59 réponses à ce sujet

[Carole]

Bien les 2 là, bien...

[Will]

Bien les 2 là, bien...

[Stepquest]

Bien les 2 là, bien...

Bah ma Carole, qu'est donc que cette bille que tu fais là ( ) ?

[Carole]

Ben c'est qu'ils ont du vécu derrière aux les 2 lascars

[Will]

Ben c'est qu'ils ont du vécu derrière eux les 2 lascars

encore une faute

[Stepquest]

Will for you : t'ub t'ub !

Carole for you : Ah mais c'est que la Lulu ne connait que des braves, des gens bien sous tous les niveaux, des cadors, des professionnels, en retraite il faut le dire, mais des gaziers qui ont une histoire !

Il y a tellement de choses à raconter sur les copains de Lulu et sur elle, tiens par exemple, il faudra que je vous parle de son appartement, de sa voiture et de ses deux canaris.... en peluche !

[Will]

Will for you : t'ub t'ub !

hein ?quoi ? j'ai pas compris

[Stepquest]

t'ub est le bruit que fait le silencieux d'un flingue lorsqu'on tire !

[Will]

t'ub est le bruit que fait le silencieux d'un flingue lorsqu'on tire !

daccord je me coucherai moins c** ce soir

[Stepquest]

Je préfère t'expliquer parce que lorsque je vais parler de certains épisodes où ça a canardé sec dans les rues à côté de Dame Simone, personne ne va rien y comprendre !

Alors selon les flingues, il y a :

t'ub
t'ouffff
t'ib

mais aussi le très classique : pan !

[Will]

Je préfère t'expliquer parce que lorsque je vais parler de certains épisodes où ça a canardé sec dans les rues à côté de Dame Simone, personne ne va rien y comprendre !

Alors selon les flingues, il y a :

t'ub
t'ouffff
t'ib

mais aussi le très classique : pan !

ok comme ça je le saurai

[Stepquest]

Lulu observait à la dérobée Henri et Loulou entrain de discuter. Ah ! ces deux là, pensa t elle, une belle paire d’amis comme il est difficile d’en trouver encore. Des AS, des prestigieux en leur domaine respectif, c’est peut être à cause de cela qu’ils étaient devenus amis. Car il faut bien se l’avouer le soin dans le travail, l’amour de la qualité et les compétences, ça rapproche les hommes !

Le Loulou avait sur l’échelle de Lulu une cotation particulière. Il avait gagné son « hors classe » par un bel après midi de mai, la Lulu en début de trentaine, commençait à vouloir poser ses valises, si possible à proximité de celles d’un autre. Il faisait beau à Nogent où elle était allé passé un samedi à faire de la barque et à danser avec copains et copines, lorsqu’au moment du Vittel fraise, le grand Loulou sapé comme un milord avait fait une entrée très remarquée par les demoiselles.

Lulu s’était pensé, celui-là, il est pour ma pomme ! Croisement de regard, lui grand seigneur détournant pour ne pas paraître le regard avant d’aller se caler au bar. Mais Lulu connaissait trop bien les hommes pour tomber dans le panneau. Elle savait que la mâle était accroché et que si elle le ferrait bien, il allait tomber comme une figue molle. Coup de chance, l’accès aux toilettes passait fort près du lieu où se trouvait sa cible. Sous couvert d’une envie pressante, elle quitta ses amis et lorsqu’elle passa près du Loulou le pétillement de ses deux yeux clairs éblouirent le Loulou qui faillit en choir de son tabouret.

Lulu se souvenait comme d’hier de ce qui s’en suivit. Elle était jeune, très jolie et véritablement sculptée selon les canons de la gente masculine, aussi le Loulou ne mis pas dix secondes à tergiverser sur le bon goût de ou de ne pas aborder la belle à son retour !

Et ce fut le début d’une histoire d’amour qui dura cinq ans sur les chapeaux de roues, puis encore cinq ans après leur mariage. La vie de couple lorsque le turbin de Mônsieur le colle à l’hombre régulièrement, et celui de Madame au pieux fréquemment ne pouvait durer longtemps. Ils finirent d’un commun accord par se séparer et enfin par divorcer.

Mais attention les petits, jamais un mot plus haut l’un que l’autre ! Pas de divorce à la mitrailleuse lourde avec les tonnes d’insanités, les témoins à charge et à décharge, les vacheries de malotrus ou les suppositions de double vies. Du grand art, de la loyauté ! C’est probablement pour cela qu’ils étaient restés amis, peut être même plus !

En effet, il était fréquent que Loulou appelle Lulu « petite sœur » avec l’affection dans la voix et la pointe de tendresse dans les yeux ! Elle lui renvoyait son plus beau sourire, une petite tape sur la joue et un bisou sur le front.

Ces deux là se connaissaient de fond en comble. Oui elle l’avait aimé avec force, lui aussi d’ailleurs et s’il avait laissé ses affaires pour mener une vie de cave, il y avait gros à parier que c’était pour ne pas être par trop éloigné de Lulu.

Elle pensait aux nuits endiablées, aux joutes amoureuses, au sommeil gagné la tête sur l’une des endosses de Loulou, le petit réveil du matin lorsqu’il lui portait le petit déjeuner au lit ! Car le Loulou n’était pas seulement un cador en chimie, c’était un apollon, un esthète de l’amour délicat, tendre, inventif et pas fainéant avec ça ! Quant à Lulu, elle se livrait entièrement, se donnant corps et âme autant de fois qu’il la réclamait, avec une tendresse, une dextérité et un amour incommensurable.

Ils leur arrivait parfois de parler tous les deux de cette époque, à huis clos devant un bon repas, seuls en dehors des heures d’ouverture du troquet. Lulu le convoquait comme elle disait pour une affaire de la plus haute importance. Lui, comprenait qu’ils allaient revivre leurs guerres et leurs paix. Il arrivait en fin d’après-midi avec une énorme bouquet de violettes, les fleurs préférées de Lulu, puis ils dînaient à la lueur des bougies.

« tu te souviens mon Loulou de notre voyage à Venise ? » commençait elle invariablement par lui demander.

« Oui ma belle je m’en souviens ! Ton petit tailleur pied de poule et ton joli chapeau, et le battement de tes cils qui embrouilla notre gondolier au point qu’il faillit engourdir le pont des soupirs…. »

Et cela durait des heures, alors il lui prenait la main, y déposait un baiser avant d’ouvrir une bonne bouteille de champagne. Lulu, les yeux brillants par les souvenirs ressurgis, par le tact de Louis, et par cet amour qu’elle lui vouait encore le regardait s’activer autour des deux flûtes.

« Je t’aime encore mon Loulou ! Toutes ces années de taule où nous fûmes séparés ont eus raison de notre mariage mais pas de mes sentiments, ni de mes souvenirs d’amour avec toi »

Elle versait une larme, puis se forçait à sourire la main crispée sur celle de Louis, dont le regard s’embuait à cet instant précis.

« Je t’aime aussi petite sœur ! J’ai tout laissé tombé pour toi, pour rester près de toi et il n’est pas un jour, pas une nuit où je ne songe à cette erreur qui me fît plonger à nouveau ! Dire que je n’ai pas profité de la vie par la suite serait grande malhonnêteté, mais je peux t’assurer que depuis notre première rencontre jusqu’en ce jour, tu es la seule femme que j’ai réellement aimé. Tu es mon seul amour Lulu ! »

[Will]

allez s'il te plait olivier ,la suite

[Stepquest]

Pourquoi ne s’étaient ils pas remis ensemble ? Grande question à laquelle je serai bien incapable de vous répondre. A vrai dire, Lulu elle même se l’était maintes fois posée. Evidement elle avait eu des amants après le grand Louis, il avait eu des maîtresse, mais le lien qui les unissait était au-dessus de tout ça, comme atemporel, atypique, gravé dans le marbre.

La routine, les habitudes et les journées qui défilaient à toute vitesse avaient fait leur travail, posant Louis dans son petit studio de la place Dauphine et Lulu dans son deux pièces situés au-dessus du troquet.

Mais les gestes perduraient, les regards de connivences aussi, et les sentiments solides comme le roc les soudaient avec plus de force qu’un ciment pour lier deux pierres.

Corinne entra dans le bar. Elle alla tout sourire au lèvres embrasser sa grand mère. Instantanément le regard de Lulu s’illumina de milles feux. Corinne, sa petite, son petit bout était là.

« Bonjour Grand-mère. Comment va tu ? »

« Ca va ma beauté et toi ? »

« Je vais bien, sauf que je n’ai plus de voiture, elle a rendu l’âme et ce n’est pas le moment d’en acheter une autre ! J’avais prévu de partir à la mer le week end qui vient, je vais devoir annuler ! »

« Pourquoi ne pas pendre le train ? »

« trop tard pour avoir un billet mamie ! On voit bien que tu ne voyage pas beaucoup ! »

« Remarque Corinne, tu pourrai prendre la mienne de voiture, mais elle ne démarre pas bien en ce moment, je ne sais pas ce qu’elle a ! »

« 55 ans Mamie, 55 ans ! »

« Quoi 55 ans ? Que veux tu dire Corinne ? »

« Je dis que ta voiture ne fonctionne plus bien parce qu’elle a 55 ans ! Une Traction Citroën 15six de 1950 chez moi ça lui fait 55 ans ! »

« Mais ça ne compte pas ça ! Elle n’a que vingt deux milles kilomètres, elle a toujours dormi dans un garage chauffé à la bonne température ! Regardes sa carrosserie, pas un pète de rouille, le noir brille comme au premier jour et le drap gris souris intérieur est comme neuf ! Non, je crois que le mécano lors de la dernière révision, n’a pas fait son travail ! Faut que j’appelle le garage d’ailleurs ! »

« Tu va toujours chez Morel pour tes révisions ? »

« Oui ma chérie, pourquoi me demande tu cela ? »

« Parce que le garage est devenu un super marcher et que le père Morel a claboté depuis longtemps mamie, il faudrait te mettre à jour ! »

« Dis donc Corinne, je ne veux pas que tu parles comme ça ! Mais au fait, il est mort quand le père Morel ? Comme ça le garage n’existe plus, mais depuis quand ? »

« Le père Morel n’est plus depuis une petite dizaine d’années, quand au garage, je crois qu’il avait été repris par une concession qui a fermé les portes deux ou trois ans après ! En clair, cela fait au moins dix ans que ta voiture n’a pas été révisée ! Tu t’en es servie quand la dernière fois, mamie ? »

« C’est simple, c’était pour aller au funérailles de Gégé belles pompes, tu sais le gredin qui avait repassé Freddy la ferraille pour une sombre affaire de jeux clandestins ! C’était il y a…. »

« Huit ans mamie ! Je me rappelle ! »

[Stepquest]

Ah ! oui elle se souvenait ! Le temps passe vite. Lulu ne passait plus très souvent au garage dans lequel sa tracbar somnolait depuis des lustres. 55 ans qu’elle l’avait acheté d’occasion après avoir eu son permis de conduire. L’automobile avait cinq ans, neuf milles kilomètres et les housses de protection sur les sièges. Lulu l’avait faite repeindre pour lui donner le vernis de sortie d’usine et avait fait venir des Etats Unis l’un des tous premiers autoradio qu’elle fit installer à grands frais. Lulu gagnait très bien sa vie, elle pouvait se le permettre.

« Faudrait bien un jour que je la mette à la casse cette voiture ! Ca me fera tout de même quelque chose ! »

« Faut pas la jeter Mamie, elle intéresse peut être un collectionneur ou un musée ! Mais il est vrai que si tu ne t’en sert plus, pourquoi la conserver et payer un garage ! »

« Le garage il est à moi, donc il ne me coûte pas grand chose, pour la voiture je demanderai à Loulou s’il connaît quelqu’un ! Mais cela n’arrange pas tes affaires, il faut trouver une solution sinon ton week end est foutu ! »

« C’est pas grave Mamie, à bien y réfléchir je devais y aller avec Francis et mon intention était de lui dire qu’entre lui et moi tout était fini ! Je vais pouvoir le lui dire par téléphone et ainsi économiser les frais et les deux jours ennuyeux en perspective. »

« Et si demain, on se faisait les garages, histoire de voir s’il n’y a pas quelque chose qui pourrait t’intéresser ? »

« Mais Mamie, il y a le troquet ! Et puis je n’ai pas les moyens d’acheter une nouvelle voiture en ce moment ! »

« Le troquet sera fermé, ils iront picoler ailleurs, ça me fera des vacances de ne pas voir leurs trombines de cocker, d’entendre leurs histoires à la ###, et de devoir me les cogner toute la journée ! Et puis pour l’achat, tu crois que mamie est dans la dèche, qu’elle a des oursins dans les fouilles et que son morlingue est au Père La chaise ? »

« Te vexe pas Mamie, mais une voiture ça coûte de l’oseille, il ne suffit pas d’y aller avec un porte monnaie »

« Dis donc Corinne, tu me prends pour un crêpe ! Si je te parle de pognon c’est en connaissance de cause ! Voyons, faut que je traduise du franc, est ce que vingt à trente milles euros ça suffit ? »

« Mais Mamie, largement ! Mais tu ne va pas dépenser autant pour m’acheter une voiture ? »

« Ecoutes ma petite fille, je n’ai que toi, je dépense peu et le pactole s’amoncèle de jour en jour plus que j’en ai besoin. Alors laisse filer l’oseille et fais toi plaisir en choisissant ce qui te fait plaisir ! »

La Lulu était aux anges. Elle allait couvrir sa petite fille de cadeaux, car avec la voiture, il lui faudrait un box pour la garer et peut être même un nouvel appartement ! IL lui faudrait des housses, des tapis de sol, des trucs qui sentent bon à mettre dedans ….

Une journée complète avec sa petite fille à lui filer le train dans les rues de Paris, à la regarder discuter avec les vendeurs, à épier un sourire ! Peut être même qu’elles iraient toutes les deux au salon de thé pour se manger une petite gâterie et se moquer des autres clients !

[Will]

alors olivier , t'as pas oublié la lulu ça fait 1 mois(presque) moi je veux savoir la suite

[Stepquest]

Et Lulu lâcha le talbin comme on sème le grain pour filer la graille à la poulaille. Elle rajeunissait, car cela faisait bien longtemps qu’elle ne s’était activée les gambettes sur le goudron, pensez bonne dame, elle qui n’avait tapiné qu’au salon, l’impression de se la faire comme à Boulogne lui donnait de baume qu cœur.

Et Corinne suivait, n’osant plus donner son avis sur telle ou telle chose afin d’éviter à Lulu de sortir le larfeuille. Mais Lulu la poussait, l’obligeant à apprécier le contenu des vitrines, à essayer les fringues, les parfums, les bijoux.

« Hé Mamie, tu va me mettre sur les jantes avec ce train d’enfer ! »

« T’as vu ma mignonne, malgré les rides elle envoie sévère ta grand-mère ! Je suis en pleine forme alors je veux bien te concéder une pause pour aujourd’hui, mais demain on s’y remet ! »

Alors elles s’arrêtèrent au Salon de Thé. Lulu s’installa face à la porte d’entrée, un coutume qui lui venait du temps où pour protéger la retraite des hommes lors des descentes de Police, les travailleuses comme elle se plaçaient de telle façon à voir les allées et venues de la rue.

Corinne s’engourdit un pain au raisins arrosé d’un thé à la fleur d’oranger et Lulu préféra un chausson aux pommes accompagné d’un thé à la menthe façon Djerba. Elles restèrent plus d’une heure à parler d’avenir, de souvenir, à extrapoler sur la politique internationale de Chichi, à tirer à boulets rouges sur les conneries de la Mairie de Paris en matière de circulation, bref à refaire le monde.

Corinne était une jeune femme moderne, au parfum des affaires de société, lisant le 20 minutes, traquant entre croissant et café noir du matin, les galéjades époustouflantes des buveurs de mauvais vin blanc et de rugueux Calva !

Lulu quant à elle, peu élevée aux faits divers et n’abusant pas des mièvreries journalistiques débitées chaque jour à la télé ou à la radio, se maintenait informée par sa fidèle clientèle qui se croyait obligée de lui narrer dans le menu détail les événements de la veille dont elle n’avait rien à foutre ! Elle opinait du chef, les yeux dans le vague et le sourire entendu !

Ainsi, attablée dans ce ravissant salon de thé, elle pouvait maintenir aisément la discussion avec Corinne sans trop paraître ringarde ou atteinte par la maladie d’Alzheimer.

« Bah tu vois ma bichette, quand chaque jour j’entends ces peigne-culs de clients me seriner le mou avec les guerres dans le monde ou avec la dernière copine du Prince Charles, j’ai envie de leur hurler à la fiole que ça me fait autant d’effet qu’une gâterie offerte à un locataire du Quai de la Râpée ! C’est pas que j’aimerai pas que les guerres finissent, mais que veux tu ma petite, les hommes sont trop cons, quand ils ne pensent pas à grimper les greluches, ils se collent devant le petit écran pour regarder le sport, et quand ils ne sont pas devant les sport ils faut qu’ils se tapent sur la gueule ! »

« Tu pousses pas un peu trop mamie ? Car t’en as bien trouvé quelques uns qui n’étaient pas comme ça ! Tu généralise et ça va te mettre le cerveau à l’envers ! »

« C’est vrai qu’ils ne sont pas tous pareil, n’empêche, sonne le clairon et appelle aux armes avec une voix émue, tu verras arriver au grand galop des milliers de couillons près à se faire plomber pour une médaille, pour le pseudo honneur de la nation, par aversion envers cet étranger qui fait peur ! »

« Ben ! Mamie t’es pas patriote ? Pourtant pendant la seconde guerre mondiale tu t’es donnée pour la cause, non ? »

« Viens pas me la ramener avec ces enfantillages ! Je me suis faite berner comme les autres, ce qui ne veut pas dire que je regrette d’avoir participé dans le maquis à foutre les vert de gris dehors ! Enfin ce n’était pas tous les jours drôle pendant cette foutue guerre. Remarque on s’est marré aussi de temps en temps, sur le dos des allemands bien sûr, car on leur en a fait voir, faudra que je te raconte un jour ! »

Corinne aimait ces instants passés avec sa grand mère. Elle riait beaucoup et lorsqu’une petite perle pointait à l’œil de Lulu du fait d’un mauvais souvenir, Corinne embrassait sa grand mère ce qui lui faisait grand bien.

[dwarf23]

salut !

c quoi le concept de ce topic ??

[Stepquest]

Au départ avec Draco on avait eu l'idée d'un roman à posts pour créer avec l'ensemble des membres une histoire. Cela n'a pas marché mais nous avons sur ce forum écris "les dessous de la fédération", 200 pages de science fiction de dingue. Puis nous avons écris "la demeure de la verve" histoire de chevalerie. Enfin j'ai lancé cette histoire en homage à Michel AUDIARD et aux fameux Tontons flingueurs.

Voili - voilà !

[dwarf23]

ok !!
sympa kom principe !!!