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Perben demande à douze préfets de nouveaux efforts pour la sécurité routière[08/12 - 17h18]

Au lendemain de la publication de résultats "décevants" sur la sécurité routière, le ministre des Transports Dominique Perben a demandé jeudi aux préfets de douze départements, davantage touchés par les accidents, de mettre en place des actions ciblées pour améliorer leurs chiffres.
Au cours d'un point de presse, M. Perben qui venait de réunir ces douze préfets au ministère, a qualifié de "décevants" les chiffres de novembre 2005, mois au cours duquel le nombre des tués dans des accidents de la route a augmenté de 1,2 % (406 morts) par rapport au même mois de 2004 (401).
Pour expliquer ce mauvais bilan, qui risque de rendre "difficile" l'objectif du gouvernement de descendre en 2005 sous la barre des 5.000 tués, le ministre des Transports a souligné que la mobilisation de "8.000 à 10.000 policiers et gendarmes", durant les trois semaines de violences urbaines, en partie sur le mois de novembre, "avait peut-être joué".
Les douze départements concernés par les mauvais chiffres relevés au cours des dix premiers mois de l'année sont : l'Ain, l'Ariège, le Cher, la Haute-Vienne, l'Hérault, la Loire, la Marne, la Meurthe-et-Moselle, le Morbihan, le Puy-de-dôme, le Tarn et les Yvelines.
M. Perben a demandé aux douze préfets de "travailler plus en finesse" pour améliorer la sécurité routière dans leur département, en travaillant notamment avec les maires et les conseils généraux pour faire porter leurs efforts sur les secteurs routiers les plus dangereux.
Le ministre des Transports a ajouté que ces actions de prévention devaient également être menées dans les entreprises. Il a également prévu que les préfets concernés puissent bénéficier de crédits supplémentaires pour améliorer la sécurité.
"Il faut réagir", a conclu M. ¨Perben en lançant aux conducteurs un "appel à la prudence à la veille des fêtes de fin d'année".
De son côté, le délégué interministériel à la sécurité routière, Rémy Heitz, a affirmé que le gouvernement avait "la volonté de ne pas stigmatiser certains départements". Selon M. Heitz, il faut "explorer d'autres zones" où l'on peut gagner sur la sécurité routière par des mesures de prévention supplémentaires.
Il a souligné que, malgré l'amélioration sensible constatée ces trois dernières années, le bilan de la sécurité routière comptait des "zones d'ombre" comme la surmortalité des jeunes et le nombre plus important des deux-roues dans les accidents que des autres véhicules.
"Il faut parvenir, a dit M. Heitz, à une répartition homogène de la baisse du nombre des tués et des blessés dans tous les départements". Mais pour le délégué à la sécurité routière, "la mobilisation restera au même niveau pour toute la France".
Au 8 décembre, 980 radars automatiques ont été installés en France et le millième, a confirmé M. Heitz, sera mis en place avant le 31 décembre.


Source : AFP

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Transmusicales de Rennes: reformation des Fugees et cap sur le rock
[08/12 - 16h10]

La reformation des Fugees, étoiles du hip-hop, et une programmation plus "rock" que les autres années, avec les pionniers Gang of Four, Undertones ou Primal Scream, rythmeront la 27e édition des Transmusicales de Rennes, festival défricheur, du jeudi 8 au samedi 10 décembre.
L'évènement grand public sera incontestablement la reformation des Fugees. Le trio américain -Lauryn Hill, Wyclef Jean et Pras- s'était hissé au sommet des ventes mondiales avec "The Score" en 1996, avant de se lancer dans diverses carrières solo.
Dans un registre voisin, l'apparition de Mattafix, duo londonien présenté par la rumeur outre-Manche comme les futurs Massive Attack, devrait rassasier les fans de trip hop.
Les amateurs de rock se tourneront plutôt vers des groupes pionniers comme Gang of Four, figure du post-punk de la fin des années 70-80. Ces Anglais de Leeds, aux textes socialement engagés, ont été sortis de leur retraite par des machines à tubes actuelles comme Bloc Party et Franz Ferdinand, héritiers déclarés.
Les dinosaures irlandais d'Undertones, tout droit venus des années 70, seront également de la fête. Leur pop-punk séminal, concentré dans leur tube "Teenage Kick", a suscité bien des vocations. Manque toutefois à l'appel leur chanteur originel, Feargal Sharkey.
Un autre point d'orgue sera la prestation des Anglais de Primal Scream, né dans les années 80, qui a fait tomber les murs entre le rock et la "dance music". Leur set promet d'être explosif avec le renfort sur scène de Kevin Shield, guitariste d'un autre groupe mythique, My Bloody Valentine.
L'actrice américaine Juliette Lewis ("Tueurs nés", d'Oliver Stone) devrait attirer quelques curieux devant Juliette and the Licks et ses guitares épaisses.
La relève du rock semble plutôt promise aux espoirs dénichés par les "Trans", comme les Mancuniens de Kill the Young, les Américains de Nervous Cabaret ou de Clap Your Hands Say Yeah! ou encore les Ecossais d'El Prés!dente (bien Prés!dente). A noter aussi la programmation de The Brian Jonestown Massacre, Américains maudits n'ayant jamais confirmé leurs promesses.
Le rayon "surprises" sera également bien fourni entre les Chinois de Iz, aux mélopées d'Asie centrale, l'union israëlo-palestinienne autour d'une guitare électrique de Boogie Balagan, le groove des Norvégiens de Datarock ou encore les improbables Américains d'Hayseed Dixie (jeu de mot sur AC/DC) qui reprennent notamment Led Zeppelin au banjo.


Source : AFP

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Jean Béliveau, un Québécois qui sillonne le monde à pied depuis cinq ans,

Il a déclaré à l'AFP être arrivé cette semaine à Lisbonne après avoir parcouru plus de 33.000 kilomètres et traversé les continents américain et africain.

"Cela fait 5 ans et 4 mois que je voyage", a raconté ce globe-trotter canadien après avoir traversé 28 pays et usé plus d'une vingtaine de paires de chaussures.

Cet homme de 50 ans, qui pousse un petit chariot au-dessus duquel trône le drapeau canadien, a quitté sa ville de Montréal au Canada il y a cinq ans laissant derrière lui sa femme et ses enfants.

D'abord "un défi personnel", M. Béliveau, qui a placé son périple autour du thème de la paix, espère aujourd'hui pouvoir recueillir des fonds pour venir en aide aux enfants dans le monde.

"J'aimerais lever des fonds au profit de l'Unicef (Le Fonds des Nations unies pour l'enfance). Je veux, à travers ma démarche, réveiller les gens, attirer l'attention des médias sur ce qui se passe dans le monde", a-t-il expliqué.

L'aventure de Jean Béliveau, prévue pour durer une douzaine d'années, doit se poursuivre l'année prochaine en France, en Grande-Bretagne, en Europe de l'Est avant de repartir vers l'Asie.

Cet aventurier, qui s'accorde à présent un mois de vacances à Madrid en compagnie de sa femme qui vient le retrouver pour les fêtes de fin d'année, a indiqué qu'il se trouvait à peu près à la moitié de son périple. A la fin de son voyage, M. Béliveau aura visité pas moins de 80 pays.


Source AFP

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Aujourd'hui, nous fêtons...

PIERRE Fourier (Saint), curé de Mattaincourt, en Lorraine, aux seizième et dix-septième siècles, honoré le 9 décembre. La vie de ce saint homme fut une suite continuelle de bonnes œuvres. Non seulement il se dévoua avec un zèle infatigable à l'instruction du troupeau qui lui était confié, fondant pour ses paroissiens des écoles gratuites, une caisse de prévoyance et d'autres institutions non moins utiles, mais encore il évangélisa la Lorraine, et partout sa mission produisit les plus heureux fruits. Tout ce qu'il possédait était le patrimoine des pauvres, des malheureux. « Nous ne sommes sur la terre, disait-il, que pour servir et soulager Notre-Seigneur dans nos frères qui souffrent. »

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Brésil: un maire décrète une "interdiction de mourir"[09/12 - 13h01]

Le maire de Biritiba Mirim, dans la banlieue de Sao Paulo, a décrété une "interdiction de mourir" dans cette commune jusqu'à nouvel ordre, faute de place dans le cimetière municipal.
Un "projet de loi" en ce sens va être examiné par l'Assemblée municipale a indiqué jeudi son adjoint, André José Barros.
"Interdiction de mourir à Biritiba Mirim" est le titre du site web de la mairie. "Les contrevenants seront sanctionnés pour leurs actes. La mesure restera en vigueur jusqu'à la construction du nouveau cimetière" et "les citoyens devront veiller à leur santé afin de ne pas mourir", stipule le texte du "projet de loi".
"Il s'agit en réalité d'une protestation pour attirer l'attention de l'opinion publique sur la saturation du cimetière et sur l'interdiction d'en construire un autre", a précisé M. Barros.
Dans un message à l'Assemblée municipale, le maire, Roberto Pereira da Silva, reconnaît que "ce projet peut paraître absurde". "Mais que ce qui est encore plus absurde, c'est la Résolution 335/03 du Conseil National de l'Environnement qui nous interdit de construire un nouveau cimetière dans la ville".
Le maire prévient ses conseillers municipaux que "la situation est catastrophique". "Les familles de la commune n'ont plus où enterrer leurs morts, toutes les ressources possibles ont été épuisées: récupération des tombes abandonnées, ouverture de nouvelles tombes dans les allées du cimetière, agrandissement grâce à des terrains proches, mais tout cela n'est pas suffisant", conclut le maire.


Source : AFP

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Corée du Sud: un joueur compulsif sur l'internet meurt d'épuisement
[09/12 - 13h06]

Un Sud-Coréen de 38 ans qui jouait en réseau sur l'internet jour et nuit depuis dix jours est mort d'épuisement.
L'homme a trépassé jeudi alors qu'il engageait une énième partie dans un café internet d'Incheon, à l'ouest de Séoul. "Il a été transporté dans un hôpital proche mais la mort a été constatée à son arrivée", a déclaré un officier de police.
En août, un autre mordu du jeu en réseau âgé de 28 ans est décédé dans la ville de Taegu (sud-est) après avoir joué pendant plus de deux jours.


Source : AFP

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Un détenu en cavale retourne de lui-même en prison[08/12 - 19h34]

Un détenu en cavale depuis lundi soir, placé en détention provisoire à la maison d'arrêt d'Epinal et qui s'était évadé d'un hôpital psychiatrique où il avait été admis pour une dépression, est retourné de lui-même à la maison d'arrêt d'Epinal.
Le détenu, arrêté à Strasbourg dans une affaire de trafics d'armes et de stupéfiants en Alsace, écroué à la maison d'arrêt d'Epinal, s'est présenté de lui-même à la maison d'arrêt mercredi soir.
Il avait été transféré à l'hôpital psychiatrique de Mirecourt-Ravenel lundi pour soigner une dépression nerveuse et avait trompé la vigilance des surveillants.


Source : AFP

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Ce week-end, nous fêtons...

ROMARIC (Saint), Romaricus (issu du germain rod signifiant gloire, mar signifiant célèbre et rik signifiant Puissant), connu aussi sous les noms de Remiret et de Rombert, honoré le 10 décembre
De la famille mérovingienne, appartenant à la cour de Clotaire II à Metz, il la quitta pour fonder avec saint Amé, un monastère au Saint-Mont, près de Remiremont, au septième siècle.


DANIEL (Saint), surnommé le Stylite, solitaire à Constantinople, au cinquième siècle, honoré le 11 décembre.

[Carole]

Corée du Sud: un joueur compulsif sur l'internet meurt d'épuisement
[09/12 - 13h06]

Un Sud-Coréen de 38 ans qui jouait en réseau sur l'internet jour et nuit depuis dix jours est mort d'épuisement.
L'homme a trépassé jeudi alors qu'il engageait une énième partie dans un café internet d'Incheon, à l'ouest de Séoul. "Il a été transporté dans un hôpital proche mais la mort a été constatée à son arrivée", a déclaré un officier de police.
En août, un autre mordu du jeu en réseau âgé de 28 ans est décédé dans la ville de Taegu (sud-est) après avoir joué pendant plus de deux jours.


Source : AFP

Ah mon dieu encore un! Mais c'est horrible comme mort! C'est fou ça qu'on puisse être autant accroc à ce genre de truc

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Les violences de Rennes relancent la polémique sur les "rave parties"
[11/12 - 22h34]

Le centre de Rennes a vécu une nuit de violences après l'annulation d'une rave party en marge du festival de rock des Transmusicales, relançant la polémique sur l'organisation de ces fêtes musicales qui embarrassent pouvoirs publics et municipalités.

Plus d'une centaine de jeunes, dont de nombreux déçus de la rave souvent fortement alcoolisés, ont affronté durant la nuit les forces de l'ordre, lançant des cannettes et bouteilles, voire des pavés. Les gendarmes mobiles sont parvenus à rétablir le calme dimanche à l'aube à l'aide de grenades lacrymogènes et d'un canon à eau.

Ces violences ont fait deux blessés légers parmi les forces de l'ordre. La préfecture a recensé la dégradation d'une dizaine de vitrines, le bris de deux abribus. Quatre véhicules ont été endommagés. Des vols ont été commis, quelques poubelles brûlées et des trottoirs en partie dépavés.

Trente et une personnes ont été interpellées et 73 procès-verbaux d'infraction à la législation sur les stupéfiants ont été dressés, selon un dernier bilan de la préfecture communiqué dimanche soir. D'après la police, 28 personnes en prolongation de garde à vue doivent être présentées à un magistrat à partir de lundi matin.

Les heurts avaient débuté samedi après-midi alors que plus de 500 jeunes, selon les autorités, s'étaient rassemblés pour protester contre la décision prise mardi par la préfète de Bretagne, Bernadette Malgorn, d'interdire pour des raisons de sécurité une rave party en marge des Transmusicales.

Les incidents ont rallumé une polémique sur la tenue de ce type d'événements entre la préfecture, qui explique avoir interdit la rave pour éviter le pire, et la mairie, qui voit dans l'interdiction l'origine des troubles.

La préfète a rejeté dimanche la responsabilité de l'annulation sur les organisateurs de la rave, le collectif musical breton "Korn'g Heol", qui n'aurait pas donné suffisamment de garanties en matière de sécurité. D'après Mme Malgorn, il y avait notamment une "incertitude énorme" sur le nombre de participants, annoncé entre 10.000 et 15.000, mais qui aurait pu atteindre 30.000 sur un terrain pas prévu pour accueillir autant de monde.

Dans ces conditions, "au lieu d'avoir 500 à 600 teufeurs en colère, on aurait eu plusieurs milliers de teufeurs en manque avec des difficultés énormes pour l'ordre public", a affirmé la préfète.

"L'interdiction préfectorale de la rave party a été une erreur et on en a subi les conséquences", a réagi le maire socialiste de Rennes, Edmond Hervé. Il a dénoncé l'amalgame entre "teufeurs" et fauteurs de troubles, rappelant que la mairie avait mis à disposition un "terrain acceptable" ayant déjà accueilli une rave en 2001.

L'organisation de rave party est un problème délicat pour les pouvoirs publics, qui cherchent à éviter les rassemblements clandestins mais peinent à convaincre les municipalités d'accueillir les fêtes autorisées, qui ont souvent mauvaise réputation.

Ainsi, la préfecture de Bretagne a indiqué n'avoir toujours pas trouvé de commune prête à accueillir la grande rave party de l'été 2006. Faute de mieux, cette dernière pourrait se tenir sur un terrain militaire appartenant à l'Etat.

Fin juin, une jeune fille de 18 ans est morte poignardée aux abords du site du teknival de Carnoët (Côtes d'Armor), un meurtre toujours pas élucidé. Les maires gardent aussi en mémoire les terrains ravagés et la colère de la population après la rave party de Marcillé-Raoul, près de Rennes, fin 2002, en marge des Transmusicales.



Source : AFP

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Violent tremblement de terre en Papouasie-Nouvelle-Guinée[11/12 - 18h22]

Un tremblement de terre d'une magnitude de 6,8 sur l'échelle ouverte de Richter s'est produit dimanche au large de la côte orientale de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, en Océanie, a annoncé l'observatoire de Hong Kong.

L'épicentre du séisme a été localisé dans le Pacifique à quelque 270 km au sud de Rabaul sur l'île de Nouvelle-Bretagne, a ajouté l'observatoire.

On ignorait dans l'immédiat si la secousse tellurique avait fait des victimes et causé des dégâts matériels.

Un tremblement de terre mesurant 6,3 degrés sur l'échelle de Richter avait secoué la côte septentrionale de la Papouasie-Nouvelle-Guinée jeudi sans faire ni victimes ni dégâts.

La Papouasie-Nouvelle-Guinée est située à l'endroit où se rencontrent des plaques continentales à l'origine d'une activité volcanique et sismique intense.



Source : AFP

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Lignes haute tension et santé : une étude britannique qui fait date
[11/12 - 17h02]

L'étude britannique sur les lignes haute tension et les cas de leucémies chez l'enfant publiée en juin par des chercheurs de l'université d'Oxford a ouvert une "nouvelle époque" dans l'évaluation de ce risque, selon un responsable d'EDF-RTE Jacques Lambrozo.

"La surprise a été totale", a-t-il déclaré lors de rencontres parlementaires consacrées cette semaine au thème "électromagnétisme et santé".

Portant sur plus de 29.000 enfants souffrant de cancer, dont 9.700 de leucémie, cette étude a montré que le risque de leucémie augmente de 69% pour les enfants dont le domicile se trouvait à moins de 200 mètres des lignes haute tension au moment de leur naissance et de 23% pour ceux domiciliés à une distance située entre 200 et 599 mètres, par rapport à ceux nés à plus de 600 mètres, a rappelé Gerald Draper, principal auteur de ces travaux.

Plusieurs explications ont été recherchées (particules ionisées sous l'effet des lignes haute tension qui seraient ensuite inhalées, peintures recouvrant les pylônes, utilisation d'herbicides...), car on ne savait pas expliquer l'effet des champs électromagnétiques à une distance supérieure à 200 mètres, a-t-il relevé.

Cette étude ouvre, selon Jacques Lambrozo, une "troisième époque" dans l'évaluation du risque, rappelant aussi une "autre date importante" en 2000, lorsque d'autres travaux avaient montré que le risque de leucémie s'accroît chez l'enfant lorsque le champ magnétique est supérieur ou égal à 0,4 microtesla.

Le risque augmente à partir d'une exposition de 0,2 microtesla et est multiplié par deux pour un niveau supérieur à 0,4 microtesla, sans que le rapport de cause à effet soit expliqué, ce qui a conduit le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) à classer les très basses fréquences comme "cancérogènes possibles", a rappelé son directeur Peter Boyle.

Compte tenu du pourcentage d'enfants potentiellement exposés, "entre 200 et 2.000 cas de leucémies infantiles dans le monde entier seraient imputables aux champs magnétiques d'extrêmement basse fréquence chaque année, sur les 11 millions de nouveaux cas de cancers recensés", a-t-il précisé.

En France, "deux à douze cas de leucémies" par an pourraient en résulter, a estimé Gilles Brücker, directeur de l'Institut de veille sanitaire (InVS), notant qu'il faudrait des enquêtes épidémiologiques "extrêmement larges" pour réussir à les déceler.

Compte tenu de la population exposée, un risque "faible et difficile à cerner n'est pas pour autant négligeable", a-t-il reconnu, précisant qu'une étude était prévue sur vingt ans, sur 10.000 à 20.000 enfants de la conception à l'âge adulte.

Pour la présidente du Criirem (Centre de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnement électromagnétiques), Michèle Rivasi, les incertitudes quant aux risques signifient au moins "qu'il ne faut plus construire de maisons à proximité des lignes haute tension".



Source : AFP

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Aujourd'hui, nous fêtons...

CORENTIN (Saint), Corentinus (issu du celtique kar signifiant ami et korventeen signifiant tempête), premier évêque de Quimper, honoré le 12 décembre.

[Carole]

Aujourd'hui, nous fêtons...

CORENTIN (Saint), Corentinus (issu du celtique kar signifiant ami et korventeen signifiant tempête), premier évêque de Quimper, honoré le 12 décembre.

Corentin? J'ai de la chance j'en connais un

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Un déluge d'eau déversé sur l'incendie géant près de Londres[12/12 - 14h31]

Les pompiers ont commencé lundi matin à déverser un déluge d'eau et de mousse sur l'incendie géant du dépôt de carburant de Buncefield (nord de Londres), tandis qu'un nuage de fumée recouvrait le sud de l'Angleterre, se dirigeant vers la France.
Vingt des vingt-sept cuves de carburant brûlent et la lutte se déroule "dans des conditions très difficiles", a déclaré Roy Wilshire, le chef des pompiers. Quelque 150 pompiers ont démarré vers 08h30 GMT les opérations visant à étouffer le feu sous une "couverture de mousse", dirigeant sur les flammes "32.000 litres d'eau par minute et des quantités de mousse".
Le dépôt brûle depuis une explosion d'origine inconnue dimanche à l'aube, causant un nuage noirâtre qui s'est propagé peu à peu à tout le sud de l'Angleterre et se dirigeait lundi vers les côtes françaises. L'explosion a fait 43 blessés, pour la plupart sans gravité. "Nous sommes en territoire inconnu", a reconnu Roy Wilshire. "C'est le plus grand feu de ce type que nous ayons eu en Grande-Bretagne ou en Europe. Nous ne savons même pas comment les flux d'air chaud vont agir sur la mousse, cela pourrait simplement la dissoudre".
Une route a été construite pour acheminer les pompes depuis un canal voisin, où l'eau est puisée. Un "canon à mousse" a également été disposé à une centaine de mètres seulement de la plus grande cuve. La mousse et l'eau mises en oeuvre par les pompiers doivent être contenues dans un étang artificiel créé sur place, afin de limiter autant que possible la pollution du site. Dans quelques jours, elles seront pompées et envoyées dans des stations de traitement. Les secours ignorent le temps qu'il leur faudra pour éteindre le brasier.
Ils estiment toutefois qu'il y a suffisamment de carburant sur le site pour alimenter le feu au moins jusqu'à mercredi si on ne parvient pas à l'éteindre. Le dépôt de Buncefield est le cinquième plus grand en Grande-Bretagne. Ses cuves contiendraient chacune 13,65 millions de litres, soit un total de près de 370 millions de litres, dont 272 millions seraient en flammes. Les bulletins météo des télévisions, lundi matin, étaient principalement consacrés aux prévisions concernant les prochains déplacements du nuage de fumée. Dimanche, la fumée s'était élevée haut, poussée par la chaleur infernale du brasier et favorisée par un ciel peu nuageux. La réapparition des nuages lundi a agi comme un couvercle, et semblait faire progresser le nuage vers le sud, l'ouest et l'est, au-dessus du Pas-de-Calais.
Les efforts des pompiers, en faisant baisser peu à peu la température du brasier, ont amené les fumées à se répandre plus près du sol. L'absence de pluie évitait toutefois le risque de "pluies noires" vues dans d'autres catastrophes. Quelque 70 écoles de la région sont restées fermées lundi par précaution. Jane Halpin, directrice régionale des services de santé, a admis qu'en dépit de "premières données rassurantes", l'analyse chimique du nuage restait à faire. Elle a appelé notamment à jeter les fruits et légumes qui n'auraient pas été emballés.
L'hypothèse d'un accident restait privilégiée par les enquêteurs lundi. "Rien ne permet de suggérer autre chose à ce stade", a répété aux journalistes le commissaire Frank Whiteley, chef de la police du Hertfordshire. "De toutes façons", a-t-il ajouté, "avec un feu d'une telle intensité, il ne restera plus grand-chose" à étudier sur le site. Une trentaine de familles n'avaient pu regagner leur domicile lundi. Des tronçons des autoroutes M10 et M1 ont été à nouveau fermés. La compagnie pétrolière Total, co-exploitant du site avec Texaco, a mis en place une ligne téléphonique pour répondre aux riverains dont les propriétés ont été endommagées.


Source : AFP

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70% des Français ont choisi leur médecin traitant[12/12 - 14h52]

Soixante-dix pour cent des assurés de plus de 16 ans, soit plus de 33 millions de Français, ont choisi leur médecin traitant en 2005, a annoncé lundi la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam).
"Plus de 33 millions de Français ont choisi et déclaré leur médecin traitant, soit 70% des assurés de plus de 16 ans", a annoncé le directeur de la Cnam, Frédéric van Roekeghem, lors d'une conférence de presse. Dans 99,6% des cas, le médecin traitant est un généraliste.
Selon lui, "98% des patients ayant choisi leur médecin traitant respectent le parcours de soins coordonné (consultation du médecin traitant avant un spécialiste, ndlr).
Parmi ces 33 millions d'assurés, "on observe que les personnes âgées sont plus nombreuses à avoir fait leur choix", a-t-il relevé.
Quelque "87% des plus de 70 ans ont ainsi fait leur choix, contre 63% des personnes entre 41 et 50 ans et 46% des personnes entre 16 et 20 ans", selon les statistiques communiquées par l'assurance maladie.
Les femmes sont également plus nombreuses à avoir effectué leur choix (72% contre 67% pour les hommes).
La Cnam a toutefois remarqué des "disparités régionales". Les assurés du Nord-Pas-de-Calais ont ainsi fait leur choix à 74%, contre 55% en Ile-de-France.
En 2006, les médecins traitants devraient être incités à "s'engager dans des programmes de prévention personnalisés auprès de leurs patients" (obésité chez les jeunes, maladies cardio-vasculaires chez les adultes, facteurs de risque pour les jeunes femmes en début de grossesse, risques médicamenteux chez les plus de 60 ans).
Evoquant la demande des syndicats médicaux d'une revalorisation tarifaire, M. van Roekeghem a estimé que "les Français ne comprendraient pas une revalorisation si les objectifs fixés aux praticiens ne sont pas atteints dans leur très grande majorité".
"La situation financière de l'assurance maladie reste préoccupante", a-t-il fait valoir.
La convention signée le 12 janvier par l'assurance maladie et trois syndicats médicaux - CSMF, SML et Alliance - a, pour 2005, assigné aux praticiens des objectifs d'économies d'un montant de 998 millions d'euros (développement des médicaments génériques, baisses des prescriptions d'arrêts de travail et antibiotiques).
M. van Roekeghem a par ailleurs expliqué que la mise en place du dispositif du médecin traitant, depuis le 1er juillet, ne s'était pas traduite par une "hausse substantielle de l'activité" des médecins.
"La masse des honoraires remboursés des généralistes a augmenté de 3% en 2005, soit une évolution mesurée des honoraires", a indiqué M. van Roekeghem, qui constate que "les Français ont compris qu'ils ne devaient pas se précipiter chez leur médecin uniquement pour choisir leur médecin traitant".
Certaines spécialités cliniques, comme la dermatologie, la rhumatologie ou l'ORL, sont "surveillées avec attention" pour voir s'il y a une baisse de leur activité, a souligné M. van Roekeghem, selon lequel "les dermatologues ont vu la masse de leurs honoraires diminuer de 5% entre janvier et octobre par rapport à la même période en 2004".
M. van Roekeghem a enfin noté que les gynécologues de secteur 1 (tarifs "sécu") étaient les spécialistes qui effectuaient le plus de dépassements d'honoraires: "certains gynécologues respectent moins les tarifs qu'ils ne devraient le faire", a-t-il affirmé précisant que l'assurance maladie "veillerait courant 2006 à un meilleur respect des règles".


Source : AFP

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Stade 2: les pionniers fêtent leurs 30 ans[12/12 - 15h07]

Survivant avec des "Chiffres et des Lettres" et "Thalassa" de la télévision des pionniers, "Stade 2" fête mardi (20h50 sur France 2) ses 30 ans dans un climat un brin show-bizz, ne correspondant pas forcément à la solennité de l'événement.
Certes, Marie-José Pérec se laisse aller à la confidence. Bien-sûr, les Arron, Comaneci, Mauresmo, Blanco, Rives, Fignon, Hinault, Deschamps et consorts témoignent des sommets de leur sport, mais l'émission, en elle-même, n'y trouve que rarement sa dose d'émotions.
"La grande histoire de Stade 2 a été très peu évoquée", souffle Pierre Fulla, sur le plateau des artistes dès 1980. Comme d'autres, la "voix de Nagano" cherche la raison de la présence d'une Miss France ou d'un Francis Lalanne.
Ce choix aurait-il été du goût de Robert Chapatte, père de l'institution privilégiant alors bons mots et résultats? "Chaque fois que le nom d'une ville méconnue figure sur les panneaux, il s'agit de téléspectateurs de gagné", remarquait, madré, l'ex-cycliste décédé en 1997.
Soucieux d'entretenir son image, le coureur avait été surnommé "spécial dernière" car il s'échappait souvent au moment du bouclage des journaux.
Chef des sports d'Antenne 2, il était ensuite devenu bien plus que l'âme de l'équipe de départ, formée des Couderc, Choupin, Diot, Leulliot, Ollivier, Roland et Zitrone: il était une véritable régie à lui seul.
"Il avait un bouton devant lui et quand le journaliste s'attardait, il envoyait les images, se rappelle Fulla. Un jour, le sujet de Couderc ne part pas. Roger se tourne vers la bibliothèque et déclare: +je ne reçois rien, alors je vais vous donner une recette+. Hélas, il n'avait pas remarqué que les livres du décor étaient en carton-pâte".
Ses disciples sont formels, Robert Chapatte avait inventé ton et concept. "C'était la première fois qu'on utilisait une table ronde autour de laquelle nous étions plus chroniqueurs que présentateurs, souligne Fulla. Il avait montré la voix aux Ruquier et Ardisson".
De l'avis unanime, il revient à Thierry Roland l'anecdote la plus croustillante, née d'une séquence des "Buts venus d'ailleurs". Il existait alors un célèbre anglais du nom de Nobby Stiles, qui avait la particularité d'être édenté. "+Tiens en voilà un qui ferait bien d'aller se faire soigner chez le Docteur Huth", avait-il lancé. Devant son téléviseur, le praticien avait sur le champ apporté le champagne avant la fin de l'émission".
"Tout le monde a suivi derrière, se souvient Jean-Paul Ollivier. A la moindre occasion, on citait le dentiste, lequel arrivait dare-dare, avec les bouteilles, un seau et les glaçons. Il lui suffisait de traverser le pont de l'Alma où il officiait".
Les temps ont bien changé, sans que le vedette actuelle, Gérard Holtz, qui a connu les deux époques, en soit responsable. Son oeuvre se décline en deux temps. En 1985, Chapatte lui passe le témoin pour un regain d'enthousiasme. "C'était énorme, explique-t-il. C'est comme si on m'avait demandé de remplacer l'équivalent d'un Zidane ou Michalak".
Puis, survient, soudaine, la seconde impulsion, le 11 septembre au pied du Mont-Blanc, après un appel de Daniel Bilalian: "+dimanche tu présentes, prépare-toi+. Voilà comment le populaire Gégé a immédiatement rajeuni de 30 ans. "Je me régale comme un gamin", lâche Holtz.


Source : AFP

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Japon: la bourde d'un opérateur coûte 280 millions d'euros à son employeur[12/12 - 15h45]

La bourde d'un opérateur de Mizuho Securities a semé la pagaille à la Bourse de Tokyo et coûtera 40 milliards de yens (280 millions d'euros) à la maison de courtage, ont indiqué les autorités boursières.
Cette erreur avait été commise jeudi dernier lors de l'introduction en Bourse de la société de télécommunications J-Com. Au lieu de passer un ordre de vente d'une action J-Com à 610.000 yens, Mizuho avait saisi dans le système informatique une transaction de placement de 610.000 titres à un yen. Cet ordre représentait 42 fois le nombre d'actions J-Com disponibles.
La Bourse de Tokyo a reconnu, dimanche, que ce désastre avait été facilité par un défaut dans son système informatique, qui a empêché l'opérateur malheureux d'annuler son ordre après s'être rendu compte de son erreur.
Mizuho Securities avait estimé dans un premier temps que l'incident lui coûterait au moins 27 milliards de yens (190 millions d'euros), soit la somme nécessaire pour racheter au prix réel (772.000 yens lors de la suspension du titre jeudi) les actions placées pour 1 yen.
Mizuho Securities a racheté la plupart des 610.000 actions intempestivement placées, mais il lui reste encore à en acquérir 96.236. Lundi, les autorités de régulation boursière ont fixé à 912.000 yens le prix que devra verser Mizuho Securities pour chacune de ces actions, ce qui portera à 40 milliards de yens l'addition totale du cafouillage et réduira à néant le bénéfice net annuel de la maison de courtage.
La Bourse de Tokyo, dont le président Takuo Tsurushima a fait savoir qu'il envisageait de démissionner, a été villipendée par de nombreux responsables gouvernementaux, dont le Premier ministre Junichiro Koizumi. "Il faut agir pour éviter à l'avenir ce genre de bêtise", a vitupéré vendredi M. Koizumi.
Le marché de Tokyo, le plus important d'Asie, avait déjà été mis sur la sellette il y a quelques semaines à cause d'une panne informatique ayant bloqué les échanges pendant plusieurs heures.


Source : AFP

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Une Islandaise élue Miss Monde 2005[10/12 - 18h57]

Miss Islande, Unnur Birna Vilhjalmsdottir, une étudiante de 21 ans, a été élue Miss Monde 2005, samedi dans l'île de Hainan (sud de la Chine), succédant à Miss Pérou et réussissant là où sa mère avait échoué il y a 22 ans.
Cette étudiante en anthropologie, qui rêvait de se lancer dans le droit pour devenir avocate avant cette couronne mondiale, a devancé, sous les applaudissements du public du théâtre des Reines de Beauté de Sanya, Miss Mexique, Dafne Molina Lona, et Miss Porto Rico, Ingrid Marie Rivera Santos.
"C'est merveilleux, tellement merveilleux, c'était une nuit incroyable. Je ne pensais pas gagner, c'est une grosse surprise", a déclaré cette jeune femme aux cheveux noirs de 1,73 m, dont le slogan est "Tu es ce que tu fais".
Elle succède à Miss Pérou, Maria Julia Mantilla Garcia, qui achève ainsi une année chargée comme ambassadrice de bonne volonté, puisqu'elle est allée de l'Indonésie aux montagnes de son pays natal, en passant par le Tibet, afin de promouvoir la cause et l'éducation des enfants et de recueillir des fonds pour ces bonnes causes.
La nouvelle Miss Monde, fan de danse et de piano, a réussi là ou avait échoué en 1983 sa mère, Unnur Steinsson, Miss Islande 1983, qui avait figuré la même année parmi les cinq dernières finalistes du concours mondial.
Signe d'un certain éclectisme, elle a travaillé, cet été, comme policière dans un aéroport.
A l'issue d'une cérémonie où les robes de soirée, les paillettes et les sourires de circonstance n'ont pas manqué, Miss Monde a été désignée par un jury composé, pour la première fois dans l'histoire du concours, de huit anciennes lauréates, dont la présidente était la Miss 1953, la Française Denise Perrier Lanfranchi.
"En 1953, nous étions 12, aujourd'hui il y a plein de beautés", a-t-elle dit, lors de cette 55e édition retransmise dans le monde entier, pour une audience estimée à deux milliards de téléspectateurs par les organisateurs.
Cette désignation s'est tenue pour la troisième année consécutive à Sanya dans l'île tropicale de Hainan, en mer de Chine méridionale.
Plus d'une centaine de femmes du monde entier s'étaient portées candidates pour ce concours, dont les finalistes avaient été choisies par le public qui a pu envoyer des courriels, des SMS ou téléphoner.
Les organisateurs ont refusé de donner le nombre de votes reçus, indiquant que le site internet, où étaient présentées biographies et photos de toutes les candidates, avait reçu chaque jour des millions de visites.
Avant la cérémonie finale, certaines des jurées avaient fait part de leur opposition à cette manière de désigner les finalistes.
"Je ne suis pas du tout d'accord avec le vote par e-mail ou par téléphone", avait déclaré jeudi la Miss Monde 1971, la Brésilienne Lucia Petterle.
"Un juge a besoin de voir toutes les filles, de voir comment elles sont", avait-elle ajouté, sachant cependant qu'elle aurait le dernier mot.
Le processus de sélection avait commencé en novembre.


Source : AFP

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Aujourd'hui, nous fêtons...

LUCE ou LUCIE (Sainte), Lucia (d'un mot latin qui signifie lumière), vierge et martyre à Syracuse au quatrième siècle, honorée le 13 décembre.
Elle tient le second rang dans le canon de la messe entre les quatre premières vierges et martyres de l'Église romaine. Les reliques de sainte Lucie, après être restées pendant quatre siècles en Sicile, furent transportées à Metz, et exposées à la vénération publique dans l'église Saint-Vincent.