les Rosiers sous les arbres". En effet les musées français sont très pauvres en oeuvres de ces artistes, qui sont en outre très rarement exposés en France.
Il faut remonter à 1986 et à la grande exposition pluridisciplinaire "Vienne 1880-1938 : naissance d'un siècle" du Centre Georges Pompidou pour avoir une idée de ce monde artistique coloré, sensuel et en rupture avec l'académisme du XIXe siècle.
Cette exposition parisienne est donc une occasion unique de voir les splendides tableaux de Klimt dispersés dans le monde comme la Danaé (Vienne), La Musique I (Munich), la Judith II (Venise), Les trois âges de la vie (Rome), Bébé (Washington), Portrait de Serena Lederer (New York), tous très connus parce que reproduits à l'infini.
Gustav Klimt (1862-1918) a connu une gloire internationale de son vivant pour ses travaux de décoration sur plusieurs bâtiments prestigieux de Vienne (théâtres, musée, université) et pour la qualité très ornementale et stylisée de sa peinture.
Mais c'est aussi l'occasion de mieux connaître l'oeuvre moins décorative et plus expressionniste d'Oscar Kokoschka (1886-1980), artiste prolifique qui a traversé le siècle, et d'Egon Schiele (1890-1918) aux inquiétantes visions, et de découvrir Koloman Moser totalement méconnu en France.
Koloman Moser (1868-1918) s'est surtout illustré dans le design aux côtés de Josef Hoffmann. Il fut créateur de meubles et tissus, bijoux, vaisselle, vitraux et affiches, mais aussi un grand peintre privilégiant les compositions géométriques qui préfigurent l'abstraction.
(Galeries nationales du Grand Palais, tous les jours sauf le mardi de 10H00 à 20H00, le mercredi jusqu'à 22H00, accès sans réservation 10 euros, sur réservation 11,30 euros, Catalogue de l'exposition, 368 pages, 250 illustrations en couleurs, 45 euros, éditions RMN)


Source : AFP

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Presse: non-parution mardi de la plupart des quotidiens nationaux
[03/10 - 19h39]

La journée d'action de mardi devrait entraîner, en raison du mot d'ordre de grève de 24 heures d'une partie du Livre CGT, la non-parution de la plupart des quotidiens nationaux, à l'exception d'Aujourd'hui en France et de La Croix.
Le Figaro, qui a lancé lundi sa nouvelle formule, ne devrait "très probablement" pas paraître mardi, a indiqué à l'AFP Francis Morel, directeur général du groupe Figaro et président du SPP (Syndicat de la presse parisienne) qui réunit les quotidiens nationaux.
"Toute la presse quotidienne régionale travaille. Les gratuits sortent. Le Parisien devrait sortir", a-t-il indiqué. "Je trouve ce mouvement lamentable", a estimé M. Morel pour qui "ces gens se tirent une balle dans le pied".
La sortie des quotidiens nationaux avait déjà été affectée durant trois jours début septembre, en raison du blocage des dépôts par le SGLCE (Syndicat général du Livre et de la Communication écrite).
Le SGLCE, très fortement implanté aux Nouvelles messageries de la presse parisienne (NMPP), a appelé "l'ensemble de ses syndiqués à un arrêt de travail de 24 heures de la presse quotidienne" (prévue de lundi 23H00 à mardi 23H00).
Le Monde qui devait être imprimé mardi en fin de matinée, daté mercredi, ne paraîtra pas, a indiqué la direction. En revanche, l'édition de lundi datée mardi, sera disponible normalement dans toute la France mardi.
Les Echos "ne pourront pas être imprimés et distribués", indique un communiqué. L'édition du jour sera accessible gratuitement sur le site. Idem pour La Tribune. Libération, L'Equipe, France Soir et L'Humanité ne paraissent pas.
Aujourd'hui en France, du groupe Amaury, devrait être imprimé et distribué normalement pour les exemplaires imprimés à Mitry-Mory (Seine-et-Marne) qui dessert le Nord de la France et une partie du centre. Pour le reste de la France, il n'y aurait pas de journal. Le Parisien, quotidien francilien d'Amaury, devrait sortir en édition unique.
Autre exception, La Croix, édité sur les presses du groupe Amaury, devrait également paraître mardi, indique un communiqué. "Néanmoins, en raison de la mobilisation syndicale interprofessionnelle de mardi, des retards d'acheminement pourraient avoir lieu". Dans ce cas, les abonnés du journal (93% des ventes) recevront ce numéro avec un jour de retard.


Source : AFP

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Une bactérie dans l'estomac: une révolution dans le traitement des ulcères
[03/10 - 18h50]

Traiter l'ulcère de l'estomac comme une maladie infectieuse, permet non seulement de guérir ce mal qui gâche la vie de millions de gens, mais a aussi ouvert la voie au traitement et à la prévention d'un cancer par des antibiotiques.
Les deux lauréats australiens du Nobel de médecine 2005 ont découvert le rôle de la bactérie dans le développement de cette maladie et donc offert le moyen de s'en débarrasser à coup d'antibiotiques.
La maladie ulcéreuse gâchait la vie de millions de gens dans les pays développés, mais sévit toujours dans les pays pauvres. Du temps des remèdes de grand-mère et des pansements gastriques, "c'était une maladie invalidante qui revenait", rappelle le professeur de bactériologie Francis Megraud (université de Bordeaux) .
A présent, "le traitement (deux antibiotiques et un médicament puissant inhibiteur de la sécrétion acide gastrique, de type oméprazol/Mopral) éradique la bactérie dans au moins 70% des cas" et la chirurgie a perdu la place qu'elle avait, explique ce spécialiste pour qui "la maladie ulcéreuse est en voie de disparaître".
La découverte permet aussi d'envisager la prévention du cancer gastrique dans lequel d'autres facteurs interviennent, en particulier l'alimentation (fruits, vitamines C, béta-carotène, bref des anti-oxydants protecteurs) ainsi que des aspects génétiques.
L'idée de prévention du cancer gastrique repose sur le diagnostic et le traitement pour éliminer l'infection notamment chez les personnes à risque élevé tels des malades ayant des lésions pré-cancéreuses (gastrite atrophique), ou des parents du premier degré de malades ayant eu un cancer de l'estomac.
"On connaissait la prévention du cancer en combattant un virus, comme le virus de l'hépatite B par un vaccin pour éviter des cancers du foie, ou en agissant contre un parasite qui favorise le cancer de la vessie en Egypte", rappellent les spécialistes.
Grâce aux lauréats, on a "le premier exemple chez l'homme de traitement d'un cancer par antibiotiques", selon le Pr Megraud. On peut faire régresser avec les antibiotiques un "lymphome" gastrique, forme rare de cancer de l'estomac, et ainsi obtenir des rémissions voire des guérisons.
"Pour le carcinome (adénocarcinome), il est trop tard, le traitement antibiotique ne peut agir que sur les lésions précancéreuses" précise le bactériologiste.
Ce prix va contribuer "à la reconnaissance du rôle de la bactérie H.pylori, pas toujours facile à faire passer", commente le Pr Agnès Labigne (Institut Pasteur, Paris). Même s'il y a moins de gens infectés dans les pays développés, "tous les jours, je rencontre des gens qui me disent +Ah bon, pour un ulcère, il faut faire un traitement antibiotique?+", dit-elle.
Pour détecter l'infection, outre différents tests dits invasifs, réalisés à partir de biopsies (prélèvement de la muqueuse de l'estomac), il existe des tests sanguins, dans les selles ainsi qu'un test respiratoire (on boit une préparation et on souffle ensuite dans un ballon). "Ce dernier test n'est utilisé en France que pour vérifier l'efficacité du traitement antibiotique", précise Agnès Labigne.
La contamination par la bactérie intervient dans l'enfance, par voie orale et au sein de la famille. "Parmi les sujets positifs (infectés), environ 10% développeront un ulcère et 1% un carcinome et O,1% un lymphome gastrique", selon le Pr Megraud.
Si la bactérie est déterminante, les médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (aspirine...) sont aussi une cause d'ulcères gastroduodenaux.
Une forme de cancer gastrique, le cancer du cardia (environ un tiers des 9.000 nouveaux cas de cancer de l'estomac /an en France), n'a pour sa part rien à voir avec la bactérie, relève le Pr Megraud.


Source : AFP

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Rodez: un courrier reste coincé 37 ans entre une boîte à lettres et un mur
[03/10 - 11h17]

Une lettre qui avait disparu le 19 février 1968 vient d'être retrouvée dans un immeuble de Rodez (Aveyron), après être restée 37 ans coincée entre la boîte à lettres et le mur.
Le courrier, une enveloppe carrée marron, timbrée à l'époque 0.30 francs, avait été normalement distribué dans la boîte à lettres du destinataire. Mais, le casier étant fissuré, le courrier a glissé et s'est retrouvé coincé entre la boîte et le mur de l'immeuble, où il est resté 37 ans, jusqu'au 27 septembre 2005, a relaté le directeur de la Poste de l'Aveyron, François Thez.
Découverte par hasard à la suite de travaux effectués par les co-propriétaires de l'immeuble, la lettre a été adressée à la direction départementale de la Poste de l'Aveyron.
La Poste s'est chargée de restituer le courrier à un membre de la famille du destinataire.


Source : AFP

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Aujourd'hui, nous fêtons...

FRANÇOIS (Saint) d'Assise, Franciscus, fondateur de l'ordre des franciscains ou des Frères mineurs, au treizième siècle, honoré le 4 octobre.
François, fils d'un riche marchand de la ville d'Assise, en Italie, fut d'abord destiné au commerce ; mais ce n'était point là sa vocation. Dieu lui avait imprimé dans l'âme un grand détachement des biens terrestres et une tendre compassion pour les pauvres. A l'âge de vingt-quatre ans, il renonça à toute occupation mondaine, abandonna tous ses biens, fit vœu de pauvreté et se consacra tout entier à la prédication et à des œuvres pieuses. Il visitait fréquemment les hôpitaux, où il soignait les malades et surtout les lépreux. Toutes les aumônes qu'il recueillait, il les employait à réparer les églises et les chapelles qui tombaient en ruines, entre autres une petite église dédiée à sainte Marie-des-Anges, et qu'on appelait la Portioncule, parce qu'elle était bâtie sur une petite portion de terre dépendante d'une abbaye de Bénédictins. Ce fut auprès de cette humble église que François se retira, et la Portioncule devint le berceau de l'ordre célèbre qu'il devait fonder. Un jour qu'il y entendait la messe, il fut frappé de ces paroles de l'Évangile : « Ne portez ni or ni argent, ni provisions pour le voyage, ni deux tuniques, ni chaussures, ni bâton. » Prenant ces conseils de la perfection pour sa règle, et voulant s'y conformer à la lettre, François jeta son argent, ôta sa chaussure, quitta son bâton, et se revêtit d'un habit pauvre avec une corde.
Cependant la sainteté de François, devenant de jour en jour plus célèbre, avait attiré auprès de lui plusieurs disciples qui se mirent sous sa conduite. Le nombre s'en étant bientôt augmenté, il leur donna une règle qui avait pour base la pratique des conseils évangéliques. Ainsi il leur défendit de rien posséder en propre, et leur recommanda de ne point rougir de mendier, en se rappelant le pauvreté de Jésus-Christ ; il leur prescrivit le travail des mains, mais ils ne devaient recevoir que les choses dont ils avaient besoin pour leur subsistance ; enfin ils avaient une noble mission à remplir, la prédication pour convertir les pécheurs et les infidèles. Saint François donna à ses disciples le nom de Frères Mineurs, leur enseignant par là qu'ils devaient se regarder comme les plus petits de tous, c'est-à-dire comme les plus humbles.
Chaque jour l'ordre institué par saint François prenait de nouveaux accroissements ; des maisons se formaient non seulement en Italie, mais en France, en Espagne et dans d'autre contrées de l'Europe ; des frères étaient envoyés en mission jusque dans les pays les plus lointains, et plusieurs y reçurent la couronne du martyre. Saint François parcourut lui-même la Syrie et l'Égypte, prêchant la foi et inspirant le respect aux musulmans par son humilité et sa sainteté. Après avoir visité les saints lieux, il revint en Italie, où il continua à gouverner avec une admirable sagesse son ordre, qui s'était encore propagé et qui fut approuvé par le pape Innocent III en 1223.
Vers la fête de l'Assomption de la sainte Vierge de l'année 1224, François se retira dans le lieu le plus solitaire du mont Alverne, dans les Apennins, et s'y fit dresser une petite cellule. C'est là que, la veille de l'Exaltation de la Sainte-Croix, après s'être livré aux austérités d'un jeûne rigoureux et à une longue contemplation, il eut la célèbre vision dans laquelle il reçut l'impression des saints stigmates. « Il vit, dit saint Bonaventure, descendre un séraphin ayant des ailes de feu, et entre les ailes la figure d'un homme crucifié. Il se sentit au même moment comme percé de trous dans toutes les parties du corps où les clous avaient été enfoncés dans le corps de Jésus-Christ, et depuis il en conserva les cicatrices. » Deux ans après, saint François termina par une sainte mort une vie pleine de bonnes œuvres. Il fut canonisé par Grégoire IX.
L'ordre des Franciscains donna naissance à plusieurs communautés particulières dont les plus célèbres sont les Pères de l'Observance, les Récollets, les Cordeliers et les Capucins. Les Clarisses (Voir Sainte Claire) étaient aussi des religieuses de l'ordre de saint François. Enfin saint François avait fondé, en 1221, un tiers ordre pour les séculiers qui voulaient prendre l'habit des Frères Mineurs.

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Hausse des tarifs du gaz au 1er novembre pour les particuliers[04/10 - 16h27]

La facture de gaz des Français va augmenter à partir du 1er novembre en raison de la hausse du coût de la matière première, a indiqué mardi Gaz de France, qui doit transmettre sa demande aux pouvoirs publics à la fin de la semaine.
"Il y aura forcément une hausse des tarifs le 1er novembre vu la courbe des produits pétroliers", a déclaré à l'AFP ce porte-parole sans donner le montant de l'augmentation souhaitée par l'entreprise. Le prix du gaz est indexé sur celui du baril de brut.
"Gaz de France va envoyer son dossier sur l'évolution tarifaire à la fin de la semaine aux pouvoirs publics", à savoir les ministres de l'Economie et de l'Industrie ainsi que la Commission de régulation de l'énergie (CRE), a précisé cette source.
Selon le quotidien Le Figaro, Gaz de France "serait en droit de réclamer une hausse des tarifs de 10% à 12%", compte-tenu de l'envolée des prix du pétrole. L'entreprise n'a pas fait de commentaire sur cette fourchette.
Les cours du brut évoluent désormais sur les marchés internationaux entre 60 et 65 dollars, un niveau jamais atteint auparavant en dollars constants. Les prix du pétrole sont 55% plus haut qu'en janvier, et deux fois plus élevés qu'en janvier 2004.
Les dix millions d'abonnés à Gaz de France avaient vu leur facture augmenter de 4% le 1er juillet dernier.
Un arrêté publié le 17 juin, fixant le cadre des évolutions tarifaires pour GDF et les petits fournisseurs jusqu'au 31 décembre 2007, indiquait que les tarifs évoluaient le 1er juillet 2005, le 1er novembre 2005, puis tous les trois mois à compter du 1er janvier 2006.
Cet arrêté prévoit un rattrapage de la répercussion incomplète des coûts d'approvisionnement lors de la révision tarifaire de novembre 2004, où GDF avait obtenu une hausse de 5,2% alors qu'il demandait le double. Le montant total du rattrapage, réparti en plusieurs fois, atteint 14% d'ici avril 2006.
Selon l'arrêté du ministre de l'Economie Thierry Breton, le rattrapage se décline comme suit: hausses le 1er juillet 2005 de 0,02 centime par kilowatt/heure, le 1er septembre 2005 de 0,09 c/kWh, le 1er janvier 2006 de 0,04 c/kWh, le 1er avril de 0,14 c/KWh, soit une augmentation d'environ 14%.
Selon la procédure décrite dans l'arrêté, GDF doit déposer au plus tard 21 jours avant la date de chaque révision ses propositions de barèmes auprès des ministres chargés de l'économie et de l'énergie. Copie de cette proposition est transmise parallèlement à la Commission de régulation de l'énergie.
Dans un délai de cinq jours ouvrables suivant le dépôt, les ministres saisissent la CRE des propositions de barèmes. En fonction de cet avis, les ministres peuvent demander à GDF de modifier ses propositions.
L'entreprise est dans ce cas tenue de déposer une nouvelle demande dans les trois jours ouvrables à compter de la date de réception de la demande de modification.


Source : AFP