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[quittance]

Démantèlement d'un important réseau international de trafic de stupéfiants

Mardi 23 Février 2010

Le 18 février 2010, les gendarmes de la cellule nationale d'enquête «Furax 28 », assistés du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), démantèlent un réseau de trafiquants internationaux de stupéfiants actif dans la région DREUX (Eure-et-Loire). 3,2 tonnes de résine de cannabis, 27 armes dont un lance-roquette et 8 véhicules sont saisis, huit personnes sont arrêtées.

Le 18 février 2010 dans le cadre d'une commission rogatoire de la juridiction inter-régionale

spécialisée de PARIS, les gendarmes de la cellule nationale d'enquête «Furax 28 », assistés du GIGN, démantèlent un réseau de trafiquants internationaux de stupéfiants actif dans la région de DREUX (Eure-et-Loire). 3,2 tonnes de résine de cannabis d'une valeur de 15 millions d'euros sont saisies et huit personnes arrêtées. 290 000 €, 27 armes dont un lance-roquettes et huit véhicules sont saisis.

En février 2008, les gendarmes du groupement de l'Eure-et-Loir (28) et de la section de recherches D'ORLEANS (Loiret) recueillent des renseignements selon lesquels un individu, recherché et condamné par défaut à 10 ans d'emprisonnement pour trafic de stupéfiants, poursuit son activité d'importation de cannabis à partir de l'Espagne et de revente en France avec l'aide de plusieurs individus domiciliés dans les environs de DREUX.

Les malfaiteurs ont élaboré un circuit d'importation de stupéfiants au moyen de véhicules immatriculés en Allemagne, sous des identités d'emprunt ou faussement immatriculés. Les transports portent généralement sur une tonne de cannabis par convoi de 4 à 5 voitures rapides, de type go-fast, avec voitures ouvreuse et serre-file. Plusieurs livraisons mensuelles seraient effectuées, représentant un trafic estimé à une dizaine de tonnes de résine de cannabis sur un an.

Les surveillances permettent de localiser un box servant au stockage de la drogue à BROU (Eure-et-Loire), petite commune aux environs de DREUX.

Fin octobre 2009 la cellule d'enquête «BAC/FURAX 28» est installée dans dans les locaux du

groupement de gendarmerie de LUCE (Eure-et-Loire), regroupant neufs enquêteurs de la section de recherches d'ORLEANS et du Groupement de gendarmerie départementale d'Eure-et-Loire, agissant dans le cadre d'une commission rogatoire de la JIRS de Paris.

Le GIGN apporte son concours technique et opère des repérages pour une interception lors d'une importation en provenance d'Espagne. Alors que le principal intéressé se déplace rarement sur le territoire national et gère le réseau depuis la Belgique, sa présence en France le 17 février 2010 à VERNOUILLET (Eure-et-Loire), conduit les gendarmes à déclencher une opération. L'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) est tenu informé de l'évolution du dossier.

Le 18 février 2010 une opération de police judiciaire est déclenchée. Le chef du réseau est interpellé par le GIGN chez l'un de ses lieutenants. Il est trouvé en possession d'un pistolet automatique Glock. Cinq autres individus impliqués dans le réseau, dont un des dealers principaux, sont simultanément interpellés.

Les perquisitions des domiciles des complices font saisir une quantité estimée à deux tonnes de résine de cannabis, 27 armes des 1ère et 4ème catégories dont un lance-roquettes, 2 fusils mitrailleurs, 7 pistolets mitrailleurs, 14 armes de poing et des munitions, ainsi que des brassards « police », des gilets pare-balles et deux gyrophares. Il est également saisi huit voitures dont plusieurs modèles haut de gamme et une somme de 290 000 €.

Les individus interpellés sont connus pour avoir été condamnés plusieurs fois pour des affaires de stupéfiants allant de 2 à 14 ans de prison. Le chef du réseau, s'étant enfui à l'étranger avait été condamné par défaut à 10 ans de prison.

L'opération a nécessité l'engagement d'un groupe du GIGN pour procéder aux arrestations des individus réputés dangereux, de 90 enquêteurs des compagnies et de l'escadron départemental de sécurité routière du groupement de l'Eure-et-Loir, de renforts des groupements de gendarmerie départementale de Paris, des Hauts de Seine et du Nord, et de 19 enquêteurs, directeurs d'enquête et opérationnel de la section de recherche d'ORLEANS (Loiret) avec le concours de 3 équipes cynophiles stupéfiants-billets de la région Centre, 2 Techniciens en investigations criminelles de la Brigade départementale de renseignements et d'investigation judiciaire de l'Eure-et-Loire et de 18 militaires des escadrons de gendarmerie mobile de BLOIS et LUCE.

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Bonsoirs a toutes et a tous

lolo regarde

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Bonjours


Démantèlement d'un réseau de faux - papiers et d'escroquerie aux crédits

Vendredi 19 Mars 2010

Le 16 novembre 2009, les enquêteurs du groupement de gendarmerie départementale des Alpes-Maritimes et du Groupe d'Intervention Régional (GIR) de NICE (Alpes-Maritimes) interpellent 23 individus impliqués dans un réseau de faux permis de conduire portugais et d'escroqueries aux crédits dans ce département. A ce moment de l'enquête, l'escroquerie se monte à 1,2 millions d'euros.Le 17 mars 2010, la tête de réseau présumée a été interpellée et placée en garde à vue dans les locaux du GIR de NICE.

Fin 2009 des usages de faux permis de conduire portugais sont signalés par la sous-préfecture de GRASSE (Alpes-Maritimes) lors de demandes de conversion en permis français. Parallèlement, les militaires de l' escadron départemental de sécurité routière des Alpes-Maritimes constatent régulièrement des détentions de faux permis identiques.
Le 16 novembre 2009, une opération de police judiciaire regroupant 130 militaires du groupement de gendarmerie départementale des Alpes-Maritimes, de l'escadron de gendarmerie mobile de DIGNE (Alpes-de-haute-Provence), de l'Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale (IRCGN) et du GIR de NICE permet d'interpeller 23 individus impliqués dans le réseau.
Les perquisitions effectuées amènent la découverte de 38 faux permis de conduire portugais analysés par les spécialistes de l'IRCGN. Les premières investigations permettent de déterminer que les faux documents sont imprimés sur des supports en plastique à partir d'une même matrice informatique. Les enquêteurs découvrent également du matériel électroménager et deux véhicules financés par l'argent découlant du trafic et des escroqueries. Enfin, deux armes sont découvertes.

Le 17 mars 2010, les dernières perquisitions consécutives à l'interpellation de la tête de réseau permettent la découverte d'une matrice permettant de fabriquer de faux documents avec deux ordinateurs portables, trois imprimantes ainsi que 133 permis portugais, italiens et espagnols, 92 cartes d'identité portugaises et tout le matériel indispensable au faussaire (tampons du ministère de la justice portugais, presse avec sceau du ministère de la justice portugaise ... ).

Les auditions confirment l'existence d'escroqueries en bande organisée fondées sur l'obtention de prêts réalisés grâce à de faux documents (relevés ERDF, feuilles de salaire, avis d'imposition , etc.).
Placé en garde à vue dans les locaux du GIR de NICE, l'intéressé a été présenté le 19 mars 2010 au juge d'instruction mandant du tribunal de grande instance de GRASSE, puis écroué à l'issue, à la maison d'arrêt de cette ville.

[papyboost100]

Le tribunal civil de Charleroi vient de rendre la victime de plusieurs actes de violences responsable de les avoir provoqués en affichant des signes extérieurs de richesse dans "une région sinistrée comme celle de Charleroi", rapportent ce mardi plusieurs journaux dont Le Soir.


A la une aujourd'hui en belgique

[quittance]

Bonsoirs

08/04/2010: Un pilote a tenté de se poser sur la base aérienne d'Orléans et voyant qu'il n'y parvenait pas, il a dirigé son appareil vers une zone non habitée et s'est éjecté. Il était seul à bord et a été récupéré sain et sauf. L'avion s'est écrasé vers 11h40 dans un champ près d'une autoroute, à quelques kilomètres de la base d'Orléans. Il y a eu un début d'incendie éteint par les pompiers.

le pilote du crache a gidy est vivant et transporter au CHU, les média disent que des bêtises, surtout quand ont connais les vrais circonstances, bref 11h24 est l'heure a la quel il est tombé.

Bonne soirée