
Mangas
#21
Posted 06 October 2004 - 00:12
sinon Draco, tu dois connaitre "SAINT SEIYA EPISODE G", l’histoire du Chevalier d’Or (G pour Gold) Aiolia, Chevalier d’Or du Lion juste après la prise de pouvoir de Saga (Chevalier des Gémeaux).
#22
Posted 08 November 2004 - 14:02
Re-situons quelque peu le contexte:
Nous sommes un siècle après le début de la colonisation de l’univers. Les hommes et les femmes afin de mieux répandre les « graines de l’humanité » ont décidé de se séparer en deux sociétés distinctes. Et pourquoi pas , dans ce cas là, se faire la guerre?

Donc voilà, la guerre ancestrale des hommes contre les femmes est sur le point de connaître un tournant décisif. En effet, le gouvernement de Taraaku vient de mettre au point une nouvelle arme qui anéantira ces maudites femelles de Mejerr (n’y voyez bien sûr aucune allusion…) dont le mythe veut qu’elles soient si infâmes qu’elles dévorent le foie des hommes qui tombent entre leurs mains.

Rien de bien réjouissant donc. Alors que toute la planète est en liesse, le jeune Hibiki Tokaï, citoyen de troisième catégorie parvient à pénétrer dans ce nouveau vaisseau, afin de satisfaire un pari qui n’est autre que de retrouver un mécha Vandguard qu’il avait marqué auparavant dans l’usine où il officie.
Mais voilà, la cérémonie est troublée d’une part par son apparition au milieu de celle-ci et d’autre part par l’arrivée de pirates femelles bien décidées à contrarier la fête.

Alors que la panique se mêle à la débâcle chez les hommes, Hibiki et deux autres membres de la gente masculine sont fait prisonniers par les pirates, aussi intriguées que dégoûtées pour la plupart, par ces hommes.

Ainsi a lieu la première confrontation avec Hibiki qui se révélera être un pilote de grande talent à défaut d’avoir du tact, Duero Macfile, médecin avide de nouvelles connaissance et Bart, un navigateur toujours à l’Ouest.
Du côté du « beau sexe »


On trouvera aussi Parfait, l’ingénieur en chef, Pyoro, le petit robot, et Meia.
Cette dernière sera l’un des personnages les plus développés de cette série avec Hibiki et Dita car ce chef d’escadrille au charactère sombre apprendra peu à peu à s’ouvrir sur les autres, en quittant son rôle de supérieure pour devenir une amie. Tous les protagonistes seront rassemblés dès lors que l’explosion du Pexis, une forme d’énergie pensante, fera fusionner le vaisseau pirate et le vaisseau de Taraaku déserté par son équipage, puis attirera un ennemi inconnu d’une rare puissance.

Bien des mésaventures attendront alors nos héros qui braverons tous les dangers pour sauver leurs mondes. Mais ils auront à leur disposition des armes redoutables eux-aussi. En effet, suite à l’explosion du Pexis, non seulement le vaisseau des pirates, rebâtisé Nirvana, est devenu surpuissant (… et caractériel… ) mais les Dreads de Dita, Meia et Jura se voient capable de fusionner avec le Vanguard d’Hibiki donnant naissance à des super-mechas dont l’esthétisme n’est pas du goût de tout le monde. (d'où le nom "Vandread", compression de Vanguard et Dread)
Avis perso:
Même si ce thème a été abordé maintes fois par les mangaka, ce nouvel épisode sur les relations hommes-femmes sous la trame de la guerre des mondes n’est pas dépourvu d’intérêt, bien au contraire.

Graphiquement, c’est très sympa et c’est rythmé : l’action s’enchaîne et la BO s’accorde parfaitement, et certains épisodes qui sont consacrés aux questions existentielles : Qui sommes-nous ?, Où allons-nous ?, D’où venons-nous ?, Est-ce que l’ordre établi est juste ? … peuvent devenir poignants.
A noter que l’usage d’images de synthèses est de rigueur dans pareil production. Concernant celles-ci, fort de reconnaître que le résultat est excellent. Pour les génériques on sent tout de même l’influence de Neon Genesis Evangelion. Les questionnement sur leurs origines (qui sont grand’pa et grand’ma ?), leurs devenirs ou sur cet ordre établi permettent de faire avancer l’histoire sans que l’ennui vienne s’en mêler. De plus, un grand nombre de personnages secondaires viendront relancer l’intrigue et l’action. Un épisode de la seconde série télé vous rappellera même une certaine émission de variété… Loft Story dans une version spatiale assez loufoque.
En définitive, tous les éléments sont réunis dans cette série de deux fois treize épisodes pour que soit un succès. Les rebondissements sont au rendez-vous, même si l’on peut regretter le trop grand happy-ending quelque peu téléphoné.

Comme pour les génériques, l’influence de Neon Genesis Evangelion reste palpable donc vous ne vous avancez en terrain inconnu. Si vous vous lancez dans l’aventure vous pourrez même vous amusez à chercher qui fait référence à qui ou à quoi (au fait, Hibiki est un Shinji extraverti).

#24
Posted 08 November 2004 - 19:13
au taff perso je peu pas lire un truc aussi long ( peut etre que je lis doucement

PS: et moi au dessus, TA REPONDUS A MA QUESTION QUI TE VISAIS!?!?!?

tu nous a dit de ce que tu pensais de "shaman king"!?!?!?! :encolere:
bon je vais allez

#25
Posted 09 November 2004 - 13:29


Alors que Manta rentrait chez lui en passant par le cimetière, il rencontre un jeune garçon qui fixe les étoiles : Yoh Asakura.
Yoh n'est pas comme les autres, c'est un shaman, c'est à dire un humain qui peut interagir avec un autre monde, le monde de l'au delà. Il a la capacité de voir et de parler aux fantômes n'ayant pas encore rejoint l'autre monde. Etant nouveau à Tokyo, Yoh devient l'ami de Manta et va lui apprendre à mieux connaître l'univers des shamans. Le but de sa venue ici est de parfaire sa formation, Yoh compte trouver dans cette immense ville les fantômes les plus forts afin de devenir leur ami et de pouvoir fusionner avec eux.
En effet, l'un des plus grand pouvoir des shamans est de fusionner avec un fantôme afin d'assimiler, le temps de la fusion, les pouvoirs du défunt. La première âme qui va se lier d'amitié avec Yoh se nomme Amidamaru, un ancien samurai mort au combat pour sauver son meilleur ami. Ensemble ils vont sauver des vies humaines, aider quelques autres ectoplasmes et vont même affronter d'autres shaman ; car Yoh n'est pas seul et la force d'Amidamaru fait des envieux.
Nous sommes face à un manga on ne peut plus classique du genre "shônen".
Avis perso
L'auteur ne se donne même pas la peine de trouver une histoire originale puisque toute la base du scénario de shaman king repose sur le déroulement du Shaman Fight. Sous cette appellation se cache tout simplement un tournoi où tous les shaman vont s'affronter afin d'obtenir le titre suprême de shaman king. Yoh est bien évidemment inscrit à ce tournoi et son groupe d'amis va le suivre dans toutes ses pérégrinations. S'en suivent alors des successions de combats avec des pauses pour laisser le temps aux personnages d'évoluer, d'apprendre de nouvelles techniques etc. Un manga manquant cruellement d'originalité et qui pourtant ravi énormément de mangafans. Peut être est ce du au graphisme intéressant et aux personnages attachants (bien qu'à la personnalité assez superficielle). De mon point de vue, Shaman King est relégué comme le manga "sympa" qui ne marquera pas les esprits mais il a un "je ne sais quoi" qui le fait souvent sortir du lot .

#26
Posted 09 November 2004 - 13:35
Tout commence sur une planète hors de notre système solaire, avec deux soleils et huit lunes dans son environnement astronomique proche. Il s'agit d'une planète au climat global arride, peuplée de ses propres animaux, et aussi d'humains comme vous et moi. Le contraste du mode de vie de ses habitants est saisissant : ils vivent à la manière des cowboys que l'on peut voir dans nos western, sans électroménager et avec leurs six-coups, mais ils disposent quand même d'une technologie (qu'ils ont un peu de mal à maîtriser) qui leur procure énergie et moyen de transport.
Dans ce monde, il n'est pas rare d'attribuer des récompenses à qui capture les criminels les plus recherchés de la planète. Vash The Stampede, surnommé "Humanoïd Typhoon", est l'un deux. Personne ne l'a vu, mais tout le monde le craint.
C'est ainsi que Meryl Stryfe et son associée Milly Thompson partent à sa recherche, envoyées par la société d'assurance pour laquelle elles travaillent afin d'empêcher Vash de causer d'autres dégâts matériels.

Bienvenue dans Trigun, un anime qui vous fera passer des larmes de rire aux larmes de tristesse.
Voilà donc le scénario de départ qui occupera le début de la série, pour ensuite dévier vers le passé de Vash qui le rattrape peu à peu.
Dans sa construction, on peut un peu l'assimiler à Cowboy Bebop, car bon nombre d'épisodes sont indépendants, mais l'anime conserve quand même une trame globale liée au charismatique Vash the Stampede.
Je convient qu'on ne fait pas forcément dans l'originalité, mais l'ensemble est très bien mené, et les mystères qui entourent Vash tombent subtilement les uns après les autres.
En parlant de Vash, c'est vraiment un des points forts de l'anime : il a vraiment une super classe, à mi chemin entre Alucard (Hellsing), Ryô Saeba (City Hunter) et Kenshin. En effet, il manie les armes à feu à la perfection, n'est pas dénué d'humour, et surtout il a des principes auquel il ne renoncera jamais. Sa vie n'est qu'une succession de voyages car il est forcé de fuir les habitants qui veulent obtenir la prime qui lui a été attribuée (60 millons de doubles dollards) et il est en constante recherche du sens de sa vie.
Les autres ne sont pas non plus en reste, même si j'admet que les deux filles de l'agence sont assez stéréotypées. Une particularité de l'anime est ici à signaler : tous les personnages principaux ne sont pas introduits dès le départ, et il faudra attendre pas mal d'épisodes avant de rencontrer Nicholas D Wolfwood, un prêtre un peu spécial.

Côté graphique, le design fait un peu vieillot, mais ça reste parfaitement dans le ton des animes des années 90. L'animation est de très bonne facture. Il n'y a bien qu'une seule scène qui est ratée de ce point de vue là : celle où Vash se fait couper les cheveux. On a l'impression que le personnage marche sur place!

Le générique ? ok il est pas terrible.
Par contre la musique, sans dépasser Cowboy Bebop ou FLCL, est carrément bien. (Blue Funk rulezzzzzz)
En tout cas l'ost rivalise plus que largement avec l'ost d'EVA. Les musiques collent parfaitement à l'ambiance des scènes, les cd s'écoutent facilement seuls, et au moins là c'est de l'inédit (j'ai rien contre le classique, au contraire même, mais bon. dans un anime je trouve ça plutôt moyen)
Vous l'aurez compris, il n'y a rien de véritablement sensationnel au niveau réal, mais l'ensemble reste quand même de très bonne qualité.
Mais cette série dispose réellement d'atouts majeurs.
Si vous vous décidez à regarder Trigun (EN VO §§§) il vous faudra garder un mot à l'esprit : émotion
Et oui, l'anime est d'abord franchement comique, dans le plus pur style japonnais. Comprenez qu'il joue énormément sur les situations, le doublage et les sonorités, le charadesign de Vash qui est vraiment à se tordre de rire etc. Et le chat noir que l'on retrouve au moins une fois dans chaque épisode. Arf j'en ris encore

Tout doucement ensuite, le ton change à mesure qu'on en apprend davantage sur Vash, l'apothéose arrivant vers les eps 19-20, quand Vash se retrouve seul sur un banc devant son paquet de Donuts (comprenne qui pourra

Le mystère "Vash", que lui même recherche, est en effet un autre attrait de Trigun : pourquoi est-il poursuivi ? d'où vient cette technologie ?
Décidémment, ce personnage principal mérite à lui seul de regarder la série.

#27
Posted 09 November 2004 - 13:38
sinon pour les chevaliers du zodiak, ton manga number one...tu las vu cet episode du chevalier d'or?
#28
Posted 09 November 2004 - 13:43
Qui ne connaît pas Robotech?

Le titre original de la série est Macross.
Macross est une série créée en 1982. La première d'entre toutes s'intitule Chôjiku Yôsai Macross et comporte 36 épisodes, représentant, en fait, Robotech 1ère partie. Macross est une saga particulièrement longue et le rapport entre les différentes séries n'est pas vraiment évident. Tout comme les Final Fantasy ont leurs Chocobos et Mogs, Macross a ses Valkyries.
En effet, l'une des principales forces de Macross concerne son mecha-design particulièrement soigné et différent, comparé aux séries de robots géants de l'époque. Les Grendizer, Mazinger ou autres Gundam ne sont juste que des " boîtes de conserve gigantesques " pilotées par un homme alors que les Valkyries se transforment. Second élément récurent dans Macross : une romance orchestrée sous un air de comédie musicale. Ce thème de l'amour de " plus fort que la guerre " était unique en son genre.
Ce que nous allons découvrir maintenant n'est autre que le préquel de la première série de Macross. Une sorte de retour aux sources pour fêter les 20 ans de Chôjiku Yôsai Macross.
Résumé:
En 1999, un énorme vaisseau extra-terrestre s'écrasa sur Terre. Les Humains parvinrent à maîtriser cette nouvelle technologie et l'utilisèrent dans un but militaire, aboutissant à une guerre entre les forces gouvernementales et antigouvernementales.
De nombreuses vies furent perdues lors de ces combats, et les forces militaires furent petit à petit obligées de recruter leurs soldats parmi les jeunes. C'est ainsi que Kudô Shin, jeune recrue qui n'était encore qu'un enfant lorsque le conflit commença, se retrouve au sein des forces gouvernementales en tant que pilote de F-14. Lors d'une mission, son appareil est touché et s'écrase en mer. A son réveil, il s'aperçoit qu'il a été sauvé par une tribu habitant une île qui semble avoir été oubliée par le temps : Maya.
C'est dans cette ambiance mêlant technologie de pointe, combats aériens, et légendes anciennes, que commence le premier volet de l'aventure Macross Zero.
La première chose que l'on remarque, c'est bel et bien le réalisme et la beauté des CG. La première scène donne déjà le ton pour ce qui est des combats aériens. La 3D est très bien incrustée et utilisée à bon escient. Tout simplement magnifique ! Si vous êtes amateurs du genre, vous allez vraiment être servis

Les décors aussi sont paradisiaques (normal aussi vu l'île où se déroule l'histoire), et l'immersion dans le scénario n'en est, par conséquent, que plus forte. Ainsi le bilan artistique est plus que satisfaisant, à la hauteur de la qualité que l'on peut attendre d'une série d'OAVs, qui de plus se fait pas mal attendre (6 mois environ entre la sortie de chaque OAV !).
Côté sonore, il en va de même que pour l'image, les musiques renforcent l'immersion, surtout pour ceux qui possèderaient un matériel permettant l'écoute de la piste 5.1. Les BGM sont, pour la moitié, assez classiques (grand orchestre dirons-nous...), puis se démarquent quelques pistes plutôt tribales, et enfin le fameux thème de fin de l'OAV 1, " ARKAN "... Superbe!
Vous serez d'ailleurs agréablement surpris de constater que ce thème est chanté en français (il est rare que notre langue soit représentée dans des animes japonais).
Par delà l'aspect " Action/Mecha " - qui a lui seul ne m'aurait pas retenu très longtemps sur cet anime - c'est la confrontation entre le mythique et le rationnel qui donne une dimension supplémentaire à cette oeuvre.
Ces aspects sont personnifiés d'un coté par la tribu de l'île Maya, et notamment Sarah, une prêtresse dotée d'étranges pouvoirs. De l'autre côté, il y a les scientifiques des forces gouvernementales et antigouvernementales, à la recherche de la technologie extra-terrestre. Shin, quant à lui, occupe une position plutôt neutre ...
" Le vent va souffler... et il emmènera avec lui un Kadun qui détruira tout. "
Donc si la vue de mechas ne vous repousse pas et que vous avez envie d'en prendre plein les yeux, n'hésitez pas, foncez dessus !!! Vous ne serez certainement pas déçus du voyage.
#29
Posted 09 November 2004 - 13:49
Ca vient à peine de sortir!!!sinon pour les chevaliers du zodiak, ton manga number one...tu las vu cet episode du chevalier d'or?

Mais uniquement en manga, pas en anime.
Le grand Pope est en contact avec un esprit qui se prend pour le centre du cosmos (rien que ça!

Aioros, chevalier du Sagitaire va devoir affonter des géants et des titans pour protéger sa déesse, jusqu'à la mort.

C'est tout ce que je peux en dire pour le moment, sinon que ça se passe avant la série que nous connaissons.

#30
Posted 12 January 2005 - 13:28

Kiddy Grade est une série récente du studio GONZO, à qui l'on doit Vandread, Full Metal Panic!, Last Exile et tant d'autres séries de qualité.
Sortie tout droit de l'imaginaire de Keiji Goto (Martian Successor NADESICO), elle nous plonge dans un univers de science-fiction se déroulant dans un futur qui pourrait être le nôtre.
Cette série de 24 épisodes mélange des missions anecdotiques menées par 2 jeunes agents sexy de l'organisation GOTT et une trame principale mêlant complot et vengance.
Diffusée entre le 08 octobre 2002 et le 18 mars 2003 sur la chaîne japonaise Fuji TV, Kiddy Grade a su attirer un public nombreux impatient de découvrir les aventures d'Eclair et de Lumière.
Nos deux héroïnes sont sans contestation possible le principal attrait de cette série dans un premier temps et assurent une bonne place à la série dans le coeur des Japonais.
Loin de se limiter à une simple série d'action et de jolies filles, Kiddy Grade se permet même quelques innovations que nous verrons plus loin.
Nous sommes en l'an SC0328 et l'univers est contrôlé par "les nobles" qui se servent d'organisations diverses à cet effet.
Une de ces organisations, GOTT ou Galactic Organization of Trade and Tariffs (Organisation galactique du commerce et des tarifs douaniers), recrute des membres aux pouvoirs spéciaux afin d'accomplir certaines missions périlleuses. Membres de l'organisation GOTT, Eclair et Lumière sont des membres ES, une unité spéciale destinée à faire régner l'ordre et la disciple dans l'espace.
Leur habilité se mesure à la nature de leurs pouvoirs spéciaux. Elles sont de classe C, la classe la moins élevée dans la hiérarchie des membres ES (Encounter of Shadow-work Member).
Dirigées par Eclipse, elles voguent de mission en mission afin d'escorter des diplomates pour qu'ils arrivent à bon port, démantèlent des réseaux mafieux et aident leurs partenaires dans des missions plus complexes.
Accompagnées dès leur première mission par Armbrust, un inspecteur de l'Union Galactique, elles vont bientôt réaliser que quelque chose ne tourne pas rond au sein de GOTT.
Personnages:
Eclair
Age : 16 ans
Date de naissance : 05 juin SC0312
Nationalité : Aineias
Domicile enregistré : Anchises
Sexe : Féminin
Yeux : Ambre
Taille : 162 cm
Mensurations : 80-54-85
Eclair fait partie de l'organisation GOTT en tant que membre ES. Elle est considérée de classe C. Sa partenaire est Lumière.
Sa spécialité: Puissance

Lumiere
Age : 10 ans
Date de naissance : 28 novembre SC0318
Nationalité : Aineias
Domicile enregistré : Colchs
Sexe : Féminin
Yeux : Violet
Taille : 124 cm
Mensurations : inconnues
Lumière fait partie de l'organisation GOTT en tant que membre ES. Elle est considérée de classe C. Sa partenaire est Eclair.
Sa spécialité: Contrôle / Particule

Armbrust
Armbrust est un personnage énigmatique.
C'est un inspecteur de l'Union Galactique et il se fera escorter par Eclair et Lumière lors d'une mission.
Presque toujours accompagné de sa grande valise, il jouera un rôle très important dans l'histoire.
Mi-ange, mi-démon, il pourrait vous réserver des surprises.

Eclipse
Eclipse est le chef du bureau central de l'organisation GOTT.
De premier abord calme et gentille, elle sait se faire respecter.
Elle dirige également toutes les classes des membres ES.
Elle travaille en étroite collaboration avec Mercredi au bureau central.

Mercredi
Mercredi est la secrétaire privée d'Eclipse.
Elégante et raffinée, elle toujours de bon conseil.
Elle seule semble comprendre les actes et les raisonnements d'Eclipse.

Alv
Agée de 20 ans, Alv fait partie de l'organisation GOTT en tant que membre ES.
Elle est considérée de classe S. Sa partenaire est Dvergr.
Sa spécialité: Absorption

Dvergr
Agée de 19 ans, Dvergr fait partie de l'organisation GOTT en tant que membre ES.
Elle est considérée de classe S. Sa partenaire est Alv.
Sa spécialité: Absorption

Tweedle Dee
Agée de 16 ans, Tweedle Dee fait partie de l'organisation GOTT en tant que membre ES.
Elle est considérée de classe S. Son partenaire est Tweedle Dum.
Sa spécialité: Strom (mot allemand pour courant)

Tweedle Dum
Agé de 16 ans, Tweedle Dum fait partie de l'organisation GOTT en tant que membre ES.
Il est considéré de classe S. Sa partenaire est Tweedle Dee.
Sa spécialité: Magnétisme

Avis perso:
Kiddy Grade était une série très attendue par les fans des productions GONZO. En effet, la série bénéficiant d'un character design aussi alléchant et un staff technique de qualité, l'intérêt initial s'est transformé en véritable impatience suite à quelques reports de diffusion.
Keiji Goto a parfaitement su s'entourer d'une équipe compétente et talentueuse. Tout d'abord, Megumi Kadonosono s'est véritablement dépassée en dessinant Kiddy Grade. Elle s'est fait connaître grâce au succès de Maho Kishi Rayearth mais elle passe au stade supérieur ici. Les personnages sont définitivement modernes dans leur design et on retrouve des personnages féminins aux formes bien arrondies et en parfaite adéquation avec la tendance ecchi régnant au japon depuis 2-3 ans déjà. Le design des mechas et autres machines et vaisseaux est très réussi. C'est à la fois original et reconnaissable très facilement. Quelques effets 3D se rajoutent pour donner une ambiance définitivement moderne et technologique. Gonzo étant spécialisé dans la 3D, il aurait été étonnant de ne pas en voir dans Kiddy Grade. Ils sont parfaitement intégrés aux dessins en 2D et prouvent une fois de plus que l'avenir de l'animation se trouvera à terme dans ce genre d'animation, habile mix d'images 3D et 2D en parfaite symbiose.
La mise en scène n'est pas transcendante mais reste agréable à voir. Certains plans sont très recherchés et habillement distillés tout au long des 24 épisodes alors que d'autres se situent simplement sous la jupe d'Eclair afin de nous offrir quelques gros plans sur les petites culottes.
Au final, Kiddy Grade est une série remarquablement réussie techniquement. Sans être aussi innovante et impressionnante que d'autres séries sorties la même année, elle parvient malgré tout à ne pas décevoir les espoirs initiaux portés en elle. De plus, et contrairement à la plupart des séries produites et réalisées par le studio Gonzo, la réalisation est toujours d'un même niveau de qualité tout au long des 24 épisodes.
Si l'on s'était posé beaucoup de questions suite au trailer vu sur le net début 2002, une chose est sûre, Kiddy Grade est un nouveau départ pour Keiji Goto.
On est loin de ses différents travaux précédents comme Generator Gawl, Bakuretsu Hunters, Martian Successor Nadesico ou Real Bout High School. De cette volonté de bouleverser les conventions établies et d'apporter du neuf à l'animation japonaise des années 2000, on remarquera surtout que Kiddy Grade est une oeuvre originale et personnelle. D'éléments vraiment novateurs, il faut être honnête, on n'en trouvera pas beaucoup après avoir vu Kiddy Grade. Le simple fait de changer l'apparence de ses principales héroïnes est une très bonne chose, mais cela ne constitue pas une révolution à proprement parler.
Après ces précisions, il faut tout de même accorder à la série qu'elle est rudement bien menée par une histoire qui se joue sur plusieurs niveaux. Si l'on reste sur sa faim après les 10 premiers épisodes, c'est normal. Je m'explique: le début de l'aventure dévoile avec parcimonie de nombreux éléments du scénario. C'est très intelligemment amené et fait de façon très subtile.
Les personnages secondaires sont tous excellents et apportent un réel plus à l'histoire. Les acteurs ne disposant pas tous de matériel de référence pour s'imprégner pleinement de leur personnage, leurs performances sont toutes excellentes. Certains personnages ambigus sont joués à la perfection.
Un aspect où Kiddy Grade ne peut pas nier son appartenance au mouvement actuel au Japon, c'est le côté fanservice pour tous et à moindre frais. On ne compte plus les nombreux plans et autres références à la lingerie intime de notre amie Eclair. Un vrai festival même si on est loin de Najica à ce niveau là. Du vrai bohneur pour tout otaku qui se respecte!
Niveau musical, on reste dans du grand classique avec de la bonne J-Pop. Les génériques sont excellents même si ils ne rivalisent pas avec l'excellent morceau choisi pour accompagner le trailer diffusé sur le net. Là encore, rien de révolutionnaire mais de très bonnes OSTs et autres singles qui méritent d'être achetés pour peu que l'on aime la série et que l'on souhaite en retrouver l'ambiance chez soi.
Kiddy Grade est une série artistiquement remarquable et bien moins prévisible qu'il n'y parait lors du visionnage des premiers épisodes.
Kiddy Grade est une série très populaire au Japon. Populaire pour son héroïne sexy et atypique, la série a su se retrouver très bien classée dans la plupart des sondages japonais, Eclair se permettant même de dépasser les personnages féminins de Gundam Seed en terme de popularité, ce qui n'est pas rien. La série reste même dans le top 3 des meilleures séries au Japon actuellement!
Après le japon, Kiddy Grade sera bientôt disponible aux Etats-Unis chez FUNimation et en France grâce à l'éditeur Declic Images. Ce n'est pas étonnant à la vue de la popularité grandissante des séries produites par le studio Gonzo.
Les atouts de Kiddy Grade : l'histoire palpitante, l'action au rendez-vous, les personnages charismatiques et Eclair.
Il serait dommage de ne pas accorder à cette série la place qu'elle mérite: une place dans votre DVDthèque!

#31
Posted 12 January 2005 - 13:31
#32
Posted 12 January 2005 - 13:39
J'ai commencé à le regarder en VOSTFR (bien sûr

Au fil de la progression de l'investigation, l’histoire perd ses liens avec une réalité tangible, pour gagner dans un tourbillon cognitif une complexité symbolique d’une force rarement atteinte au cinéma. Mamoru Oshii construit son film sur un fil linéaire au départ simple, mais ramifié indéfiniment en boucles, récurrences et itérations complexes jusqu’à la révélation finale – finalement simple et claire.
Mais je suis dans l'obligation de voir un anime de cette qualité deux ou trois fois avant d'en capter les subtilités intrinsèques.

#33
Posted 21 February 2005 - 12:00
BLUE GENDER
Yûji est atteint d'une maladie incurable...son seul recours : dormir dans un caisson pendant plusieurs années en attendant que la science progresse.
Mais à son réveil, il découvre la Terre complètement ravagée et colonisée par d'énormes insectes appelées les "Blues".
Cela fait quatorze ans que l'humanité subit les assauts innombrables et incessants de ces insectes géants. Affaiblie et apeurée, celle-ci n'a eu qu'une unique solution, l'exil, et ce dans le seul endroit non envahi par cette nouvelle espèce dominante : l'espace. La masse humaine ne pouvant dans son ensemble y trouver refuge, seule une minorité choisie sur la base de critères très sélectifs a rejoint la nouvelle Terre dénommée Second Earth, une station orbitale géante.
La résistance y est dirigée par le Haut-Conseil qui, contre toute attente, décide d'envoyer des équipes d'intervention récupérer les « sleepers », des humains cryogénisés restés sur Terre.

Yuji se réveille de 22 ans de sommeil. Atteint d’une maladie incurable, il avait choisi de devenir Sleepers, en attendant que la science puissse le guérir. Seulement ce n’est pas pour ça qu’il s’est réveillé...
Des insectes géants l’attaquent, et il n’a la vie sauve que grâce à l’intervention de Marlène, pilote d’Armored Strike (= gros robot). Marlène n’a pas l’air commode non plus. Yuji va vite s’apercevoir que les choses ont beaucoup changé à la surface de la terre depuis 22 ans...
La Terre menacée par des monstres dont l’origine est incertaine... un héros torturé, peu sûr de lui... des hommes et des femmes d’exceptions aux commandes de Mechas pour sauver l’humanité... ça vous rappelle Evangélion non ?
Normal c’est pareil. Est-ce que ça rend la série moins bonne ? J’ai beaucoup aimé le début, avec un côté très militaire / sans espoir. Il y a quand même pas mal de différences avec Evangelion : il n’y a pas de robot rouge vif, ce que personne ne regrettera, les personnages principaux sont un peu plus âgés (=plus de sexe), aucun sens de l’humour (hélas), moins de mystère, plus clair (plus basique aussi).
Donc malgré le côté repompe massive, c’est une chouette histoire bien prenante. Recette éprouvée donc efficace.
Mes notes:
Animation: 7/10
Scénario: 9/10
#34
Posted 21 February 2005 - 12:42
#35
Posted 21 February 2005 - 12:46
#36
Posted 21 February 2005 - 12:51

Suite aux pluies noires qui se sont abattues sur Kobe durant l'été 45 (bombardements américains), deux enfants, Seita et Setsuko, deviennent orphelins. Du foyer d'une malveillante tante à un abri du fortune peuplé de lucioles, ils tentent de survivre seuls.
Passé plutôt inaperçu lors de sa sortie en France en 1996, Le Tombeau des lucioles est pourtant un authentique chef d'oeuvre, le récit à la fois sublime et horrible d'une enfance sacrifiée. Suscitant un malaise palpable, les premiers instants du film annoncent la couleur: "la nuit du 21 septembre 1945, je suis mort". Ce sont les mots de Seita, 14 ans, s'éteignant dans une cruelle indifférence. Le reste du film sera raconté en flash back, écartant tout malsain suspens: le récit sera douloureux, réaliste, sans concession. Parfois insoutenable, la dureté du Tombeau des lucioles n'a d'égale que sa poésie, permettant ainsi quelques respirations dans un cadre de désolation assez étouffant.

Le tombeau du titre est le refuge que trouvent Seita et Setsuko après avoir quitté le foyer de leur tante. Un abri sombre, lugubre, illuminé par la présence de lucioles. Le tombeau en question étant en quelque sorte une image de l'existence que mène les deux jeunes enfants, deux lucioles dont le scintillement se fait de plus en plus faible dans un univers où le spectre de la mort est omniprésent. L'existence également dans un Japon réduit en cendres par les bombardements, sans pour autant que le film donne dans le patriotisme nauséabond: les conflits demeurent une toile de fond mais le récit se concentre exclusivement sur les deux principales figures. Le Tombeau des lucioles est avant tout un film sur l'enfance face à la guerre, d'un réalisme proche du documentaire - Takahata se détachant ainsi du côté fantaisiste et magique d'un Miyazaki pour sa première réalisation au sein du studio Ghibli. Le Tombeau des lucioles est une oeuvre de paradoxes: à la fois beau et atroce, sombre et lumineux, doux et amer. On ne peut en revanche que difficilement se résoudre à une rassurante formule voulant que "de la mort émane la vie", car si le dernier plan montre une métropole en paix, elle est également perçue du point de vue de deux fantômes, deux jeunes enfants sacrifiés.

Un kleenex siouplé, y'a un truc humide qui coule de mon oeil...

#37
Posted 21 February 2005 - 12:55

#38
Posted 21 February 2005 - 13:23
Comment ne pas tomber sous le charme de ces deux enfants?

Seita passe son temps à se battre pour nourrir sa soeur et lui faire croire que des jours meilleurs arrivent. Pour la petite Setsuko c'est un jeu, son âge ne lui permet pas de comprendre réellement ce qui lui arrive.
On se dit que ce sont les horreurs de la guerre, que les enfants sont toujours les premiers à en souffrir.
Certaines scènes sont attendrissantes, comme celles où Seita soigne les petits bobos de Setsuko.

Mais les choses iront de mal en pire. Là où il faut bien s'accrocher c'est quand on voit la petite Setsuko dépérir, rongée par une maladie qui, en temps ordinaires, serait bénigne.

Et c'est là que tout se bouscule dans votre tête. Vous n'avez qu'une envie, prendre ces deux enfants dans vos bras et les protéger. Vous vous mettez à haïr les hommes et leurs stupides guerres. Vous avez envie de crier un désespoir naissant, de stopper le film pour ne plus voir l'insoutenable.
Eux, ils n'ont rien demandé sinon vivre heureux avec leurs parents qu'ils ne reverront jamais, que la guerre leur a volé...
Autant vous vous sentez émerveillé et léger en visionnant Laputa le château du ciel, autant un sentiment de malaise vous envahie devant ce film.
Un jeune garçon, une petite fille, une boîte de bonbons, des lucioles, une dominante rouge, la nuit, la mort : tous les éléments sont ici présents, énigmatiques, qui vont constituer les éléments récurrents d'un récit dont les deux pôles sont la vie et la mort, l'enfance et l'histoire. Non sans ambiguïté : ce rouge est autant celui de l'enfance que celui des fantômes (donc des morts) que ces enfants sont devenus, que celui des ciels embrasés lors des bombardements dans le film à venir, que celui du sang qui va couler et des plaies qui vont s'aviver. Quant aux lucioles, chacun sait que ces charmants insectes ont une durée de vie bien éphémère...
Ainsi, le film qui vient de s'annoncer ici dans un bien étrange et bien grave prégénérique se place d'emblée sous le signe d'une tension entre deux contraires qui s'entremêlent étroitement. Il s'y exprime cette lutte constante entre les forces de la vie et la mécanique implacable de la mort qui, jusqu'au bout, se révèle être le moteur du récit.
En effet, il est dur de retenir ses larmes devant une telle tragédie, surtout devant la pureté des deux enfants se retrouvant seuls au monde face à la guerre. Un film traditionnel ne pourrait pas faire mieux : il en serait paradoxalement beaucoup moins crédible.
Ce film a d'ailleurs été amplement récompensé et admiré dans le milieu de l'animation, et a reçu au festival du film de Moscou le fameux Prix Unicef pour son message de paix...
Une nouvelle raison de s'intéresser aux Mangas et d'apprécier un genre de plus en plus boudé par le cinéma traditionnel.
#39
Posted 21 February 2005 - 13:27
Comment ne pas tomber sous le charme de ces deux enfants?![]()
Seita passe son temps à se battre pour nourrir sa soeur et lui faire croire que des jours meilleurs arrivent. Pour la petite Setsuko c'est un jeu, son âge ne lui permet pas de comprendre réellement ce qui lui arrive.
On se dit que ce sont les horreurs de la guerre, que les enfants sont toujours les premiers à en souffrir.
Certaines scènes sont attendrissantes, comme celles où Seita soigne les petits bobos de Setsuko.![]()
Mais les choses iront de mal en pire. Là où il faut bien s'accrocher c'est quand on voit la petite Setsuko dépérir, rongée par une maladie qui, en temps ordinaires, serait bénigne.![]()
Et c'est là que tout se bouscule dans votre tête. Vous n'avez qu'une envie, prendre ces deux enfants dans vos bras et les protéger. Vous vous mettez à haïr les hommes et leurs stupides guerres. Vous avez envie de crier un désespoir naissant, de stopper le film pour ne plus voir l'insoutenable.
Eux, ils n'ont rien demandé sinon vivre heureux avec leurs parents qu'ils ne reverront jamais, que la guerre leur a volé...
Autant vous vous sentez émerveillé et léger en visionnant Laputa le château du ciel, autant un sentiment de malaise vous envahie devant ce film.
Un jeune garçon, une petite fille, une boîte de bonbons, des lucioles, une dominante rouge, la nuit, la mort : tous les éléments sont ici présents, énigmatiques, qui vont constituer les éléments récurrents d'un récit dont les deux pôles sont la vie et la mort, l'enfance et l'histoire. Non sans ambiguïté : ce rouge est autant celui de l'enfance que celui des fantômes (donc des morts) que ces enfants sont devenus, que celui des ciels embrasés lors des bombardements dans le film à venir, que celui du sang qui va couler et des plaies qui vont s'aviver. Quant aux lucioles, chacun sait que ces charmants insectes ont une durée de vie bien éphémère...
Ainsi, le film qui vient de s'annoncer ici dans un bien étrange et bien grave prégénérique se place d'emblée sous le signe d'une tension entre deux contraires qui s'entremêlent étroitement. Il s'y exprime cette lutte constante entre les forces de la vie et la mécanique implacable de la mort qui, jusqu'au bout, se révèle être le moteur du récit.
En effet, il est dur de retenir ses larmes devant une telle tragédie, surtout devant la pureté des deux enfants se retrouvant seuls au monde face à la guerre. Un film traditionnel ne pourrait pas faire mieux : il en serait paradoxalement beaucoup moins crédible.
Ce film a d'ailleurs été amplement récompensé et admiré dans le milieu de l'animation, et a reçu au festival du film de Moscou le fameux Prix Unicef pour son message de paix...
Une nouvelle raison de s'intéresser aux Mangas et d'apprécier un genre de plus en plus boudé par le cinéma traditionnel.


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