Amis de la prose, bonsoir.
#201
Posté 25 March 2005 - 16:46
Amur, amur
En une nuit torride tout de corps mêlés
Savez vous qu’en émois je m’étais envolé
Caressant la soie de son être essoufflé
Croisant en son regard, ça est sûr, félicité
L’amur que j’avais fais à cette jolie fée
L’amur y’à que ça de vrai, elle m’avait envoyé
Et nos corps chauds de suées, ivres de bonheur
Faisaient vibrer toutes les fibres de nos cœurs
Aï ! Aï ! Aï ! Ma mère, ton fils est exténué
Car si folle nuit le trouble, purée !
Et la pétite flur comme le Popek dirait
J’ai l’avais cueillus d’un seul trait
Mais présentement, au fond de ta rivière
Puissant caméléon je m’abreuve d’éphémère
Lissant ton corps d’albâtre sous le lumière légère
Je te présente ma belle feu de rayon laser
Ma ! et si le grandioso, l’ultima soupir
S’élève de tes lèvres en volutes de plaisirs
Je donnerai ma Fiat, mon Alfa Romeo
Pour un baiser de toi, pour sentir ta peau
Ah que l’amur c’est bon, Ah que l’amur c’est beau
Ah que l’amur c’est beau, Ah que l’amur c’est bon
Et si même à l’envers c’est toujours aussi beau
C’est qu’à l’endroit c’est toujours aussi bon
Comme diraient La Palisse et le Marquis de Sade
Rien ne sert de se faire mal quand on peu se faire du bien
Un mur, notez La Palisse – Sade, bâtit autour de nos biens
Garantit notre amour d’un effet de passade
Et oui le Duc est fou et la tête il perds
Par fol amour en deux yeux trop verts
Par un touché délicat et fugace
Il se jète éperdu dans sa nasse
Fichtre donc, damned et enfer et ratatouille
Vous pensiez grands cochons vilaine rime en ouille
Mais le Duc est grand et il ne peut pas faire
Un mot même petit mettant gazelles en colère
Voilà parlant d’amur d’une façon singulière
Je me lâche en âneries, pourtant il faut le faire
Ne croyez pas mesdames que je ne prenne au sérieux
Les courbes de vos reins et l’éclat de vos yeux
Et pouette pouette !
Ah ! je n’avais point remarqué que rime avec pouette pouette
Le doux, le radieux et splendide pseudo de Zhornnette
Comment ne pas conter à la belle galinette
Tendresse et espiègles galipettes
Il eu fallut choisir en guise de compliments
Bouquets fleuris de tendres sentiments
Amur, tujur quand tu nous tiens
Tamise nos vie de poudre de magicien
Et selon Confucius, pas si fucius que ça
Ne pensez pas par là qu’idiot je le dise là
La femme nue caressante et aimante
N’est pas seulement jolie, elle devient charmante
Comment cueillir sans émotions, poils au menton
Celle qui enchante nos nuitées, poils au nez
Et donne à nos vies de bougons, poils au petons
Chaleur et complicité, poils aux doigts de pieds
Il faut que je trouve encore une rime en « i »
Afin de placer, subtile poils au kiki
Et si dans un trouble certain vous ne me pardonner
Je m’en vais de se pas me jeter de mon clavier
Ah, oui Mesdames, Ah ! oui Messieurs
Ah ! oui Messieurs, Ah, oui Mesdames
Ca marche aussi comme ça, j’en suis radieux
Et si maintenant je mangeais un banane !
Car aimer n’a pas de style, le dire non plus
Certains mort de rire, d’autres auront chus
Pensant que Druide s’en va plein pot du caberlot
Rejoindre la folie à grands coup de jeux de mots
#202
Posté 25 March 2005 - 16:49
Le voici en totalité, c'est plus rigolo !
Amur, amur
En une nuit torride tout de corps mêlés
Savez vous qu’en émois je m’étais envolé
Caressant la soie de son être essoufflé
Croisant en son regard, ça est sûr, félicité
L’amur que j’avais fais à cette jolie fée
L’amur y’à que ça de vrai, elle m’avait envoyé
Et nos corps chauds de suées, ivres de bonheur
Faisaient vibrer toutes les fibres de nos cœurs
Aï ! Aï ! Aï ! Ma mère, ton fils est exténué
Car si folle nuit le trouble, purée !
Et la pétite flur comme le Popek dirait
J’ai l’avais cueillus d’un seul trait
Mais présentement, au fond de ta rivière
Puissant caméléon je m’abreuve d’éphémère
Lissant ton corps d’albâtre sous le lumière légère
Je te présente ma belle feu de rayon laser
Ma ! et si le grandioso, l’ultima soupir
S’élève de tes lèvres en volutes de plaisirs
Je donnerai ma Fiat, mon Alfa Romeo
Pour un baiser de toi, pour sentir ta peau
Ah que l’amur c’est bon, Ah que l’amur c’est beau
Ah que l’amur c’est beau, Ah que l’amur c’est bon
Et si même à l’envers c’est toujours aussi beau
C’est qu’à l’endroit c’est toujours aussi bon
Comme diraient La Palisse et le Marquis de Sade
Rien ne sert de se faire mal quand on peu se faire du bien
Un mur, notez La Palisse – Sade, bâtit autour de nos biens
Garantit notre amour d’un effet de passade
Et oui le Duc est fou et la tête il perds
Par fol amour en deux yeux trop verts
Par un touché délicat et fugace
Il se jète éperdu dans sa nasse
Fichtre donc, damned et enfer et ratatouille
Vous pensiez grands cochons vilaine rime en ouille
Mais le Duc est grand et il ne peut pas faire
Un mot même petit mettant gazelles en colère
Voilà parlant d’amur d’une façon singulière
Je me lâche en âneries, pourtant il faut le faire
Ne croyez pas mesdames que je ne prenne au sérieux
Les courbes de vos reins et l’éclat de vos yeux
Et pouette pouette !
Ah ! je n’avais point remarqué que rime avec pouette pouette
Le doux, le radieux et splendide pseudo de Zhornnette
Comment ne pas conter à la belle galinette
Tendresse et espiègles galipettes
Il eu fallut choisir en guise de compliments
Bouquets fleuris de tendres sentiments
Amur, tujur quand tu nous tiens
Tamise nos vie de poudre de magicien
Et selon Confucius, pas si fucius que ça
Ne pensez pas par là qu’idiot je le dise là
La femme nue caressante et aimante
N’est pas seulement jolie, elle devient charmante
Comment cueillir sans émotions, poils au menton
Celle qui enchante nos nuitées, poils au nez
Et donne à nos vies de bougons, poils au petons
Chaleur et complicité, poils aux doigts de pieds
Il faut que je trouve encore une rime en « i »
Afin de placer, subtile poils au kiki
Et si dans un trouble certain vous ne me pardonner
Je m’en vais de se pas me jeter de mon clavier
Ah, oui Mesdames, Ah ! oui Messieurs
Ah ! oui Messieurs, Ah, oui Mesdames
Ca marche aussi comme ça, j’en suis radieux
Et si maintenant je mangeais un banane !
Car aimer n’a pas de style, le dire non plus
Certains mort de rire, d’autres auront chus
Pensant que Druide s’en va plein pot du caberlot
Rejoindre la folie à grands coup de jeux de mots
#205
Posté 28 March 2005 - 23:53
Alors qu’une grande bataille venait de faire rage, le jeune chevalier Draco monta sur la colline d’où les généraux avaient commandé les troupes qui venaient de s’entre-tuer.
Le spectacle qui se présentait à lui, vision d’enfer, le laissa mélancolique.
Assis, il sortit de sous son plastron, parchemin, encre et belle plume d’oie.
Ce qu’il écrivit ? Voici donc le contenu de sa lettre.
"Gente dame,
Je fais un vœu sous les nuages du crépuscule, celui que ma missive arrive à destination sans incidents. Si je pouvais déployer les ailes du dragon, je volerais vers vous immédiatement.
La douleur d’être né et l’écoulement des jours, des nuits, se changent en vision dans la profondeur de vos yeux.
Je reste sur cette colline où la brise est rafraîchissante et, lorsque je ferme les yeux, je nous vois, nous précipitant l’un vers l’autre. Nous tenons compte de nos erreurs et, en retenant notre souffle, nous redescendons doucement, tendrement sur terre. Nous avançons lentement l’un vers l’autre, sans nous poser de questions, jusqu’à nous toucher l’un l’autre, afin de découvrir la douceur…
La bataille en ces lieux fit rage. En voyant tous ces soldats morts sans même savoir la raison de tel conflit, en regardant mon épée tachée de leur sang, je me demande que suis-je réellement. Que puis-je faire pour que soit enfin possible en ce bas monde cet étroit jardin qu’est l’Eden. Que puis-je faire pour en tenir la réalité ? Je n’ai même pas vécu la moitié de ma vie alors que je m’oppose aux uns et embrasse les autres. Beaucoup d’expériences ont été inconsciemment tatouées en moi. Quand j’étais en danger, on a voulu empêché mon bras de juger.
J’ai pu voir d’où je venais pour la première fois, d’un champ plus vaste, plus profond, quelque part d’une étendue, ce monde qu’on ne peut prédire qui nous guide, cela m’appelle encore… Je veux en savoir plus sur moi.
Ma dame, je tenais à vous dire que, si je tiens encore debout en ce jour, c’est bien grâce à vous. J’ai puisé la force de lever mon épée et mon bouclier, encore et encore, des heures durant, dans cet espoir que vous puissiez porter un amour pur pour ma personne.
Mais ma vie n’est point simple, et le mot « compliquée » serait un doux euphémisme.
Laissez vos illusions derrière le ciel immense, éclairez et projetez-les sur mes yeux cachés.
Chaque jour je parcours cette route, au-delà de ce décor de rue qui ne change jamais.
Ce ciel bleu débordant, ce monde sans limite et tout ce qu’il contient, je pense pouvoir les modifier entièrement de mes propres mains.
Partons retrouver ce rêve que nous dessinions étant jeunes, sentez cette chaleur qui s’échappe de votre cœur. Notre destination finale sera un futur que tout le monde pourra savourer
Maintenant, ma dame, précipitons-nous vers ce lendemain qu’il nous faut encore découvrir.
Je me dois de vous laisser. Les renforts ennemis ont fait leur apparition au loin et les généraux ne vont pas tarder à sonner la charge.
En espérant bientôt vous revoir au bal du roi.
Votre humble serviteur,
Draco, chevalier du Dragon, de l’Ordre de la Demeure de la Verve."
Comme l'avait souhaité mon ancêtre, la missive arrivat à detination... mais seule.
#206
Posté 29 March 2005 - 08:01
#207
Posté 29 March 2005 - 08:02
Puis ça m'a fait penser à autre chose. On aurait pu croire que cette lumière que je distinguais au-delà des nuages était en fait la lumière d'un soleil qui n'était pas le nôtre, d'un soleil inconnu. A ce moment là, je me suis sentie toute petite sous cette voûte nuageuse. Comme si j'étais écrasée par elle, étouffée et comme si ma vie elle-même était écrasée, étouffée, réduite à néant. Comme si elle n'avait pas d'intérêt. Et pourtant non! j'aime ma vie, j'aime ce qui compose ma vie et ceux qui composent ma vie. Et là, j'ai envie de "hurler mon YAWP barbare sur tous les toits du monde" (Walt Whitman) --> cf Le Cercle des Poètes Disparus pour les fans, pour les autres tant pis
CARPE DIEM
#208
Posté 29 March 2005 - 13:24
Comme une chanson cristalline, le petit air aérien de chaque jour.
Lorsque les choses minuscules du quotidien sont devenues si dérisoires
J’ai une pensée d’amour pour toi, chaque jour…
Les temps sont durs car trop de temps
J’attends ce bus qui ne vient pas
Dans la rue, un sourire d’enfant
Plus de printemps, je n’en veux pas…
J’ai une pensée d’amour pour toi
Sur la table, ta boîte à musique, chaque jour…
J’ai une pensée d’amour pour toi
Plus de regrets, plus de mélancolie, comme une chanson cristalline
Je vois le bus qui arrive, tu me souris, enfin j’arrive
Mais tout ce temps je n’en veux pas
J’ai une pensée d’amour pour toi
Chaque jour…
Chaque jour…
#209
Posté 29 March 2005 - 13:28
#210
Posté 29 March 2005 - 15:31
quand l'homme devient poème
quand l'homme devient comme l'échange subtil d'un sourir
je me noie de silences sans jamais oser te retenir
sur le visage si rude d'un homme, le sourir d'un enfant
mon ame se reveille et je reve d'une nuit sans fin ni commancement
quand l'homme devient comme une douce promesse
mon corp en éveil se delecte d'une chaude caresse
parcours de tes mains les contours de mon etre
comme une plume légère dans la main d'un prophete
quand l'homme devient comme la chaleur de la passion
efface en douceur les contours de la raison
la chaleur humide d'une chaude nuit d'été
je m'offre à toi corps et âme pour l'éternité
quand l'homme devient la rassurante image d'un père
penses tu vraiment que cet enfant soit le signe du bonheur
si petit, si fragile il ne peu encore exprimer le gout amer
d'une idyle si promèteuse qui maintenant se meurt
quand l'homme devient comme l'insipide gout du doute
mon existance est-elle arrivée à ce point que je redoute
juste un bon moment passé sans lendemain
juste une flamme éteinte par la rosée du matin
quand l'homme devient aussi fort qu'une innatendue colère
brise d'un seul coup de revers ce magnifique univers
mon coeur perdu dans les couloirs de l'enfer
pleure et saigne sans fin à cet amour ephémère
quand l'homme devient aussi douloureu que le mot abandon
comment n'ais-je pas vue ce que pour toi voulait dire passion
un petit morceau de vie à jamais oublié
et déjà, loin d'ici, un nouveau sourir echangé
quand l'homme devient comme le signe d'une renaissance
je m'approche doucement, mais avec prudence
je suis prete à me laisser de nouveau concquerir
mais cette fois, je ferai attention de ne pas totalement m'offir
#213
Posté 29 March 2005 - 15:58
je dedie ce petit poème à vous messieurs
quand l'homme devient poème
quand l'homme devient comme l'échange subtil d'un sourir
je me noie de silences sans jamais oser te retenir
sur le visage si rude d'un homme, le sourir d'un enfant
mon ame se reveille et je reve d'une nuit sans fin ni commancement
quand l'homme devient comme une douce promesse
mon corp en éveil se delecte d'une chaude caresse
parcours de tes mains les contours de mon etre
comme une plume légère dans la main d'un prophete
quand l'homme devient comme la chaleur de la passion
efface en douceur les contours de la raison
la chaleur humide d'une chaude nuit d'été
je m'offre à toi corps et âme pour l'éternité
quand l'homme devient la rassurante image d'un père
penses tu vraiment que cet enfant soit le signe du bonheur
si petit, si fragile il ne peu encore exprimer le gout amer
d'une idyle si promèteuse qui maintenant se meurt
quand l'homme devient comme l'insipide gout du doute
mon existance est-elle arrivée à ce point que je redoute
juste un bon moment passé sans lendemain
juste une flamme éteinte par la rosée du matin
quand l'homme devient aussi fort qu'une innatendue colère
brise d'un seul coup de revers ce magnifique univers
mon coeur perdu dans les couloirs de l'enfer
pleure et saigne sans fin à cet amour ephémère
quand l'homme devient aussi douloureu que le mot abandon
comment n'ais-je pas vue ce que pour toi voulait dire passion
un petit morceau de vie à jamais oublié
et déjà, loin d'ici, un nouveau sourir echangé
quand l'homme devient comme le signe d'une renaissance
je m'approche doucement, mais avec prudence
je suis prete à me laisser de nouveau concquerir
mais cette fois, je ferai attention de ne pas totalement m'offir
Zhornnette ! Ton poème vaut largement, surpasse est le mot, la plupart des textes qu'on trouve dans bien des chansons actuelles ou pasées!
Fils de calçon !
#214
Posté 29 March 2005 - 16:21
je dedie ce petit poème à vous messieurs
quand l'homme devient poème
quand l'homme devient comme l'échange subtil d'un sourir
je me noie de silences sans jamais oser te retenir
sur le visage si rude d'un homme, le sourir d'un enfant
mon ame se reveille et je reve d'une nuit sans fin ni commancement
quand l'homme devient comme une douce promesse
mon corp en éveil se delecte d'une chaude caresse
parcours de tes mains les contours de mon etre
comme une plume légère dans la main d'un prophete
quand l'homme devient comme la chaleur de la passion
efface en douceur les contours de la raison
la chaleur humide d'une chaude nuit d'été
je m'offre à toi corps et âme pour l'éternité
quand l'homme devient la rassurante image d'un père
penses tu vraiment que cet enfant soit le signe du bonheur
si petit, si fragile il ne peu encore exprimer le gout amer
d'une idyle si promèteuse qui maintenant se meurt
quand l'homme devient comme l'insipide gout du doute
mon existance est-elle arrivée à ce point que je redoute
juste un bon moment passé sans lendemain
juste une flamme éteinte par la rosée du matin
quand l'homme devient aussi fort qu'une innatendue colère
brise d'un seul coup de revers ce magnifique univers
mon coeur perdu dans les couloirs de l'enfer
pleure et saigne sans fin à cet amour ephémère
quand l'homme devient aussi douloureu que le mot abandon
comment n'ais-je pas vue ce que pour toi voulait dire passion
un petit morceau de vie à jamais oublié
et déjà, loin d'ici, un nouveau sourir echangé
quand l'homme devient comme le signe d'une renaissance
je m'approche doucement, mais avec prudence
je suis prete à me laisser de nouveau concquerir
mais cette fois, je ferai attention de ne pas totalement m'offir
Zhornnette ! Ton poème vaut largement, surpasse est le mot, la plupart des textes qu'on trouve dans bien des chansons actuelles ou pasées!
Fils de calçon !
je vous remercie, messieurs je suis heureuse de vous avoir touchée et vous remercie pour vos compliments qui venant de virtuoses comme vous me touche profondément
#216
Posté 29 March 2005 - 16:42
Virtuose, virtuose... ce n'est pas parce qu'on arrive à aligner quelques mots à la suite que l'on devient virtuose!
Il est parcontre vrai que j'ai plus de facilité à écrire mes sentiments qu'à les dire.
je connais très peu de gens qui sont capables de transformer une pensée en mot, sache que ce n'est pas donner à tout le monde alors pas de modestie
n'est-ce pas le propre d'un virtuose?
définition du dictionnaire
personne qui a de grand talents dans l'execution d'un art quelquonque..
alors permet moi d'insister, tu a du talent incontestablement.
#218
Posté 29 March 2005 - 16:55
#219
Posté 30 March 2005 - 13:00
Sans comprendre leur langage ni voir leurs images
J'ai cherché la vérité au milieu des tombes
Sanguine, traçant mille visages
A genoux, mains tendues, j'ai appris à prier
J'ai supplié, éplorée, toutes leurs icônes
Seul, le silence résonnait de mes mélopées
Noyant mes larmes, d'impuissance aphone
Années après années, pierres après pierres
J'ai pavé ma certitude en pas de roc
Refusant du désespoir, les noirs enfers
Mes espoirs accrochés comme breloques
Une étoile, un soleil, un chant de lune
Qu'importe les signes du hasard, composés
Mon âme creusait, sans aucune rancune
J'ai voulu croire, croire que tu existais
Toi, mon phare auquel j'attache mes amarres
Je crains parfois que nos instants soient irréels
Mon corps au tien soudé, a trouvé son rempart
Accroche moi à tes étoiles, elles sont si belles
#220
Posté 30 March 2005 - 13:02
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