Aller au contenu


Carole

Inscrit(e) (le) 04 Nov 2004
Déconnecté Dernière activité 28 Mar 2022 22:45
*****

#412615 Merveilles de la nature

Posté par Stepquest - 04 August 2020 - 16:03

Et voici Neowise « la belle » :wub:

Photos prises le 17 juillet 2020 dans la Haute-Vienne (87)

Belle comète à la chevelure éclatante.




#404579 Quel temps fait-il par chez vous??

Posté par Stepquest - 05 July 2019 - 15:47

Mince alors.........il fait encore beau et chaud aujourd'hui! Pas encore d'orage mais je sens que cela ne devrait pas tarder, les franciliens ne devraient pas passer au travers (De porc évidemment, blague qui en ces temps de BBQ est bien venue)




#404486 A la télé ce soir je regarde

Posté par Draco - 30 June 2019 - 19:00

Pour ma part j'ai adoré ce film.

 

Point important qui a été abordé dans ce film: le temps.

 

Depuis Insterstellar, la notion de temporalité est de plus en plus abordée dans les films de SF, ce qui était l'apanage des séries Star Trek jusqu'ici.

 

Et là je trouve qu'ils l'ont bien abordée.

Donc je ne serai pas d'accord avec le Duc sur l'originalité, je trouve que la manière dont la temporalité a été abordée est originale.

Non seulement les temps "variable" est abordé, mais la manière dont ils le font, du point de vue souvenirs, est une bonne idée.




#404301 [jeu] les paroles de chanson

Posté par Draco - 21 June 2019 - 21:40

Papy!!!!

 

Ils sont allemands, pas bien jeunes, et leur nom est celui d'un arachnide.




#402553 Vos chansons préférées

Posté par Stepquest - 02 May 2019 - 22:11

:lol:

Cela me rappelle la chanson de Johnny Halliday...."Que je t'aime"




#401545 [jeu] les paroles de chanson

Posté par Draco - 21 April 2019 - 20:57

Je pense à vous souvent
Je continue quand même
D'aimer les bateaux blancs
Que le désir entraîne
Je manque de vous souvent
Mais je m'en vais quand même
Laisser voler le vent
Qui souffle sur la peine
Chère amie, je vous envoie ces quelques mots
Pour vous dire qu'il ne fait pas beau
Et que j'ai mal, seul, depuis que je vous ai perdue
Je vous écris ces quelques fleurs
Avec mon cœur à l'intérieur
Je vous fais toutes mes excuses
Je rêve à vous souvent
Je me souviens de tout
Je me réveille à temps
Mais je vous vois partout
Je vous attends souvent
J'invente un rendez-vous
Vous n'avez plus le temps
Plus une minute à vous
Chère amie, je vous envoie ces quelques mots
Pour vous dire qu'il ne fait pas beau
Et que j'ai mal, seul, depuis que je vous ai perdue
Je vous écris ces quelques fleurs
Avec mon cœur à l'intérieur
Je vous fais toutes mes excuses



#77115 Lorsque le vent souffle en tempête

Posté par Draco - 07 March 2005 - 17:21

Je m’en vais vous conter une histoire.

Un jour, un chevalier, parcourant plaines et montagnes, croisa une âme perdue, étendue sur le sol, voulant laisser le temps et l’amertume faire leur sale besogne de destruction.
Le chevalier, comprenant la détresse de cette âme égarée, pris sur lui de lui donner un coup de pied salvateur sur son séant.
Mais cette âme recelait d’autres souffrances et la tâche serait bien ardue pour le chevalier que de lui montrer la voie de la lumière. Qu’importe, le chevalier fit en sorte de pousser cette âme du bon coté de la rivière tumultueuse de la vie.
Quand plus tard, la lumière retrouvée, cette âme revint vers le chevalier lui annonçant dulcinée avoir trouvé, le chevalier ne pu que s’en réjouir car derrière chaque grand homme, grande femme se trouve également. Tout chevalier ne peut combattre sans inspiration au combat, sans une muse avoir dans ses pensées.

« Regardez messire, belle lettre m’a-t-on fait parvenir de ma belle. »

« Bien mon ami, que de bonnes nouvelles et que de chemin parcouru depuis notre rencontre. Mon cœur s’emplie de joie pour vous. »

« En effet, messire, je m’en vais lui conter fleurette. Dans quelque temps, belle maison et beau domaine je partagerais avec elle. »

Ces mots firent revenir de vieux et terribles souvenirs en mémoire du chevalier.

« Messire, vous qui êtes un sage parmi les sages, que dois-je faire ? Un amour pur je porte en mon cœur pour cette demoiselle. Je veux qu’elle soit la mère de ma progéniture. Je souhaite finir mes jours à ses cotés. Que dois-je lui dire ? »

« Mon ami, l’auriez-vous rencontré ? »

« Non messire, je n’ai point rencontré ma dulcinée. Mais je crois en l’amour que je lui porte. »

« Cher ami, comment pouvez-vous parler d’amour sans même la connaître ? Parlez-moi d’attirance, de belle tendresse, mais point d’amour. L’amour naît des rencontres, l’amour naît du temps passé entre deux êtres apprenant à se connaître. Vous connaissez son écriture, vous connaissez ses mots. Mais connaissez-vous réellement votre dulcinée ? Que néni ! »

« Comment, messire, pouvez-vous dire que je ne ferai point d’elle ma promise ? Votre langue aurait-elle muée en langue de vipère ? »

« Ni voyez point, mon ami, de tentative de ma part de détruire votre bonheur. Mes paroles ne sont là que pour faire poser un pied sur terre. Vous avez cette fâcheuse habitude de trop croire et trop vite. Et de baisser votre garde facilement. Dois-je vous rappeler la détresse qui fut la votre il n’y a pas si longtemps ? Erreur semblable vous aviez commis. Ne serait-il pas plus judicieux de laisser le temps faire son œuvre ? Rêvez mon ami, rêvez ! Mais sachez main sur l’ancre garder afin de ne pas dériver de nouveau. Qui sait, la bonne fortune qui vous a sourit en me mettant sur votre chemin ne fera peut-être pas la même chose si votre dulcinée décidait de son cœur confier à un autre. »

C’est alors que cette âme commença à vociférer envers le chevalier, disant à qui voulait bien l’entendre que le chevalier avait langue de serpent, qu’il énonçait à tout le monde qu’histoire pareil était impossible, qu’un amour par belle correspondance était impossible.
Le chevalier, blessé, tenta de faire entendre raison à ce pauvre homme qui, il en était sur, délirait de chagrin.

« Mon ami, quand ai-je dit qu’il était impossible de vivre telle histoire ? »

« J’interprète vos paroles ! »

« Serais-je Dieu ? Mon ami, cessez de délirer. Ce sont les paroles des Dieux qu’il faut interpréter. Celles d’un chevalier s’écoutent car il parle sans détour. »

Voyant les choses s’envenimer, le chevalier rebroussa chemin en espérant retrouver dans quelque temps, cet homme qui semblait être devenu aveugle.
Mais le prit-il pour une faiblesse du chevalier ? Le fait est qu’il continua de le harceler avec ses « interprétations ». A tel point que le chevalier décida de prendre monture et dit à celui qui autrefois était son ami :
« Soit ! Dites ce que bon vous semble ! Mais laissez-moi donc tranquille ! Je n’ai point d’envie de croiser le fer avec vous. Un jour vous comprendrez sûrement le fond de ma pensée. Adieu ! »


#85389 Amis de la prose, bonsoir.

Posté par Draco - 04 April 2005 - 15:38

Les larmes que tu verses je suis là pour les essuyer
Comme la façon dont l’extérieur se reflète à la lumière du soleil après le passage de la pluie,
Pleurer apaisera ton cœur
Le monde que j’observe du haut de la colline
Devrait être remplit d’amour aujourd’hui également
Sans remarquer que nous étions entrain d’errer
La plus douce chanson d’amour ne nous touchait pas
Je veux te protéger… toi seule… quand tu as ce sourire radieux
Je veux te protéger… ton cœur enfermé dans la solitude et tremblant de tristesse… pour le restant de mes jours
Je te promets de tout tenter… quitte à tout perdre
Ma chérie je pense à toi, je veux vivre en ta compagnie
Nous sommes trop gentils et intimidés
Ce qui explique que nous avions du mal à déclarer nos véritables sentiments
Nous commencions alors à nous vanter
Mais ça va maintenant… car je me sens bien
Nous nous aimerons… même si un vent puissant décide de nous séparer
Nous nous aimerons… Nous serons toujours ensemble dans nos prières… à tout jamais
Je veux te protéger… toi seule… quand tu as ce sourire radieux
Je veux te protéger… ton cœur enfermé dans la solitude et tremblant de tristesse… pour le restant de mes jours
Je n’oublierai pas… le vent, les arbres… ou le couché de soleil que nous avons observé ce jour là
Je n’oublierai pas… cette chanson que j’aimais… ou la couverture de ce livre d’images que j’ai lu tant de fois
Je veux te protéger… toi seule… quand tu as ce sourire radieux
Je veux te protéger… ton cœur enfermé dans la solitude et tremblant de tristesse… pour le restant de mes jours
Nous nous aimerons… Nous serons toujours ensemble dans nos prières… à tout jamais
Je n’oublierai pas… ce ciel azuré, cette mer bleutée ou les rayons de ce soleil d’été
Je n’oublierai pas… tous ces mots que nous nous sommes dits, je n’oublierai absolument rien
Ce bref arc-en-ciel
Je suis sur qu’il formera un pont menant jusqu’à toi
Je veux te protéger… toi seule… quand tu as ce sourire radieux
Je veux te protéger… ton cœur enfermé dans la solitude et tremblant de tristesse… pour le restant de mes jours


#85385 Amis de la prose, bonsoir.

Posté par Draco - 04 April 2005 - 15:37

Ils m’ont jugé, ils ont délibéré,
Le verdict est tombé, je suis condamné,
Mais quel crime ai-je commis,
Quel méfait, quel délit.

Les causes je ne les connais point,
Je n’en connais que les conséquences,
Mais si là est mon destin,
Je supporterai toutes ces souffrances.

Parents, femme et enfants,
Sont là présents au premier rang,
Mais alors que d’eux j’attendais un soutien,
J’ai bien compris qu’il n’en sera rien.

Je veux au monde crier,
Demander à ces enfoirés,
Mais qu’ai-je donc fait de mal,
Pour mériter la peine capitale.

Ils m’ont jugé, ils ont délibéré,
Le verdict est tombé, je suis condamné,
Mais quel crime ai-je commis,
Quel méfait, quel délit.

Mon pécher je vais vous le confesser,
Amoureux d’une femme je suis tombé.
Mon crime est d’aimer à présent,
Une autre que la mère de mes enfants.


#85132 Amis de la prose, bonsoir.

Posté par Draco - 03 April 2005 - 09:12

Je pleure sur mes mots, impuissants, solitaires,
Sentinelles perdues aux rives des chagrins,
Petits cailloux semés en d’inutiles grains,
Tristes tourments repus de larmes salutaires.

Je les voulais flambeaux, ils ne sont que poussière,
Volages et furtifs ils s’éloignent souvent,
Retenant du portrait de mon pleur émouvant
Qu’une vague langueur à l’allure grossière.

Comment les modeler aux flots de mes pensées ?
Comment apprivoiser leurs lyres insensées… ?
Si j’offrais à leur goût, ton visage précieux,

Le toucher de la soie vers ta main qui m’effleure,
En délice bleuté, la couleur de tes yeux,
Sauraient-ils m’apaiser quand sur mes mots je pleure ?

A l’heure où la pensée sourdement se disperse
Comme un écheveau perd ses fils échevelés,
J’abandonne mon âme aux rêves dentelés
Vers ces lieux inconnus où ton jour se déverse.

Le soir n’existe plus. Seule l’heure est trop longue !
Mon regard et mes mains ne se posent sur rien…
Dans l’obscur, un désir au tracé aérien
Déroule autour de moi sa silhouette oblongue.

Quelle écharpe de soie échappe à tes épaules
Et caresse ma joue de ses mots envolés,
Comme au bord de l’étang le vert tendre des saules

Parsème les eaux bleues de sourires frôlés ?
Tu es loin … et j’entends le cri de ton absence
Quand l’onde de ton cœur inonde mon silence.


#77399 Amis de la prose, bonsoir.

Posté par Stepquest - 08 March 2005 - 17:43

Je corrige le texte et non le sens pour dire que la jeune pousse mérite le bravo pour sa verve pleine de qualité. :bravo:

A toutes les femmes qui demeurent des mystères mais sont le firmament de nos vies.

Femme au regard de braise enflammée
Comment résister à ton œillade offerte
Comment vivre sans tes tendres pensées
Et couler des jours sans tes amours expertes

J’ai livré les combats contre les mortes armées
Jetés aux lions mes défis ignorants
Et sous l’arbre aux ramures clairsemées
Tendu le glaive d’un Dieu de néant

Je suis le petit que la louve allaite
Le déjà vieux ayant peur de connaître
Encore une fois le doute qui me taraude
De ne pas être le centre de ton ode

Dis moi belle dulcinée que tes charmes lancent
En mes yeux de gamin les milles feux du plaisir
Que nos corps depuis longtemps sortis de l’enfance
Ont dix mille raisons d’à nouveau s’alanguir

Que tes bras m’étranglent d’amour
Comme mon cœur te donne passion
Que ta courbe dont le doux velours
Offre à mes pensées la maison

Je veux être de ton le fier cavalier
L’esclave, le valet le tendre sujet
Amazone tu seras pour me bien dompter
Tes cheveux comme fouet sur mon visage lacéré

Femme, déesse créature de Dieu
Demeure à jamais enfouie aux fond de mes yeux
Bien au chaud dans les battements de mon cœur
Arque boutée sous les assauts de mon corps

Nature est féminin de même que beauté
Mal comme crime ou délit, est masculin
Mon amour fait table rase de toute cruauté
Et pose à tes genoux le sens de mon destin

Femme essentielle à l’avenir des hommes
Tu croqua dit on dans le belle pomme
Qui de simples mortels, fit tous les êtres
Mais mourir par toi n’est il pas belle quête

Je lève mes pensées vers l’esprit de la femme
Vers sa sagesse et la beauté de son corps
Je bois à sa peau la vigueur de ma flamme
Et dois à son regard tous les soleils d’or

Quand Dieu en son immense sagesse
Viendra ouvrir le cœur des hommes ici bas
Il dira que femme est déesse
Et l’homme simplement son bras

D’une côte est sorti Adam d’Eve
Solide comme un rock, épaule de protecteur
Mais des deux qui sortira vainqueur
Des joutes de l’amour qui génèrent les rêves


#400499 Amis de la prose, bonsoir.

Posté par Stepquest - 09 April 2019 - 14:46

Dédicace : Cristal de neige et fibre d’ébène

Tout au fond de mon cœur, sis bien au chaud
Un subtil mélange blanc de neige, noir de corbeau
En cette caverne magique que mon sang porta
Prends tant de place qu’il me mets en émoi

C’est un grain de lumière au sourire gracieux
Un ombre sous les nuées aux reflets de douceur
Un petit être jeune aux grands yeux sombres et radieux
Aux petites mains généreuses pleines d’ardeur

Passer des heures à scruter ses gestes hésitants
Lire à ses yeux charbon tous ses étonnements
Penser se précipiter pour ne pas qu’elle choit
Vivre de ses tendresses, câlins de petits doigts

Je t’ai rêvé mon ange plus que de raison
Espéré te voir glisser au sein de la maison
Respirant le doux de ta peau, les yeux fermés
Jetant ton mon amour à tes petits pieds

Je lis ton sourire et entends tous tes mots
Que ton jeune âge ne peut encore me dire
Et s’il faut un combat pour pouvoir les écrire
J’arracherai au vent les nuages les plus hauts

Tu es mon calme, ma joie et ma sérénité
Tu es mon tendre amour le soleil éclaté
Parcourant mon ciel par une nuit voilée
En donnant à ma vie folle félicité

Peau de cannelle vêtue douce comme soie
Petit être fragile comme cristal de neige
Tes racines d’Afrique dans ton sang se noient
Mélangeant neige et ébène en un doux arpège

Qui viendra me dire qu’il faut que tu souffres
Qui osera jamais porter vile main sur toi
Connaîtra la torture brûlante de mon souffle
Et par mon bras certain périra

De Paris à Dakar, les hommes sont identiques
Qu’ils soient blancs de peau ou sombre comme ébène
Il faut que tu saches qu’au-delà des idiotes critiques
Ton papy de toute sa tendresse calmera tes peines

Alors vient jolie princesse, guide tes pas vers moi
Ne grandit pas trop vite pour que mes yeux apprennent
Que ce petit cristal de neige mêlé d’ébène
Laixse ses plus belles empreintes au fond de moi

Je t’aime mon enfant et te fais place en mon cœur
Parmi ceux sans qui je ne suis qu’un reflet pâlissant
Je t’aime mon enfant au creux de mon bonheur
Plus fort pour toi et par toi plus puissant

Petit trésor subtile aux racines ensoleillées
Gavé d’accents roques d’ hommes géants
Puisant ta source aux chants des femmes décorées
De couleurs pimpantes, de voix hauts perchées

Viens te blottir en mes noueuses branches
Viens à ta jeune ouie quérir mes tendres mots
Partage avec moi le lien qui nous arrange
Pour faire de nos échanges le plus beau des cadeaux

Un jour peut être, lorsque plus grande
Sans souvenirs effacés, tu me souriras
Ayant perdu bébé pour te dire ma grande
Garde une main tendue vers ton grand papa

Tu es mon espoir, ma source de vieillesse
Tu es entre le blanc et le noir, une déesse
Une petite bouclée, petite aux cheveux crépus
De Paris et de Dakar à peine issue

A toi mon amour, ma petite fille
Trop petite encore, déjà grande en moi
Sucrée comme effluves de vanille
Tu as fais de moi le plus grand des rois

Ce poème a été écrit pour l'ainée de mes petites filles !




#400490 Amis de la prose, bonsoir.

Posté par Stepquest - 09 April 2019 - 14:13

Je corrige le texte et non le sens pour dire que la jeune pousse mérite le bravo pour sa verve pleine de qualité. bravo.gif

A toutes les femmes qui demeurent des mystères mais sont le firmament de nos vies.

Femme au regard de braise enflammée
Comment résister à ton œillade offerte
Comment vivre sans tes tendres pensées
Et couler des jours sans tes amours expertes

J’ai livré les combats contre les mortes armées
Jetés aux lions mes défis ignorants
Et sous l’arbre aux ramures clairsemées
Tendu le glaive d’un Dieu de néant

Je suis le petit que la louve allaite
Le déjà vieux ayant peur de connaître
Encore une fois le doute qui me taraude
De ne pas être le centre de ton ode

Dis moi belle dulcinée que tes charmes lancent
En mes yeux de gamin les milles feux du plaisir
Que nos corps depuis longtemps sortis de l’enfance
Ont dix mille raisons d’à nouveau s’alanguir

Que tes bras m’étranglent d’amour
Comme mon cœur te donne passion
Que ta courbe dont le doux velours
Offre à mes pensées la maison

Je veux être de ton le fier cavalier
L’esclave, le valet le tendre sujet
Amazone tu seras pour me bien dompter
Tes cheveux comme fouet sur mon visage lacéré

Femme, déesse créature de Dieu
Demeure à jamais enfouie aux fond de mes yeux
Bien au chaud dans les battements de mon cœur
Arque boutée sous les assauts de mon corps

Nature est féminin de même que beauté
Mal comme crime ou délit, est masculin
Mon amour fait table rase de toute cruauté
Et pose à tes genoux le sens de mon destin

Femme essentielle à l’avenir des hommes
Tu croqua dit on dans le belle pomme
Qui de simples mortels, fit tous les êtres
Mais mourir par toi n’est il pas belle quête

Je lève mes pensées vers l’esprit de la femme
Vers sa sagesse et la beauté de son corps
Je bois à sa peau la vigueur de ma flamme
Et dois à son regard tous les soleils d’or

Quand Dieu en son immense sagesse
Viendra ouvrir le cœur des hommes ici bas
Il dira que femme est déesse
Et l’homme simplement son bras

D’une côte est sorti Adam d’Eve
Solide comme un rock, épaule de protecteur
Mais des deux qui sortira vainqueur
Des joutes de l’amour qui génèrent les rêves

La journée de la femme m'avait vachement inspiré ! Là encore, je persiste et je signe ! Après près de 15 ans, j'ai toujours cette même vision des femmes ! Comme il est écris, doux et Clerc, dans la célèbre chanson : "Femmes, je vous aime..."




#400213 [jeu] les paroles de chanson

Posté par Stepquest - 05 April 2019 - 20:01

 

C'est pas une fille qui chantait ça ?

Un duo.

 

Indice, ils sont dans la BO de Pretty Woman avec "Must h..."

 

Roxette ?




#398938 Qu'est-ce qui vous gonfle le plus dans la vie?

Posté par big foot - 15 March 2019 - 18:07

Une autre d'Einstein: "il y a deux choses infini: l'univers et la bêtise humaine. Mais pour l'univers, je ne suis pas sûr"  :jap: