Amis de la prose, bonsoir.
#81
Posted 08 March 2005 - 17:19
Draco, ne t'inquiète pas personne ne te remplacera. Tu as un style particulièrement unique
#84
Posted 08 March 2005 - 17:23
#85
Posted 08 March 2005 - 17:23
Merci, c'est gentil ça.Draco, ne t'inquiète pas personne ne te remplacera. Tu as un style particulièrement unique
#87
Posted 08 March 2005 - 17:36
Elle est en chaque Homme
Je veux le croire
Car en somme
Elle résume l'espoir
Et si elle s'exprime
De manières variées
De la jeune pousse au druide
C'est là question de dextérité
Il serait bien simple
A l'ami de la sagesse
De baisser les bras
En décrétant "je n'y arrive pas"
Non c'est un combat
Que je déclare aujourd'hui
A travers ma plume le fracas
D'un Homme qui écrit
Et si son style n'est pas affiné
Si sa plume souvent dérape
C'est que son chemin
Ne fait que commencer
Affrontant jusqu'à l'ignorance
Il se battra contre mauvaises ondes
Pour qu'un jour, il y croit
Du mérite, sa plume l'innonde.
#88
Posted 08 March 2005 - 17:43
A toutes les femmes qui demeurent des mystères mais sont le firmament de nos vies.
Femme au regard de braise enflammée
Comment résister à ton œillade offerte
Comment vivre sans tes tendres pensées
Et couler des jours sans tes amours expertes
J’ai livré les combats contre les mortes armées
Jetés aux lions mes défis ignorants
Et sous l’arbre aux ramures clairsemées
Tendu le glaive d’un Dieu de néant
Je suis le petit que la louve allaite
Le déjà vieux ayant peur de connaître
Encore une fois le doute qui me taraude
De ne pas être le centre de ton ode
Dis moi belle dulcinée que tes charmes lancent
En mes yeux de gamin les milles feux du plaisir
Que nos corps depuis longtemps sortis de l’enfance
Ont dix mille raisons d’à nouveau s’alanguir
Que tes bras m’étranglent d’amour
Comme mon cœur te donne passion
Que ta courbe dont le doux velours
Offre à mes pensées la maison
Je veux être de ton le fier cavalier
L’esclave, le valet le tendre sujet
Amazone tu seras pour me bien dompter
Tes cheveux comme fouet sur mon visage lacéré
Femme, déesse créature de Dieu
Demeure à jamais enfouie aux fond de mes yeux
Bien au chaud dans les battements de mon cœur
Arque boutée sous les assauts de mon corps
Nature est féminin de même que beauté
Mal comme crime ou délit, est masculin
Mon amour fait table rase de toute cruauté
Et pose à tes genoux le sens de mon destin
Femme essentielle à l’avenir des hommes
Tu croqua dit on dans le belle pomme
Qui de simples mortels, fit tous les êtres
Mais mourir par toi n’est il pas belle quête
Je lève mes pensées vers l’esprit de la femme
Vers sa sagesse et la beauté de son corps
Je bois à sa peau la vigueur de ma flamme
Et dois à son regard tous les soleils d’or
Quand Dieu en son immense sagesse
Viendra ouvrir le cœur des hommes ici bas
Il dira que femme est déesse
Et l’homme simplement son bras
D’une côte est sorti Adam d’Eve
Solide comme un rock, épaule de protecteur
Mais des deux qui sortira vainqueur
Des joutes de l’amour qui génèrent les rêves
- Carole likes this
#89
Posted 08 March 2005 - 17:52
Je corige le texte et non le sens pour dire que la jeune pousse mérite le barvo pour sa verve pleine de qualité.
#90
Posted 09 March 2005 - 10:18
Je corrige le texte et non le sens pour dire que la jeune pousse mérite le bravo pour sa verve pleine de qualité.
A toutes les femmes qui demeurent des mystères mais sont le firmament de nos vies.
Femme au regard de braise enflammée
Comment résister à ton œillade offerte
Comment vivre sans tes tendres pensées
Et couler des jours sans tes amours expertes
J’ai livré les combats contre les mortes armées
Jetés aux lions mes défis ignorants
Et sous l’arbre aux ramures clairsemées
Tendu le glaive d’un Dieu de néant
Je suis le petit que la louve allaite
Le déjà vieux ayant peur de connaître
Encore une fois le doute qui me taraude
De ne pas être le centre de ton ode
Dis moi belle dulcinée que tes charmes lancent
En mes yeux de gamin les milles feux du plaisir
Que nos corps depuis longtemps sortis de l’enfance
Ont dix mille raisons d’à nouveau s’alanguir
Que tes bras m’étranglent d’amour
Comme mon cœur te donne passion
Que ta courbe dont le doux velours
Offre à mes pensées la maison
Je veux être de ton le fier cavalier
L’esclave, le valet le tendre sujet
Amazone tu seras pour me bien dompter
Tes cheveux comme fouet sur mon visage lacéré
Femme, déesse créature de Dieu
Demeure à jamais enfouie aux fond de mes yeux
Bien au chaud dans les battements de mon cœur
Arque boutée sous les assauts de mon corps
Nature est féminin de même que beauté
Mal comme crime ou délit, est masculin
Mon amour fait table rase de toute cruauté
Et pose à tes genoux le sens de mon destin
Femme essentielle à l’avenir des hommes
Tu croqua dit on dans le belle pomme
Qui de simples mortels, fit tous les êtres
Mais mourir par toi n’est il pas belle quête
Je lève mes pensées vers l’esprit de la femme
Vers sa sagesse et la beauté de son corps
Je bois à sa peau la vigueur de ma flamme
Et dois à son regard tous les soleils d’or
Quand Dieu en son immense sagesse
Viendra ouvrir le cœur des hommes ici bas
Il dira que femme est déesse
Et l’homme simplement son bras
D’une côte est sorti Adam d’Eve
Solide comme un rock, épaule de protecteur
Mais des deux qui sortira vainqueur
Des joutes de l’amour qui génèrent les rêves
Bon comme hier c'était la journée de la femme, je m'étais fendu d'un poème à la gloire de nos reines du forum et que constatai-je ce matin? Point de réaction de la part de nos gazelles préférées !
#91
Posted 09 March 2005 - 10:20
#92
Posted 09 March 2005 - 15:29
D’autres lui lançaient des pierres énormes
Et au centre de cette populace sans forme
L’odeur de la haine s’exhalait, elle puait.
L’être n’avait que son âme pour se défendre
Contre ce courant qui tentait de l’emporter ;
La rancœur est un fardeau que l’homme aime porter
Car elle se transforme en glaive pour pourfendre.
On voulait voir son sang, on voulait voir ses larmes
Il fallait qu’il meure, le bûcher l’attendait
Ainsi que tous ces autres bannis qu’on pendait
La mort était là, elle faisait du vacarme.
Quelqu’un le frappa avec un morceau de bois
Si lourd qu’il lui fallut s’employer des deux mains.
Les loups étaient cachés sur les toits, aux abois
Mélangeant leurs hurlements à ceux des humains.
Même la terre semblait lui cracher sa haine
En tremblant, en grondant, ses mots étaient le feu ;
Le bourreau devant lui aimait tirer sa chaîne
Pour le faire trébucher, c’était là son jeu.
Personne ne l’aidait, personne ne pleurait
Alors que sa destinée, était le bûcher
Cette mort terrible dont les flammes apeuraient.
Sur ce mont personne ne voulait se jucher.
Les femmes chantaient, partout c’était la liesse
Car on allait enfin voir le monstre mourir ;
On eu dit que le démon jouait une pièce
Où tous les pestiférés venaient se nourrir ;
Est-ce cela l’humanité, les cris, la mort,
Une foule hurlante régie par la folie ;
Ils appelaient les flammes, et aucun remords
Ne léchait leur âme, ils l’avaient aboli !
Mais un enfant se faufila au cœur du gouffre
Où le chœur entonnait toujours l’hymne maudit ;
La démence est grande quand quelqu’un l’applaudit
Et les chants de la chorale étaient fait de soufre.
Il ne comprenait pas d’où venait cette rage
Ni pourquoi on frappait cet être dont le mal
Semblait infini mais dans ce trou sépulcral
La nuit était reine avec son bourreau, l’orage !
L’enfant n’avait pas peur, il voulait voir la bête
Se demandant d’où pouvait provenir sa nuit ;
Il était plutôt effrayé par tous ces bruits
Et tous ces cris qui lui faisaient mal à la tête.
L’être s’approche, titubant, sanguinolent,
Et le petit homme veut retenir ces gens
Que la folie mue en monstres sourds et violents
Personne ne trouvait ce décor affligeant !
Il parla à l’être qui passait devant lui
« Dis moi créature pourquoi ton sang s’écoule
Sous les coups de ces hommes, pourquoi tout ce bruit
Qu’êtes vous, pourquoi la haine porte la foule ? »
L’entité suppliciée se tourna vers l’enfant
Et la lumière dans ses yeux couvrit la nuit
Autour d’eux, infinie, elle sortait d’un puits
Irréel et ses mots brillaient étant vivants !
« La foule me tue parce que je lui fais peur
Le rayon effraie toujours les parcelles d’ombre ;
Regardes les ! La terre tremble sous leur nombre
Aujourd’hui les enfants de Babel sont vainqueurs !
On me bannit de ce monde par la potence
Et tous ceux qui m’ont suivi iront au tombeau
L’homme ne veut plus m’entendre, seul le silence
Insensée de la luxure lui semble beau.
Aujourd’hui Babel c’est Dieu, seul son cri est fort
Et au dessus de sa montagne, les vautours
Sont couronnés par la populace et autour
De leurs manoirs sanglants sont suspendus des corps.
Ce sont des trophées ! Les têtes de ces rêveurs
Qui ont voulu changer l’homme avec l’univers ;
L’homme est un poète, son cœur est le plus beau vers
Et ils ont donné leur âme sans avoir peur.
Martin Luther King, Gandhi, Hugo, sont là haut
Avec tous ceux qui m’ont vu et qui m’ont entendu ;
D’autres ont été brûlés, d’autres sont pendus
On jette la rose pour ouvrir le chaos.
Il y a du sang sur les parois de ce mont
Terrible, avec des larmes on fait un monde
A la hauteur de la bête et seul ce démon
S’assied sur le trône de ce royaume immonde.
Tu entends ces voix ? As-tu pénétré dans l’urne ?
Le gouffre que l’homme crée dépasse le puits
Des temps et au fond montent des sanglots nocturnes ;
La lumière de l’homme, c’est hélas la nuit !
Le veau n’est pas mort, sa statue est le flambeau
Menant la foule vers un destin égaré
Et l’on aurait dit que rien n’émeut le troupeau
Qui avance, le jour regarde, effaré.
Quand tu vois l’alphabet, l’homme ne sait pas lire
Les mots qu’il balbutie ne viennent pas de lui ;
Regarde ! Chaque être est la ciguë d’autrui
Et la religion est le portrait d’un délire !
Veux tu savoir ce que je suis ? Veux tu mon nom ?
Si je le dis, tu vas me haïr à ton tour,
Quand tu grandiras mon fardeau sera trop lourd
Tu brûleras mes rêves, à coups de canon !
Je suis la fleur de l’univers, le feu céleste
Présent en toute chose des cieux à la terre
Lorsque tout se consume, je suis ce qui reste
Moi seul peux dire à l’abîme de se taire.
Tout ce qui existe murmure mon dialecte
De la feuille qui tombe quand le printemps vient
A l’étoile voltigeuse et ce verbe païen
Se fait entendre par la bouche de l’insecte.
Oui ! L’homme n’est grand que quand il ouvre mon livre
Avant de me voir il n’est que de la poussière
Je suis le souffle qui porte et qui délivre
L’univers est un temple, et j’en suis la pierre.
Quand l’homme me trouve, il élève des murs
Pour que l’âme ne passe pas, le jour fait peur
Quand on a vécu dans l’ombre sans voir son cœur
Et sans avoir pu entendre, un seul murmure.
Plus tard toi aussi tu auras peur, et comme eux
Tu élèveras un bûcher pour m’immoler ;
Comme eux un jour, tu apprendras la loi du feu
Grillant mes ailes pour m’empêcher de voler.
Je suis le sel, le rayon qu’invoque le jour
Dans sa prière, celui que l’océan appelle
Quand sa vague court, mon nom l’univers l’épelle.
Vois ! Je suis l’autre visage de Dieu : L’Amour !
#93
Posted 09 March 2005 - 15:52
J'en chois de mon clavier, car souffle coupé et rimes tarries il me faut avant de lancer réponse quérir l'eau essentielle et reposer mon esprit !
#95
Posted 09 March 2005 - 15:59
Ouhhhh! boudiou de boudiou elle est ben belle celle-ci et notre grand Draco, Empereur de la plume, divinité de l'encrier, artificier en gerbes de mots, membre primordial de l'Ordre de la Demeure de la Verve et un pape omniprésent qui accroche aux étoiles d'éblouissantes paroles !
J'en chois de mon clavier, car souffle coupé et rimes tarries il me faut avant de lancer réponse quérir l'eau essentielle et reposer mon esprit !
Ouai bah moi j'abandonne l'art de la poésie (pas pour moi...), je préfère me lancer dans la prose pure et dure... D'ailleurs comment se fati-ce qu'on lise ici des poèmes alors que le titre du topic est "Amis de la prose, bonsoir." ??
Bon, bref, j'espère que cela ne vous dérangera pas si je préfère la prose à la poésie ?
#96
Posted 09 March 2005 - 16:05
C'est toi qui a lancé les hostilités.
Avant ton retour je me contentais je conter fleurettes aux sirènes du forum.
T'as élevé le niveau à une telle hauteur que je suis obligé de sortir des machins dans ce genre, incompréhensibles pour la moitier des mortels.
"aux sirènes"? comment ça "aux sirènes"? Je sui pas plusieurs que je sache!!!!
#98
Posted 09 March 2005 - 16:09
"aux sirènes"? comment ça "aux sirènes"? Je sui pas plusieurs que je sache!!!!
Bien sur que si, tu es plusieurs:
Tu es la belle, la radieuse, la sublime, etc. (désolé, mais pour te décrire les mots me manquent )
Tu disais?
Ah...euh...moi je disais rien du tout...
#99
Posted 09 March 2005 - 16:10
Ouhhhh! boudiou de boudiou elle est ben belle celle-ci et notre grand Draco, Empereur de la plume, divinité de l'encrier, artificier en gerbes de mots, membre primordial de l'Ordre de la Demeure de la Verve et un pape omniprésent qui accroche aux étoiles d'éblouissantes paroles !
J'en chois de mon clavier, car souffle coupé et rimes tarries il me faut avant de lancer réponse quérir l'eau essentielle et reposer mon esprit !
Ouai bah moi j'abandonne l'art de la poésie (pas pour moi...), je préfère me lancer dans la prose pure et dure... D'ailleurs comment se fati-ce qu'on lise ici des poèmes alors que le titre du topic est "Amis de la prose, bonsoir." ??
Bon, bref, j'espère que cela ne vous dérangera pas si je préfère la prose à la poésie ?
Allo ????? Merci pour cette esquive sympathique....
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