687 réponses à ce sujet

[Crazytiti]

En plus ils osent parler des portugais. Je me marre!!!

Pendant qu'ils en étaient à se taper sur la gueule avec les anglais, les portugais ouvraient des voies maritimes de découvertes, d'ouverture d'esprit et de richesses!

D'invasion ouai ! De recherches d'enrichissement sur le dos de tribus qui n'avaient rien demandé !

[Stepquest]

Attention que le Dragon qui vole haut dans les cieux ne soit pas atteints par des râtés à l'allumage !

Histoire, histoire quand tu nous tient ! Que reste t il aujourd'hui des colonisations du passé ? Des peuples laissés à l'abandon et des colonisateurs qui ont perdus de leur puissance !

A Piri, Vasco et Christophe je salue la mémoire mais que savaient-ils des horreurs qu'allaient générer les suites de leurs voyages ?


Au moins nous les Français nous avons faits en sorte que les Anglais ne sortent jamais de leur ile! Salutaire, non ?

Pour l'invasion c'est nous qui aujourd'hui le sommes !

[Draco]

D'invasion ouai ! De recherches d'enrichissement sur le dos de tribus qui n'avaient rien demandé ! 

Ces "tribus", comme tu dis, étaient prospères sous l'ère portugaise. Malheureusement, l'entètement de Salazar à vouloir absolument les garder au lieu de les mettre sur la voie de la démocratie (comment pouvait-il le faire alors que c'était un faschiste) alors que la soif d'indépendance était croissante dans les colonies, les a conduit au malheur. Des pays comme le Mozambique ou l'Angola sont des pays riches en matières premières. Mais la guerre en a fait des pays très pauvres.

Maintenant, si tu regardes bien l'histoire, ce n'est que commerce (même si on parle parfois d'hommes car ils auraient été esclaves de toute façon sauf que dans une tribu africaine), qui, par endroits, s'est mué en allégence.
Ne compare pas Pedro Alvares Cabral à Pizarro.

Mais là n'est point le sujet du topic.

[Crazytiti]

Attention que le Dragon qui vole haut dans les cieux ne soit pas atteints par des râtés à l'allumage !

Histoire, histoire quand tu nous tient ! Que reste t il aujourd'hui des colonisations du passé ? Des peuples laissés à l'abandon et des colonisateurs qui ont perdus de leur puissance !

A Piri, Vasco et Christophe je salue la mémoire mais que savaient-ils des horreurs qu'allaient générer les suites de leurs voyages ?


Au moins nous les Français nous avons faits en sorte que les Anglais ne sortent jamais de leur ile! Salutaire, non ?

Pour l'invasion c'est nous qui aujourd'hui le sommes !

Oui bon là je relève pas, parceque ca pourrait déraper en humour raciste...

[Draco]

Attention que le Dragon qui vole haut dans les cieux ne soit pas atteints par des râtés à l'allumage !

Histoire, histoire quand tu nous tient ! Que reste t il aujourd'hui des colonisations du passé ? Des peuples laissés à l'abandon et des colonisateurs qui ont perdus de leur puissance !

A Piri, Vasco et Christophe je salue la mémoire mais que savaient-ils des horreurs qu'allaient générer les suites de leurs voyages ?


Au moins nous les Français nous avons faits en sorte que les Anglais ne sortent jamais de leur ile! Salutaire, non ?

Pour l'invasion c'est nous qui aujourd'hui le sommes !

Oui bon là je relève pas, parceque ca pourrait déraper en humour raciste...

Vous ne le savez même pas, mais notre armée est en terres gauloises: 800.000 unités!

[Carole]

Vous vous égarez mes amis...

[Crazytiti]

Vous vous égarez mes amis...

Bon aller ce soir en rentrant, je me concentre un peu et tenterai de vous sortir une petite prose, pour revenir dans le sujet...

[Carole]

Vous vous égarez mes amis...

Bon aller ce soir en rentrant, je me concentre un peu et tenterai de vous sortir une petite prose, pour revenir dans le sujet...

bien parlé

[Stepquest]

Mais non on se lache seulement !

[Crazytiti]

L'apprenti-chevalier, après une semaine de dur labeur à manier la lourde épée, avait demandé à son maître sa journée. Celui-ci, aussi enjoué de se reposer, accepta et lui donna.

C'est une magnifique journée qui s'annonce pensa alors l'apprenti chevalier qui prenait déjà les quelques rayons de soleil que la brume matinale filtrait. Il entreprit alors de se promener dans les contrées d'Autocadre pour rassasier ses yeux des merveilles de la Nature. Et il ne fût point déçu, hirondelles, et moineaux était là pour le spectacle. Agrémenter de mille et une senteurs fleuries qui bordaient les routes du domaine.

Il s'arrêta dans l'auberge retirée de sieur Fab2, qui lui fit encore preuve de son talent en lui servant un gibier rôti à l'instant sur ce magnifique feu de cheminée...
"Exquis !" lanca le jeune chevalier. Fab2, puit de sagesse culinaire n'en fut que ravi et flatté. Bien rassasié, l'apprenti chevalier salua une dernière fois son ami l'aubergiste et se lança de nouveau à la découverte des merveilles de dame Nature.

Après deux longues heures de marches alors que le soleil se faisait tapant, Le jeune chavalier aperçut venir vers lui un grand oiseau d'au moins un mètre d'envergure... Celui semblait se laisser doucement planer en direction du chevalier.
Ce dernier accusant l'ignorance de l'âge et un brin apeuré, sorti de son fourreau sa grande et belle épée. Fort heureusement, l'oiseau àdix mètres de lui, le brave petit chevalier reconnu le grand hiboux blanc, compagnon du Druide.

L'oiseau, si peu inquiété se posa sur son épée. Un peu ébêté le jeune chevalier lui demanda alors ce qu'il venait faire dans ces lointaines contrées ? L'oiseau pour seule réponse, pris dans son bec morceau de vêtement du chevalier et pris son vol tirant sur le chevalier.
Celui-ci comprit vite que le brave hiboux voulait l'entrainer dans un endroit précis. Et à l'idée qu'il pourrait enfin user de son savoir et se battre contre éventuel envahisseur, le chevalier se mit à courrir après le grand hiboux. Après 2 kms de course à travers sentiers sinueux, le chevalier vit l'oiseau disparaître soudainement. Il se demanda alors qu'est-ce que le sage oiseau voulait lui montrer. Puis il se souvenu de ce que son maître lui a enseigné : "Oui, il faut rêver, mais penses à revenir sur Terre parfois jeune chevalier". Le chevalier entreprit alors de sortir la tête des nuage et baissa alors les yeux ! Quelle ne fut pas sa surprise de voir là au bord du chemin abandonné un silhouette assise sur un bout de rocher.

Le jeune chevalier se pressa alors de s'approcher du vagabond. Il le salua et lui demanda ce qu'il faisait assis là. L'homme lui avoua qu'il ne savait pas, qu'il ne savait plus où il en était. Et s'appretait de fait à un geste malheureux et fort héritique en ces temps divins.

(bientôt la suite... à moins qu'un de mes sages amis ne s'enquit de l'écrire... ?)

[Draco]

Bien mon ami, bien! Continue!

[Crazytiti]

Bien mon ami, bien! Continue!

Mais je m'arrête là pour le moment car j'ai pas mal de travail qui commence à s'entasser Si je finit assez tôt je poste une suite ce soir...

[Crazytiti]

Le preux chevalier, bien embarassé, songea à ce qu'il allait pouvoir faire pour venir au secours de cet homme désespéré. On ne lui a appris qu'à être le plus fort, à manier l'épée et ne point faire dans la subtilité ; mais cette fois-ci il lui faudra être auto-didacte et apprendre à se modérer.

Il se posa donc à côté de l'homme, se lestant ainsi du poids de son armure. Le désespéré avait déjà réenfouit sa tête au creux de ses mains. Le jeune chevalier demanda alors à l'Homme :

" Mon brave, pourquoi tant de pleurs ?"

"Ne voyez-vous pas ? Ne voyez-vous pas que ma vie n'a plus de sens aucun sieur chevalier ?" répondit l'homme entre deux sanglots.

Et le chevalier de dire :"Mais, mon Brave, pourquoi n'auriez-vous point de but dans la vie ? N'avez-vous point de métier ? Point de femme ?"

"Mais monsieur, j'ai bien un métier, je suis menuisier. Mais ce qui était ma vie s'en est aller, et me l'a prit... ma femme m'a quitté, pour un manant de passage dans nos contrées sauvages... Ce mandarin me l'a volé, elle l'a suivie..." dit le brave homme.

"Mon brave, j'ai vécû pareille histoire il y a peu. Et je vais vous dire ce que mon Maître m'a lui-même dit. Vous savez, il faut relativiser, la vie n'est pas un long fleuve tranquille, et elle nous réserves parfois de bien mauvaises surprises... Mais ce n'est pas une raison pour se laisser aller ! Car au détail de nos chemins, on croise un jour où l'autre l'âme chartiable qui fera notre bonheur ! Alors retourner donc à votre atelier, continuer à nous fabriquer de si belle commmodes, puis fier de vous, aller vous rassasié à la taverne. Vous trouverez là plein de jolies femmes, et qui sait.. l'une d'entre elles sera peut-être la fameuse âme..." lui répondit l'apprenti chevalier fort peu mécontent de lui.

L'homme entreprit alrs de secher ses larmes d'un geste ample de la main et de dire : "Monsieur le chevalier, je ne sais comment vous remercier. Vous m'avez ouvert les yeux, vous avez raison ! Après tout, c'est la vie que me lance là un défi, je suis un Homme et doit le relever ! Un jour, elle me mettra moi, ma femme et mes enfants à l'abri. J'en suis sûr."

Le chevalier, sourire au coin des lèvres, invita le brave menuisier à revenir au village à ses côtés...

(la suite très bientôt. A moins que mon maître ou druide n'entreprend d'aposer sa plume pour continuer cette histoire... ?) LOL

[Stepquest]

Que nénie, ton histoire est bien partie, lache les vannes et nous verrons plus tard si en cette quête d'altruisme il est utilse d'entrer en scène. Encore Bravo !

[Carole]

« Je m’en allai dans les bois parce que je voulais vivre sans hâte.
Je voulais vivre intensément et sucer toute la moelle de la vie.
Mettre en déroute tout ce qui n’était pas la vie, pour ne pas découvrir, à l’heure de ma mort, que je n’avais pas vécu. »

H.D.THOREAU « Walden ou la vie dans les bois » (1854)

[Crazytiti]

Après une heure de marche, comme menaçant, le ciel s'assombrit. Le jeune chevalier, pourtant peu superstitieux, sentit ce soudain souffle comme un mauvais présage. Il commanda au menuisier d'hâter le pas. Cent mètres plus loins, soudainement, quattre hommes surgirent des bosquets, les encerclant. Pris au piège, main au fourreau, le chevalier, calma le menuisier, apeuré, et s'enquit de demander aux vagabonds ce qu'ils voulaient. Ceux-ci ne se firent pas priés et répondirent : " Votre or, votre armure, vos vêtements, tout !". Le chevalier, certes peu matérialiste, aurait pu accepter, toutefois, par fièreté, il s'y opposa ; et à quoi aurait servit l'enseignement de son maître si c'était pour se dénuder devant quattre misérables assaillant.

Il leur répondit :"Jamais ! Je connais du monde au village d'Autocadre et des plus haut placés ! Je vous conseille de passer votre chemin !"

Les vagabonds se mirent à rire aux éclats, et se jetèrent sur les deux hommes. Le chevalier d'un geste vif, projeta le menuisier derrière lui et sorti son épée du fourreau. En un temps record, il trancha la gorge du premier manant, qui dans un râle de pourceau mourru à même le sol. Il s'appretait à en faire autant du deuxième lorsque qu'il fut saisi à pleines mains par derrière. Un de ces traitres l'étranglait maintenant. Le chevalier réussi à se baisser et sorti de sa botte une dague à la lame fort aguisée qu'il planta à même le ventricule gauche de ce traitre. Les deux méréants restant ne se firent pas priés, ils 'enfuirent à pleine jambe !

Deux minutes s'écoulèrent le temps que le brave jeune chevalier reprisse sont souffle. Il se retrouna alors et ne vit pas le menuisier. Inquiet, il se mit à l'appeler, en vain. Mais il vit un bosquet à sa droite tremblotter. "Encore un mécréant ?" se demanda-t-il. Il approcha prudement et aperçu le menuisier, apeuré, recroquivillé sur lui-même.

Il le rassura et l'invita à se hâter de rentrer avant que d'autres vagabonds ne leur tombe dessus.

[suite bientôt... ]

[Draco]

Petite parenthèse dans la prose de notre apprentit chevalier.

Voir sans cesse briller le soleil
Te savourer comme une merveille
Comprendre pour quoi avec toi je suis heureux
Me noyer dans le bleu de tes yeux
Convoiter le ciel et les étoiles
Rester muet devant la plus belle toile
Qui mieux que moi
Pourrait te dire que je tiens à toi
Fermer les portes de notre demeure
Pour entendre à l’infini battre ton cœur
Sous des mots très forts faire vibrer ton corps
Jamais tu ne me dis que j’ai tord
Laisser venir à nous la mer
Pour sceller notre amour traverser le désert
Qui mieux que moi
Pourrait te dire que je tiens à toi
Etre assoiffé de ton désir
Pour me baigner dans le lac du plaisir
Te trouver endormie quand je rentre la nuit
Sans jamais faire de bruit
Avoir un amour immesurable à ton égard
Te voir arriver sur le quai de la gare
Qui mieux que moi
Pourrait te dire que je tiens à toi
Toujours recevoir le soleil en partage
Sous la pluie connaître l’orage
Tout partager avec passion
Sans jamais de désillusion
Vivre dans le pays de ta vie
Sans jamais goûter l’ennui
Qui mieux que moi
Pourrait te dire que je tiens à toi.

[Carole]

C'est super beau!!!

[Draco]

Un peu de sable dans les yeux
Et le regard qui vire au Nord.
Les blancs frimas de trop d’adieux
Qui fondent en larmes incolores.

Le feu qui gronde sous la peau
Le tintamarre du silence
Ne font pas taire le ruisseau
Du sang qui bat avec violence.

L’aube a blanchi les plis des draps
Ton oreiller glace ma joue
Si ton parfum est toujours là
N’est plus l’empreinte de ton cou.

[Carole]

Elle est partie? La vilaine!!!