Amis de la prose, bonsoir.
#281
Posté 29 August 2005 - 01:00
2 soirs de fetes, on se la donne.
apres une nuit bien bourré,
au reveil, la memoire effacé,
je me retrouve a l'hopital !!
ké passa ? je comprend kedal !!
2 arcades pété !!
1 oeil bien gonflé !!
###### de ###### !
jme suis fai dérouillé !!
10 point de sutures,
1er souvenir.
le plus dur,
6 heure apres, en Espagne, je devai partir...
villa a 6, grand luxe, piscine,
lunette fashion sur le nez
represent les Yvelines,
on est la pour s'éclater !!
tout bronzé, le soir en boite tout éclaté,
kelke recalle mais aussi des pelles roulées.
mais le mieux c'est qu'une relation est née,
le burnout est tout chamboulé, envouté.
je vais peut etre retrouver la sensation d'aimer
grace a cette filleque j'ai rencontré...
#282
Posté 29 August 2005 - 07:44
mais le mieux c'est qu'une relation est née,
le burnout est tout chamboulé, envouté.
je vais peut etre retrouver la sensation d'aimer
grace a cette filleque j'ai rencontré...
Félicitations!!!!!!!!!!!
#283
Posté 29 August 2005 - 12:22
#284
Posté 30 August 2005 - 16:38
La nuit était noire
La lune était blanche
Nous étions seuls
Elle et moi
Sa peau si douce
Ses yeux si bleus
Je savais ce qu'elle
Attendait de moi
Je lui dis de se calmer
De ne pas se rebeller
Je fis courir ma main
Doucement sur ses reins
Je n'y connaissais rien
Mais je fis de mon mieux
Pour placer mes doigts
Délicatement entre ses seins
Je me souviens de ma peur
De l'excitation de mon coeur
Jusqu'à ce moment béni
Où ma honte s'enfuit
Après quelques Hisse et Han
Il ne fallut pas longtemps
Pour qu'en un jet puissant
Jaillisse le liquide blanc
Enfin j'avais réussi
J'étais un homme a présent
C'était la toute première fois cet automne...
Que je trayais une vache Bretonne
#285
Posté 31 August 2005 - 12:17
#286
Posté 31 August 2005 - 14:41
Croise mon regard douloureux
Bouge, danse et brille davantage
Dresse en ma vie mille ravages
Tant de dédain me brûle le cœur
Tant de silence attise ma peur
Mes pensées se perdent dans ton infini
Mes yeux pleuvent chaque nuit
Pourquoi te caches tu sournoise
En un jour assombri, plus gris qu’ardoise
Derrière un puissant Soleil heureux
Diurne de t’évincer de nos cieux
Grain infime de poussière volatile
Rejet bing - banguesque subtile
Voltige en ta fine lumière
Comme souffles éphémères
Ronde comme miche de pain
Ou portion comme croissant au petit matin
Je t’aime Lune comme tu ne le sais
Simplement pour ce que tu est
#287
Posté 31 August 2005 - 15:38
Lune rousse aux accents de feu
Croise mon regard douloureux
Bouge, danse et brille davantage
Dresse en ma vie mille ravages
Tant de dédain me brûle le cœur
Tant de silence attise ma peur
Mes pensées se perdent dans ton infini
Mes yeux pleuvent chaque nuit
Pourquoi te caches tu sournoise
En un jour assombri, plus gris qu’ardoise
Derrière un puissant Soleil heureux
Diurne de t’évincer de nos cieux
Grain infime de poussière volatile
Rejet bing - banguesque subtile
Voltige en ta fine lumière
Comme souffles éphémères
Ronde comme miche de pain
Ou portion comme croissant au petit matin
Je t’aime Lune comme tu ne le sais
Simplement pour ce que tu est
ben dit donc, c'est drôlement beau!!
j'aimerai bien être une lune moi, pour inspirer autant les hommes
#288
Posté 31 August 2005 - 16:03
#289
Posté 06 September 2005 - 15:40
Un cliché est passé à la postérité,
Quand elle a emmêlé ses doigts aux miens,
Posé sa tête sur mon épaule de lycéen.
En cachette elle se fardait.
Sa robe moulait ses formes élancées,
Soulignant la rondeur de ses seins,
La ligne de son galbe féminin.
Avec la plus douce complicité,
J’admirais son profil de camée.
On nous avait cherché mais en vain,
Ce jour là, mais qui s’en souviens !
Elle et moi à dire la vérité,
Dans nos veines venaient de couler,
La volupté, ce doux venin.
J’avais sondé son cœur et ses reins.
On avait même juré craché,
Promis de s’aimer à perpétuité,
De chasser les regards malsains.
La nature et le ciel en sont témoins !
Aujourd’hui je regarde ce cliché,
Je repense à tous nos projets.
Cet Amour d’été est bien loin,
Mes yeux se mouillent de chagrin...
#290
Posté 06 September 2005 - 15:42
#291
Posté 08 September 2005 - 08:56
Dans la plainte du jour,
Ma mémoire devient grise
Et sombre, tour à tour,
Dans le puits du silence
Et de la solitude ;
Elle reprend son errance
Parmi la multitude.
Quand le rêve s'évanouit,
Au tout petit matin,
Mon étoile pâlit
Et tout à coup s'éteint.
Quand le souffle du vent
Etreint tous les désirs,
La gomme lisse du temps
Efface les souvenirs.
Adieu.
#292
Posté 08 September 2005 - 10:21
Je suis triste, je ne trouve pas de mots assez fort pas hurler ma déception, mais que s'est-il passé? De prendre des responsabilités peut nuir à l'amitié?
Je ne sais plus quoi penser, je me sens perdu car cette toile en qui je n'ai jamais donné ma confiance, m'a tout de même donné des Amis d'une grande sincérité.
Bon de ce pas, je retourne vers ma compta, avec une grande incompréhension et une immense déception.
Fab2 (dans l'autre sens on peut lire BAF, j'en ai pris quelques unes ces derniers temps!)
#293
Posté 08 September 2005 - 10:36
Lorsque Draco s'en est allé.
Par la proésie nous étions liés,
De ce fourum il m'a alliéné.
Ici tout est simple et clair,
Rien ne fait obstacle à nos délire.
Personne ne nous empêche d'écrire,
Le monde entier ne peut nous faire taire.
Les Amis d'ici nous procure joie,
Bonheur de vivre, et franche rigolade.
Quand j'y pense ça me rend malade,
Une grande douleur, j'en ai perdu la foi.
Ici j'avais trouvé de quoi m'occuper,
Des avis, des conseils, puis l'Amour.
Aujourd'hui rien n'est à regretter,
Seul le départ de Draco est pour moi trop loud.
Ne vous y trompez pas, ce n'est pas une plainte,
Il s'agit de rendre hommage à un ami.
Je le considère comme tel et vous remercie
De ne pas juger mon ecrit ou ma complainte.
Doutez que le soleil n'accomplisse son tour,
Doutez que la vérité ne soit menteuse infâme,
Mais ne doutez jamais de mon amour.
#295
Posté 09 September 2005 - 14:52
#296
Posté 09 September 2005 - 14:58
#297
Posté 09 September 2005 - 15:15
Cela m'est insuportable
Je suis malade a en mourir de toi
De te voir si proche et si loin en meme temps
Le soleil est inerte et tombe dans les bras
d'un monde sans sourirs, sans amour et sans loi
Le culte de la femme que l'homme voue prend forme dans tes bras
Depuis toujours,mon coeur ne bat que pour toi
Les marques de nos souffrance s'efface comme la memoire de nos anciens
Cette douleur qui m'envahi avec les secondes,ne sont que la crainte
Que ton amour pour moi s'affaiblisse tel une mer qui use les roches
Cela serait la faille qui a egloutis ce monde d'altantis
Ou les hommes et les femmes etait heureux ou la perfide du malin
N'y avait pas monaie courante
#299
Posté 09 September 2005 - 17:31
Ne laissez pas perdurer, ce terrible goût amer
Qu'il fut un temps ou l'amitié était reine
Par des chemins mal indiqués, elle n'est devenue plus que peine
Il arrive parfois que la vie vous désoblige
Par des mots prononcés, ou une parole futile
L'incomprit se retranche et dérobe sa colère
Pour le bien de la communauté, sa douleur, il fait taire
Mais , un jour pourtant, il faut bien déverser
Le terrible souffle noir qui nous empoisonne et nous mine
Laissez donc cet insidieu ressentiment s'envoler
Que ressussite, en ces pages la douce joie enfantine
Votre histoire est vôtre et votre vie vous appartiens
Ici nous ne sommes, en fait que des numéros IP en haut d'une page
Echangeant sans trop de retenue nos histoires et notre quotidien
Elevés, dans notre âme , projetés dans la lumière par la parole d'un sage
Redressons-nous, mes fréres et mes soeurs
Car bien d'autres difficultés, nous avons vaincu ensembles ici
Gardons toujours, en nous, bien blottie sur le coeur
La chaleur donnée et reçue, des IP anonymes qui font pourtant partis de nos vies.
#300
Posté 28 September 2005 - 15:15
Ce qui est fait est fait
Faut-il que la réalité soit belle
Faut-il qu’elle m’ensorcelle
Faut-il que je m’habille
De feuilles et de buissons
De roses et de coton
De lumière et de parures
Faut-il que l’églantier
Se transforme en douceur
Et que l’aubépine
Me ravive le cœur
Lumière sur les maux
Vitrifiés de terreur
Rideau sur les mots
Purifiés de douleur
Tout est dit
Rien à faire
Tout à dire
Ou se taire
Mais l’oiseau se colle à la fenêtre
Rien que pour moi
Chante à tue tête
Rien que pour moi
Se fait poète
Rien que pour moi
Déploie ses ailes
Rien que pour moi
Que faut-il ajouter
A cela
Serai-je effronté
Pour cela
Devrai je m’en remettre
A cela
Candeur et émergence
Me déchirent les mots
Douceur et transparence
Me lacèrent la peau
Douleur et variance
Exultent mes maux
Car un ami je ne vois plus
Juste le mirage d'une présence
L'affaire serait-elle entendue
Je ne sens plus sa présence
En écrivant je suis ému
J'ai besoin de sa constance
L'avez-vous vu, croisé?
L'absence du médiateur des anges et démons me pèse...
Je plaide coupable... J'attends la sentence...
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