54 réponses à ce sujet

[Stepquest]

Tiens Fab2 n'a pas encore lu !

[Stepquest]

Vacances,

Grand tu est de nous voir emporté
Vers les vacances, le repos mérité
Sans pitié, t’ayant fort chargé
Tu fit du trajet, un voyage enchanté

Les vides poches rassasiés,
Le coffre plein à déborder,
Et la banquette au trois quart occupée
Laissant peu d’espace à notre fille adorée.

Après révision faite, et pneus regonflés,
Carrosserie bien lavée, intérieur astiquée
Contrôle d’huile et niveau d’eau regardé,
Nous t’éveillons en début de matinée.

Sans fléchir à la tâche, sans rechigner,
Tu démarre, tu chantes sans t’égosiller,
Et après quelques minutes d’éternité
Tu est prêt sans défaillance à filer.

Et le ronronnement sous la musique diffusée,
Telle la voix grave d’un Merlin enchanté
Soutient de son rythme régulier
Le glissement des kilomètres avalés.

Premier arrêt en ton restau préféré,
Avec délicatesse je fait pénétré
Dans ton réservoir, la crosse d’acier
Afin de t’offrir pitance, de te rassasier.

Sur la place de parking, je t’ai déposé,
Sage mon grand, il faut te reposer
J’en profites, déguste un petit café,
Fais quelques pas dans les allées.

Puis le ruban défile, de paysages bordés,
La route sèche une peu léchée d’humidité
S’effiloche dans les régions plus vallonnées
Que l’aube découvre d’un soleil très léger.

Il faux penser enfin au petit déjeuner,
Toi sobre ne demande rien à manger.
Nous humbles mortels fatigués
Avons besoin de nous réconforter.

Tu attends, imperturbable, bien rangé
Que ta vie s’allume d’un coup de clé
Pour satisfaire pleinement ta voracité
De kilomètres faciles à dévorer.

Enfin en bout de bande nous voici arrivés.
Une place accessible pour te décharger,
Nous tournons, nous virons épuisés
Avant que l’une d’entre elles soit libérée.

Bras lourds d’une nuit de sommeil manqué
Il me faut les valises et sacs faire quitter
Le refuge emprunt de sécurité
Dont tu nous a gratifié.

Merci grand voyage aux compliments mérités
De ton souffle régulier, en ton espace douillet
Tu a parfaitement su valeureux destrier
Jusqu’en nos vacances nous mener.

Gentes Dames et Damoiseaux, on ne dira jamais assez
Que sans un complice robuste et autant affectionné
Volontaires en tous lieux, puissant à la tâche affectée
La vie ne serait pas ce qu’en de beaux moments elle est.

[naibaf]

ha quel poete ce duc !!!
a toi

[Stepquest]

Aller NAIBAF laches toi et compose à la Gloire d'Alfa ou de Romeo ! Tiens pour info, si tu sais qui a créé la marque Alfa Romeo cela me permettra d'agrémenter l'histoire de l'automobile.

[Stepquest]

Voilà quelques lignes pour fêter les congés et vous dire.......



Et si soleil d’été rimait avec éternité ?
N’était pas adepte d’heures allongé
Sur le sable à me faire griller,
Je usé le temps à me promener.

Loin des marmailles piaillantes
Des chiens gambadant dans le sable mouillé
Des huiles aux odeurs méchantes
Ointes sur les peaux burinées.

Je passais, d’une rue au quartier,
Dénichant une fontaine éructant son filet
Glissant sur le pavé d’une rue piétonne
Jetant des bouquets de regards aux petites mignonnes.

Oh ! non pas par salacité
Femmes jeunes ou d’age mûr
Œuvres de Dieu aux mains félicités
Attirent mes grands yeux passionnés.

Grands cocotiers ou palmiers dattiers
Qui portent maigres ombres aux sols surchauffés
Ne consolent pas la soif non étanchée
D’un marcheur égaré par tant de beautés.

J’ai croisé la sublime, une ancienne arrêtée
Une jolie Traction noire, silencieuse, esseulée
Avec délicatesse, l’ai effleurée,
En prenant bien soin de ne pas la blesser.

Sous le doux clip clap de l’eau sur les coques,
Un mât plus grand au léger balancé.
Je remarque le monstre, solide comme un roc
Qui côtoie frêles esquifs aux proues profilées.

Et cette cloche qui tinte au milieu des toitures
Point l’hideuse mélodie de la corne d’une voiture
Elle sonne l’heure du soleil qui traverse l’azure
Tel le triangle argent d’une légère voilure.

Viens au soleil couchant, le moment attendu
Au seuil d’une vitrine, sur la nappe tendue
Posé en cadeau près d’une carafe ventrue
Un verre de Pastis, aux glaçons bienvenus

Grignotant une olive marinée à souhait
Regard flottant sur la foule passagère
Je constate comme le dernier des benêt
Ah ! les vacances toute une vie entière !

Je dînerai ce soir d’anchoyade c’est promis.
Légumes frais, crus et joliment servis.
Et le bon rosé effacera les ennuis,
De l’année, cadeaux de Dame Vie.

N’est-il pas charmant enfin de constater
Après un bon repas, une balade amoureuse
Main dans la main, avec une mamie
Qu’on est jeune en esprit, et pourtant pépé.

Je pourrai sans efforts
En conter encore et encore
Mais qui de vous me suivra
Pour compléter ce discours là

Amis avec qui je communique
Loin de mon clavier en mes heures de congés
Jamais mes pensées ne vous quittent
Ni même mon amitié.

[Stepquest]

Que dire de toi, petit bout de message
Fabriqué d’un seul mot, ou de tout un verbiage
Tu colportes le savoir ou bien l’ignorance
Des propos à saisir, des inepties à outrance

J’aime tes nombreux accompagnateurs
Ces petits clips vifs, malins ou rageurs
Qui trépignent, dansent ou s’agitent
Qui nuancent les phrases qu’ils habitent

En maints sujets souvent abordés
Je reconnais la plume d’un habitué
D’un Draco, d’un Fab2, d’un Kiko
D’un Nitrous, d’un Nico.

Tu est le fertile lien – amitié
Du groupe solide d’initiés
Celui de la haine et de la rivalité
Bon ou mauvais, brin d’humanité.

Depuis le bureau ou la maison
Chacun de nous t’envoyons
Saisir l’écran nous t’invitons
Pour notre propre satisfaction

D’aucun te compte à foison
Cent, mille ou un million
Tu est image, abréviation
Long monologue de passion

Alors toi que certains disent
Court comme onomatopée
Soit fertile fleuve de pensées
Et continues de nous relier

Tu est colombe, espoir de liberté
Pour ceux qui parlent sans risquer
Les foudres sempiternelles de dame Justice
Pour un mot déplacé, une source de préjudice

Mais que ton auteur se méfie
Des affres sans fond de la vie
Les propos forts mal servis
Peuvent se retourner contre lui.

Heureusement, en règle générale
Tu n’es que drôleries, aides ou râles
Et je crois qu’en ses lieux
De nous cher Post, tu es un peu.

[burnout]

on s'étaient rencontré sur les bancs d'l'école
entre une heure de colle de maths ou d'espagnol
c'était une caisse fun, agile comme un joueur de football
avec des jantes alu, j'avais la gaule
j'lui promettait des course contre des Corvettes
pour l'instant en survêt, j'volait des mobylettes
mais entre nous c'était toujours complicité
escale sur un piédestal un rêve délimité
au carwashing je te nettoie les angles
la caisse et le bad boy, le triangle rectangle
c'est comme passer de mickael Jordan à mimi Matty
un vrai truc de ouf style pur clip de RnB
elle vit le grand amour, qui commence dans la cour
se poursuit dans les tours et rime toujours
mais cette voiture est plus fort que le concept
car si je prend les clés, je part avec
a croire qu'aujourd'hui s'arrêter était exclu
a plus de 300 je pourrai dire que g tout vu
je trafique des faux billets avec des réseaux slaves
exces de vitesse intense, en France c'est un délit grave
ambiance paranoïaque, l'équipe adverse traîne
des projectiles partent quand une BM freine
quand elle calle g les larmes aux yeux
deux balles de 22, Vingt-deux ans adieu.
Burnout vous a mis Knockout!

[Stepquest]

Style différent BURNOUT, mais qui ne demande qu'à être lu plusieurs fois et (Mais attention aux clins d'oeil délinquants..)

[Stepquest]

Dédié aux amis et parents qui ont eus un Flash dans leur vie !

Et toi l’immonde, la vile caisse grise
Aux accents de balance, relents de puanteur
Ton jeu de peste attisée s’électronise
Et matraque sans férir nos cœurs

Œil de lynx aux méchantes pensées
Tu regardes sans pitié nos vies défiler
Tu cadre, enregistre, compare et préviens
L’inutile bâton qui poursuit comme un chien

Volontiers excessive à ne point en douter
Tu catalogue en criminel l’homme un brin pressé
Même si de fort peu il a dépassé
La norme traîtresse de tes repères gravés.

Pourquoi tant de haine envers l’humanité
Serai-tu une espèce aux dents très effilées
Chienne du pouvoir, déesse d’un friqué
Qui veut gagner en parlant Sécurité.

Qu’on me l’amène ce gredin,
Ce miséreux à l’âme torturé
Je m’en vais avec force lui passer
L’envie d’emmerder son prochain.

Si Dieu, de son ciel pourpre avait une visée
Sur ses terres aux carcasses envahies
Alors mécontent, il se serait manifesté
Et d’un trait de lumière les aurait anéanties.

Mais voilà en ce monde déréglé
Où pousse le profit, mon cher ami
Compte sur ton porte monnaie
Si tu veux être bien servit.

Il ne sera pas dit pour ceux qui par la prune
Auront gâchés en partie leurs congés
Q’un STEPQUEST au clair de Lune
N’ait pas en tête quelques écrits.

Et si euros en nombre et points de permis
Sont arrachés par outrage au cœur d’un ami
Ma bourse vide, point d’ appuis permis
Mais à César un point dans la face, promis.

Alors me direz – vous, pourquoi faire un poème
En l’honneur d’une caisse de malices et de haine ?
C’est en l’horreur de ces traîtresses qui traînent
Leurs carcasses de métal, de verre blafard
Que je me soulage en pensant au radars.

[Stepquest]

Voilà bien des délires dont je n'avais souvenance et qui à relire m'emplissent de joie!!!

[Draco]

Tu avais oublié?!?

[Stepquest]

Oublié non, j'avais souvenance de ces joutes poétiques mais pas du détail de nos proses et cela me fait toujours autant marrer!

Ah que dire de ces nobles discours

Que l'un et l'autre lancions à tour de plume

Sans fin, sans loi et sans aucun détour

Tels des cris innocents susurrés sous la lune

[Carole]

Tu avais oublié?!?

Moi j’avais pas oubliéééé !!!!

[Stepquest]

Bah vouiiii Carole, mais toi tu es encore jeune (ça ne durera pas d'ailleurs), alors que moi je suis un ch'tit peu vieux, alors j'ai des absences!

[Carole]

Bah vouiiii Carole, mais toi tu es encore jeune (ça ne durera pas d'ailleurs), alors que moi je suis un ch'tit peu vieux, alors j'ai des absences!

Je suis au courant... merci !

Et puis d’ailleurs, je n'ai plus 20 ans...  

[Stepquest]

Parle plus fort, je n'entends pas bien!

[Stepquest]

La poésie peut être structurée en quatrains, en alexandrins en respectant le nombre de syllabes, les rimes, mais la poésie peut être toute autre...Chacun peut s'y essayer sans crainte et quand bien même des malfaisants tenteraient se moquer, il faut s'en moquer et continuer son chemin!

 

Alors allez-y

[Stepquest]

J'ai le souvenir d'envolées lyriques qui perso me faisaient mourir de rire! Et maintenant plus rien, pas la moindre petite salve moqueuse! Les bons moments se perdent alors pour le fun il va falloir que je m'y remette car peut-être que cela en amènera certains à ressortir de leur plumier la plume rageuse d’antan

[Carole]

Vas-y mon p’tit Duc ! Régale-nous !

[Stepquest]

Vas-y mon p’tit Duc ! Régale-nous !

Alors voilà...quel va être le sujet évoqué? Hum je ne sais pas trop, voyons....