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[Crazytiti]

Ceux qui sont jeunes de coeur n'hésitent pas à agir sur un coup de tête.
Tandis que ceux qui portent le poids de la tristesse sont parfois indécis.



Les paroles des dieux s'interprètent. Celles de l'homme s'écoutent.

[Draco]

Un chevalier ne jure que par les valeurs,
Son coeur ne connait que la vertu,
Son épée défend les démunis,
Son bras protège les faibles,
Sa bouche méprise le mensonge,
Sa colère déjoue les tours du malin.

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[Crazytiti]

Un chevalier ne jure que par les valeurs,
Son coeur ne connait que la vertu,
Son épée défend les démunis,
Son bras protège les faibles,
Sa bouche méprise le mensonge,
Sa colère déjoue les tours du malin.

expldr Comme dans un REVE !

[Draco]

expldr  Comme dans un REVE !

Non, ce n'est pas un rêve. C'est l'état d'esprit de l'Ordre de la Demeure de la Verve.

[Crazytiti]

expldr  Comme dans un REVE !

Non, ce n'est pas un rêve. C'est l'état d'esprit de l'Ordre de la Demeure de la Verve.

Oui ca reste semblable à un mythe.

Quand l'épée le chevalier brandit
C'est pour son Amour protéger
Car sa bien-aimée est toute sa vie.

[Crazytiti]

C'est quand son honneur est bafoué
Que surgit le chevalier
Et de son glaive il tue
Tout résidu de la rue.

[Draco]

On me crucifie et je dois être la croix et les clous.
On me trompe et je dois être le mensonge.
On m'incendie et je dois être l'enfer.
Je dois flatter et remercier chaque instant du temps.
Mon aliment est toute chose.
Le poids précis de l'univers, l'humiliation, la joie.
Je dois justifier ce qui me blesse.
Peut importe mon bonheur ou mon malheur.
Je suis le poete.



Vivre au fond des eaux, avec pour seul écho,
le chant des sirènes.
Caresser leur peau, sentir leurs écailles
Et leur chant qui tiraille.
Elles sont belles, elles sont belles quand elles chantent mais elles font mal.
Se laisser emporter par le courant, flotter au gré du vent
En écoutant le chant des sirènes, en écoutant leur chant.
Sentir l'eau qui ruissèle et qui s'échappe en murmurant
les échos de leur voix.
Les regarder se faufiler entre les galets
Et hors des flots les entendre respirer.
Les entendre chanter.
Puis quand la ,nuit tombe les voir s'en aller.
Disparaître dans l'air, évaporées.
Écouter la rivière pleurer leur absence.
Et le poids du silence.
Seul au fond de l'eau je coule et n'ai comme écho,
que le chant des oiseaux qui roucoulent.
Et aujourd'hui l'eau ruissèle le long de mes joues,
les perles qu'elles m'ont laissé me donnent le goût
D'un océan de peine.
L'écume se glisse au fond du cœur.
L'amertume de leur chant venu d'ailleurs.
Je nage dans mes eaux troubles, le vague à l'âme et avec le vague souvenir...
Du chant des sirènes.



Tu commences comme ça. Avec tout le monde.
Tu voyages comme ça. En croisant tout le monde.
Tu vieillis comme ça. En même temps que tout le monde.
Toute ta vie tu crois vivre avec tout le monde.
Mais tu es seul. Au milieu de tout le monde.

Juste dans ta tête. Tu es juste dans ta tête.
Ils vivent dans le bruit, ils vivent avec tout le monde.
Ils marchent du même pas, ils courent après les mêmes blondes.
Ils ont les mêmes rêves, les mêmes mots, les mêmes défauts...
Comme tout le monde.

Je choisi le silence pour mieux entendre.
Je choisi le silence pour mieux comprendre.
Alors SILENCE!!
Tu parles sans cesse, avec tout le monde.
Des mots qui n'ont aucun sens mais qui se fondent .
Tu attends que quelqu'un te réponde.
Et leurs réponses;, tu en fais quoi?
Leur malchance, leur bonheur, ça te fais quoi?
Est-ce que tout ça raisonne dans tes silences?

L'absence tombe comme ça. Sur tout le monde.
Tu as des amis, des connaissances, tu an as.
mais dans tes folies, dans tes jouissances tu es seul.

Je choisi le silence pour mieux entendre.
Je choisi le silence pour mieux comprendre.
Dans tes bonheurs, dans tes souffrances vient le silence.
Le silence dans toute sa puissance.
Alors SILENCE!!


Prends ton temps pour travailler,
c'est le prix du succès.

Prends ton temps pour réfléchir,
c'est la source de ta force.

Prends ton temps pour jouer,
c'estt le secret de la jeunesse.

Prends ton temps pour lire,
C'est la base du savoir.

Prends ton temps pour être amical,
c'est la porte du bonheur.

Preds ton temps pour rêver,
c'est le chemin qui mène aux étoiles.

Prends ton temps pour aimer,
c'est la véritable joie de vivre.

Prends ton temps pour être content,
c'est la musique de l'âme.



A quoi te sert ta colère
Si tu détruis les primevères
Fais en un cimeterre
pour combattre les enfers

A quoi te sert le sable
Que transporte les nuages
Si tu le transformes en béton
Cellant les portes des prisons

A quoi te sert d'hurler
Aux tempêtes apaisées
Les cyclones s 'aiguisent
l'oeil en frondes assassines

A quoi te sert d'haïr
ceux qui veulent aimer et dire
Aux rêves désespérés
Qu ils ne leur restent qu à partir

A quoi tout celà,
dis moi
peut bien servir
sinon à survivre?

J'aimerais
Ô ! j aimerais
rejoindre mon île
et m'y couler, tranquille
Ne plus voir
Ne plus savoir
Etre centenaire
Et me taire
Trembler de vagues souvenirs
Dans l'ébauche d'un sourire
Un lointain passé
Peu à peu oublié
Et dormir
Dormir

[Carole]

Waouuuuh!!!!!!!!

Alors là 1ère partie "On me crucifie [...] Du chant des sirènes" c'est digne d'un Arthur!!

Et le reste j'adore aussi tout simplement

[Draco]

Waouuuuh!!!!!!!! 

Alors là 1ère partie "On me crucifie [...] Du chant des sirènes" c'est digne d'un Arthur!! 

Et le reste j'adore aussi tout simplement 

Cadeau pour mon inspiratrice préférée:

Dessine-moi une caresse
Du bout des doigts
Teinté de gouttes de tendresse
Puis mélange le tout
Parfume-le d’amour
A l’adresse du cœur
Expédie le courrier.

Que m’importe les jours
S’il faut vivre sans toi
Que m’importe l’amour
Si ce n’est dans tes bras.

Mes nuits sont inutiles
Puisqu’au petit matin
Chaque rêve s’exile
Et me laisse orphelin.

Je n'ai pour armes que des mots
Que je déguise en poésie,
La larme vient toujours trop tôt
Quand se déchaînent les fusils.

Une dernière fois
Savourer un je t'aime,
Comme un mets délicat
Dégusté en Carême...




PS: "on me crucifie" n'est pas de moi mais je m'y reconnais par moments.

[Carole]

C'est tout mignon

[Carole]

C'est de qui?

[Draco]

C'est de qui?

Je sais pas. Je l'ai lu il y a quelque temps et ça m'est resté. ce ne sont peut-être pas les mots exacts mais, dans ce cas, j'y aurai apporté ma touche personnelle.

Ce matin j'ai le coeur un peu mélancolique,
Et dans ces moments je suis un peu prolifique,
Mes doigts glissent sur le clavier,
Pendant qu'à ma belle je ne cesse de penser.

Mais la vie a ses revers,
La route est parfois en dévers,
Et je pleure les larmes de mon coeur,
Espérant enfin trouver le bonheur.

[Carole]

En tout cas c'était beau et ce que tu viens d'écrire aussi

[Draco]

Sur le seuil de mon sommeil, je penserai à toi
Pour faire de mes rêves, un oasis de paix
Car chacun de tes mots, pose quelque part en moi
Des morceaux de bonheur comme un trésor caché
La douceur de la nuit recouvrira mon corps
D’un voile de soupirs échappés de mon cœur
La langue de la lune frôlera les rebords
Des persiennes fermées au monde extérieur

Lorsqu’à l’aube naissante, sortant de mon sommeil
Vers toi précipitamment, iront toutes mes pensées
Dans un écrin formé des rayons du soleil
Je glisserai mes rêves et les enfermerais

[Carole]

Et bé! La locomotive Draco est lancée plus rien ne peut l'arrêter

[Draco]

Aller, pour finir car j'ai du taf:


Ma lucidité s'effrite en bribes dérisoires
Evocation narquoise encrée dans ma mémoire
Qui s'enfuit à l'approche du soir
Dans les recoins de mon âme, où se joue mon histoire.

Les réminiscences du passé constituent mon grimoire
Dont le sens obscurci fusionne dans le vouloir-pouvoir
De mes désillusions aux spectres grimaçants,
Dans un déferlement de sentiments vexatoires.

Aux portes du sommeil, j'accepte d'estomper
Les images mots-roses de mon cœur ravagé
Qui sombre, épuisé, à l'aube du silence.

[Draco]

Réveil anxieux dans l’aube blême,
Mon cœur fou heurte en vain ma raison,
Tout me semble amer et dérisoire
Ce temps passé à courir en vain…

Matin chagrin…

Envie de rien, moments assassins,
C’est quoi la vie, sombre bourbier,
Dites-le moi si vous le savez…
Le ciel est gris et mon cœur aussi…

Journée folie…

Allons, ne gémis pas mon âme,
Prête-moi ton appui, aide-moi,
J’ai un coup de blues, tu me connais,
Juste un coup de blues, ça va passer…

Noires pensées…

Surgies des méandres de la nuit
Pour laisser au jour nouveau ce goût
Aigre-doux d’une mélancolie
Qui m’accompagne bien trop souvent…

Sombre moment…

Ce temps qui passe, je ne peux plus
Regarder en face l’avenir…
Ne plus penser, ne plus rien voir
Rêver, pleurer, oublier, dormir…

Ou bien mourir…

[Crazytiti]

Réveil anxieux dans l’aube blême,
Mon cœur fou heurte en vain ma raison,
Tout me semble amer et dérisoire
Ce temps passé à courir en vain…

Matin chagrin…

Envie de rien, moments assassins,
C’est quoi la vie, sombre bourbier,
Dites-le moi si vous le savez…
Le ciel est gris et mon cœur aussi…

Journée folie…

Allons, ne gémis pas mon âme,
Prête-moi ton appui, aide-moi,
J’ai un coup de blues, tu me connais,
Juste un coup de blues, ça va passer…

Noires pensées…

Surgies des méandres de la nuit
Pour laisser au jour nouveau ce goût
Aigre-doux d’une mélancolie
Qui m’accompagne bien trop souvent…

Sombre moment…

Ce temps qui passe, je ne peux plus
Regarder en face l’avenir…
Ne plus penser, ne plus rien voir
Rêver, pleurer, oublier, dormir…

Ou bien mourir…

C'est beau, très rythmé, ca donne envie d'y mettre un air... Ca pourrait faire une très belle chanson je pense...

[Carole]

Mon Draco toujours autant inspiré...

[Draco]

Une lampe luit doucement....

Sa lueur se dessine sur mon oeil
Persistante au côté droit
Elle appelle mon regard par l'oblique
Qui captif dérive en biais...

Et dans la lumière diffuse d'orangé mêlé de rouge
Mon esprit comme un matelot épris de voyages
Dans un frêle esquif timide glisse sur ta chevelure fauve
Par-delà les vagues aux arômes enivrants de ta belle crinière.

Et bravant la lune rousse perchée comme une gemme d'hiver
Qui capture les coeurs, les prend dans des glaces ardentes
Mon navire grelottant accoste sur ta peau claire
Pure comme le gelée blanche et brûlante comme mon désir...

Et tandis que j'explore chacune de tes fraîches corolles
Pétales précieux de ce corps aigre doux qui exale
Ce parfum exaltant dont je suis tributaire
Ton coeur m'ouvre, m'épanouit... et m'enflamme.